Mardi 24 mars 2 24 /03 /Mars 18:15

... qu'on fait les meilleures soupes ?

 

C'est possible .

 

En tout cas, voici une histoire qui m'est arrivée il y a quelques temps de cela.

J'avais pris des vacances, et je me retrouvais au bord de mer.

Le ciel était au beau fixe, je venais d'encaisser un gros chèque et je devais rentrer au Maroc pour aller faire le cul à Yasmina et à Samia.

Comme j'avais eu beaucoup de travail et que je voulais assurer avec les filles, je voulais prendre un peu de repos. Je me doutais bien que dès mon arrivée, nous irions faire la fête et que nous ne dormirions que très peu.

J'habite dans le Var, et je rpofitais un peu du bord de mer avant la cohue des vacances. je ne supporte pas les hordes de touristes qui se jettent sur les plages pendant les periodes estivales. Ils n'ont aucun respect pour la mer ou les plages et dès le début de l'été, je me réfugie dans ma piscine ou je suis au calme et dans laquelle je peux me détendre.

Je ne pense pas être un privilégié : je bosse beaucoup et j'ai la chance d'avoir un métierqui me plait et qui me laisse pas mal de temps libre.

Ceci étant, j'en reviens à mon histoire. Je rentrais de ma baignade matinale avant que le soleil ne chauffe trop et je sentais ma peau se tendre sous l'effet du reste de sel marin à cause de l'eau qui avait séché sur moi.

A peine rentré, je file sous la douche me débarrasser du sel et je sors tout frais et dispo de ma douche, mais avec une trique pas possible. Qu'à cela ne tienne, je mets un DVD dans le lecteur du salon et je commence à me taper une petite branlette tranquille devant mon téléviseur.

 

Rencontres

 

Je regarde le film et je suis tout excité. Je ne vais pas tarder à jouir, quand tout à coup, je vois le chaton de la voisine qui promène tranquilement dans mon salon. L'idée me fait sourire, mais heureusement, je ne suis pas déconcentré.

Je ne vais pas tarder à jouir, quand je vois rentrer ma voisine, 70 ans aux cerises qui entre tranquilement dans mon salon, sans doute à la recherche de la boule de poils que j'ai vu quelques minutes plus tôt.

or, je suis à deux doigts (si j'ode dire) de jouir et impossible de m'arrêter en un moment pareil.... et je me finis en tirant un coup énorme qui va s'écraser sur le bas de la jupe de ma voisine.

Une fois passé les quelque secondes pour récupérer, je me confonds en excuses. Je suis absolument désolé, je n'imaginais pas qu'elle puisse être là, chez moi. et surtout, je suis confus, car techniquement parlant, je viens quand même de lui gicler dessus.

Ma bite et ma main droite sont pleines de foutre qui coule, bref, je ne peux pas me trouver plus mal. Pourvu que, collet monté comme je la connais elle n'aille pas hurler à la mort, et rameute les voisins. Je n'ai pas besoin de ça, la situation est suffisamment génante comme ça...

Mais à priori, elle ne dit rien. Mon foutre coule sur sa jupe, sans qu'elle n'y prête la moindre attention. Comprenant l'absurde de la situation, je me rends compte qu'elle regarde le film qui passe à la télé et que j'ai oublié d'arrêter.

Une superbe blonde à poils, mais en talons aiguilles de 20 cm suce une vingtaine de type qui la recouvrent de foutre à tour de rôle. Ma voisine semble hypnotisée par ce spectacle.

Je ne sais pas trop quelle contenance adopter. Je dois avouer que c'est la première fois que je me retrouve dans ce genre de situation.

Heureusement, tout en regardant la télé, elle me dit

- Vous vous rendez compte, je vais bientôt avoir 71 ans et je n'ai jamais sucé de ma vie... je ne sais pas quel goût a le sperme...

Heu.... je ne sais pas trop quoi répondre... j'ai envie de lui dire, profites-en, tu en as plein ta jupe, si le coeur t'en dit. Mais je ne suis pas un mauvais bougre. Je cherche à la consoler plutôt qu'à me moquer d'elle.

- Vous avez ce n'est pas grave. Certaines femmes trouvent cela infect. Vous n'avez rien perdu.

- N'empêche, j'aurais aimé me faire ma propre opinion.

Puis après un instant de silence, elle reprend :

- Vous permettez que je goûte le votre ?

Là, je suis sidéré. Pour une des rares fois dans ma vie ou cela m'est arrivé, je reste sans voix et je ne sais pas quoi répondre. Visiblement, elle prend mon absence de réponse pour un oui et récupére un peu de mon foutre sur son index et le met dans sa bouche pour le goûter.

- Celles qui n'aiment pas ont tort. Votre sperme est excellent.

Bon, je ne vais pas répondre, car je ne sais pas à quel jeu on joue exactement, mais je sens que ma bite, elle, a bien compris. Et en dépit de tous mes efforts pour penser à mes impôts, elle se dresse, prête à repartir à l'assaut.

Elle voit ma bite se dresser. elle n'est pas idiote, ni aveugle, visblement car elle regarde ma bandaison avec curiosité.

- Si cela ne vous dérange pas, me permettez vous de vous sucer ?

Je dois avouer que c'est la première fois que l'on me le demande de cette façon. Mais vu les circonstances, je ne suis pas contre une petite pipe.

Elle ne sait pas bien y faire car j'ai bien compris que c'est sa première pipe. Je prends les choses en mains (encore une fois si je puis dire). Je lui propose de s'assoir su mon canapé et je me place debout devant elle. Elle commence à me sucer de façon maladroite, mais visiblement, elle fait des efforts et s'améliore. Je sens que le foutre bouillone dans mes couilles. Que faire ? Tirer dans sa bouche ? Me retenir ? Finalement j'opte pour la solution intermédiaire. Je vais lui dire que je ne vais pas tarder à tirer et je vais lui laisser le choix de la suite.

Encore une fois, elle me prend au dépourvu : en pleine action, elle s'arrête. Heureusment, je n'étais pas encore au point de non retour.

Elle me regarde toute souriante :

- Vous avez quoi ? Je mouille....

Heu ?? Et là transformation radicale. Ma petite vieille de voisine, charmante et prude se transforme en vraie tigresse.

- Allez vas-y baise moi. Je suis en manque depuis des années, fais moi la chatte à fond... défoule toi et démonte moi le trou. Ca fait des années que je me retiens, mais là je n'en peux plus. Fais moi jouir, traite moi de tous les noms que tu veux, mais fais moi jouir.

- Heu.... Salope ?

- Oui tu as raison, je suis une vielle salope qui mouille.... Vas y continue, ça m'excite....

Il ne faut pas m'en promettre. Je la fis allonger sur le canapé, je relevai sa jupe souillée de foutre et je retirai sa culotte à l'ancienne.

- Alors tu mouilles, salope. Tu n'as pas honte à ton âge ? Tu es une vraie pute.

- Oui, je suis une pute. Une grosse pute. Vas y mets la moi profond maintenant....

 

Rencontre rapide

 

Je me présentai à l'entrée de sa chatte, mais c'est elle qui s'empala d'un coup. Le passage était un peu étroit, mais il se dilata facilement. Elle était bien chaude, à l'intérieur.

Je commençai à la limer, tout e continuant de l'insulter.

- Ca te plait, hein, salope de te faire ramoner le trou. Tu es une vraie pute. Mais en plus tu mouilles comme une folle. Tu es la reine des enculées.

Houla, j'avais du y aller trop fort : elle s'était arrêtée d'un coup. il faut dire que dans ces cas là, on ne fait pas vraiment attention à ce que l'on dit.

- Tu as raison. Je suis une enculée, mais pas encore en réalité. Vas y encule moi maintenant. Que je devienne une vraie enculée au vrai sens du terme.

Je sortis du con et je la fis installer en levrette. Je rabattis la jupe sur ses reins et je cherchai des yeux du librifiant. Habituellement mes copines n'en ont pas besoin. Vu le nombre d'enculades qu'elles se prennent, pas besoin de lubrifier. Mais pour un dépucelage anal à 71 ans, je pensai qu'il valait mieux y aller prudemment.

- Qu'est ce que tu attends ? Vas y, mets la moi dans le cul.

- Je vais te lubrifier sinon, je vais te déchirer.

- Je m'en fous, vas y à sec. Défonce moi, que je sois une vraie enculée.

Je la pénétrai. La pénétration était difficile, vu l'étroitesse du conduit anal. Il se révoltait contre l'outrage, mais ma voisine en voulait et elle s'envoyait en arrière sur mon chibre sodomite.

Je commençai à pénétrer dans son anus, mais la pénétration était difficile pour moi. Ca tirait sur ma peau, et je pensais qu'elle devait déguster. Mais au contraire de la décourager, cela semblait l'exciter encore plus. Puis d'un coup, l'entrée de son sphincter se dilata. Je rentrai d'un coup au fond de son cul.

- Aaaah Qu'est ce que c'est bon. Vas y encule....

 

Rencontre

 

Je commencai à la limer par derrière, et d'un coup elle se mit à jouir du cul. Cela déclencha ma propre jouissance et je tirai mon deuxième coup. Certes, il y en avait moins que la première fois, mais j'avais mis la dose.

Nous nous affalâmes sur le canapé, repus. Elle reprit 

- Mon cher, merci pour tout. 

Elle hésita.

- Vous savez... j'y ai pris goût, notamment à la fin. Seriez vous opposé au fait que de temps en temps, je vous rende une petite visite de voisinage ? Nous pourrions continuer à échanger quelques points de vue intéressants sur de nouvelles questions.

- Pas du tout, et je vous en remercie, ce fut un véritable plaisir. Et si on ne se rend pas service entre voisins...

- Très bien. Je reviendrai vous voir, et si vous en avez envie, n'hésitez pas à faire appel à moi si vous avez besoin de vous soulager d'une quelconque manière.

Je la remerciai et je la raccompagnai.

Sur le pas de la porte, nous nous dimes au revoir et elle me fit un baiser furtif sur les lèvres. Piuis elle ajouta :

- Au fait, vu la qualité de nos relations... je pense que nous pouvons nous tutoyer, maintenant ?

Je me demande encore si c'était ironique ou pas....

Mais l'histoire ne s'arrête pas là.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus