Vendredi 4 octobre 5 04 /10 /Oct 21:56

Je raconte habituellement mes anecdotes mais je pourrais aussi vous raconter certaines histoires qui sont arrivées à certains de mes amis. 

 

Par une matinée d'automne, Christine se depechait  de rentrer des courses car l'orage menaçait. Au moment de son départ, le temps était mitigé mais au retour, l'orage était imminent. 

 

Christine porte en permanence des talons aiguilles. Eté comme hiver, en vacances ou au travail, elle est juchée sur au moins 8 cm d'aiguille d'acier.  Elle a commencé à en porter à 16 ans et n'a jamais arrêté depuis. 

 

Elle habite un petit village dans le Var. Et donc, pour en revenir à notre histoire, elle rentrait des courses lorsque l'orage éclata. Elle était encore loin de sa maison et devant la violence des éléments, elle jugea plus prudent de stopper sur le bas côté. La pluie tombait tellement qu''elle ne voyait plus rien à travers le pare brise. Elle actionna les essuie-glaces pour tenter d'y voir plus clair mais comme de juste, pour satisfaire la Loi de l'Emmerdement Maximum, les balais se retournèrent et se gauchirent sans doute sous l'effet des trombes d'eau. 

 

Que faire ? A n'en pas douter, il fallait sortir sous la pluie pour tout remettre en place. Prenant une profonde inspiration, elle sortit. 

 

La violence de l'averse lui coupa la respiration mais elle continua comme prévu pour réparer ses balais. La terre s'était transformée en gadoue et elle pataugeait dedans. Ses talons s'enfoncaient dans la terre molle, menaçant de la déséquilibrer à chaque pas. Sa progression était difficile car la boue «aspirait» ses chaussures et elle devait faire des efforts pour ne pas les perdre. Et ce qui devait arriver arriva. 

 

La pluie ruisselait sur sa tête et degoulinait le long de ses cheveux. Elle passait régulièrement sa main autour de ses oreilles pour dégager son visage et ses yeux et ce faisant, elle perdit sa concentration et tomba dans une immense flaque de  boue. 

 

Chaussures perdues pantalon totalement enduit et le haut maculé. Le sac recouvert de boue était à deux mètres d'elle, mais inutile de l'ouvrir pour courir en plus le risque de perdre quelque chose d'important comme sa carte bancaire ou ses clefs. Rentrer dans la voiture couverte de gadoue ... hors de question. 

 

En plissant ses yeux, elle vit une forme sombre sous la pluie. Une construction, sans doute une grange. La solution s'imposait d'elle-même. Elle ramassa ses chaussures par les tiges des talons et se mit en route. 

 

Au bout de 5 minutes de marche (qui par un temps pareil en valaient au moins 10 de marche conventionnelle) elle arriva à la porte de la grange. La grande porte était verrouillée mais sur le côté, une porte de service lui permit d'entrer. Une fois à l'abri, elle poussa un soupir de soulagement. La toiture était solide et surtout étanche. Elle entendait l'orage marteler les panneaux du toit mais elle était en sécurité. Par contre, au bout de quelques minutes ses vêtements trempés la firent grelotter. La seule solution qui s'imposait d'elle même : aménager un coin fouiller et s'y reposer. Ses talons aiguilles étaient trempés mais propres. Elle se les remit aux pieds pour pouvoir marcher sur le sol inégal sans risque de se faire mal. Par contre, elle se déshabilla entièrement et se mit à disposer des bottes de paille pour se faire une couchette et poser ses habits trempés pour les faire sécher. 

 

Elle s'allongea sur une vieille couverture trouvée sur place pour éviter que la paille ne la picote. 

 

Elle sentait ses membres s'engourdir et le sommeil la gagner quand elle réalisa quelle entendait une respiration haletante. Instantanément, elle se réveilla et chercha l'origine du bruit. Elle ne mit pas longtemps à comprendre. Dans le grenier du dessus, un jeune garçon la regardait tout en se branlant de toutes ses forces. Au lieu d'être scandalisée, elle fut flattée et y prit plaisir. Mieux : sa libido reprenant le dessus, elle décida d'aller à la rencontre de son admirateur branleur. 

 

Le jeune garçon était nu comme un ver et s'astiquait la tige avec une ardeur toute juvénile. Mais quand il vit Christine approcher, il arrêta son mouvement. 

- Ne t'arrête donc pas mon chéri ... ce que tu fais est sain et naturel ... continue. .

Elle posa le pied sur l'échelle et monta à l'étage, toujours entièrement nue et avec ses chaussures à talons aiguilles. Le garçon continuait à se polir le chinois mais en douceur, au ralenti. Il ne comprenait pas trop la situation, mais elle était pleine de promesses et il ne voulait pas gâcher ses chances par une gaffe monumentale. Christine comprit rapidement la situation. Elle s'approcha doucement en cliquetant sur le plancher de bois et s'accroupit face au jeu ne homme :

- Alors mon gars, tu as déjà vu une belle moule qui ne pousse pas sur un rocher ?

Le gamin avait les yeux exhorbites ... ce devait être sa première chatte et aucune de ses copines ne risquait de lui présenter la chose de cette façon. Il n'osa  pas répondre. C'est à ce moment là que Christine réalisa les dimensions de son engin ...

- Putain, mais tu as un braquemart de cheval.... Tes copines arrivent à tout se prendre dans la chatte ou tu es obligé de leur mettre dans le cul ?

 

Le pauvre garcon ne résista pas. Il se mit à tirer d'énormes jets de foutre crémeux dont une grande partie alla s'écraser sur le visage de Christine. Par réflexe, elle avala tout ce qui était tombé sur ses lèvres et elle se passa la langue sur les lèvres pour ne pas en perdre une goutte. Le jeune homme, les yeux écarquillés regardait les traces de son foutre sur le visage de la femme qui ne paraissait nullement incommodé d'être engluée de foutre. 

- Tu ne connais pas ta chance, mon mignon ... et elle se fourra l'énorme pine dans la bouche pour lui offrir une superbe pipe. La queue remonta et se raidit en moins d'une minute. Christine était ravie mais dut vite déchanter car moins d'une minute après la grosse bite cracha son deuxième coup. Christine a toujours avalé le sperme de ses partenaires mais la elle eut dû mal à ne pas en perdre une goutte tellement elle en récut en bouche. Elle était décue non pas du tir dans sa bouche mais de la rapidité du tir. S'il tirait à cette vitesse, ce serait dur de s'amuser. 

 

Mais une fois de plus, elle fut surprise car au bout de quelques minutes il se remit à bander comme un âne. Cette fois, elle était bien résolue à en profiter. Elle s'allongea, jambes écartées sur une botte de paille en regardant son partenaire droit dans les yeux. Celui ci avait compris que c'était son jour de chance. Ses petites copine habituelles devaient faire des minauderies pendant des heures avant de lui toucher la bite et la il avait à sa disposition une femme expérimentée qui ne ferait pas de chichis pour obtenir ce qu'elle voulait. Il se précipita mais Christine le calma. 

- Doucement ... Je suis bien décidée à jouir ... Alors écouté moi : on va faire comme je dis. Ne t'en fais pas. Tu as bien compris que tu vase baiser. Donc pas la peine de se précipiter. Regarde ma chatte de plus près. 

Il va de soi que le gamin était tellement impatient qu'' il en tremblait. Mais il savait qu'' il devait écouter et que cette chance ne se présenterait pas une seconde fois. 

 

Elle lui expliqua comment trouver le clitoris, comment le branler, puis elle lui expliqua comment la doigter et ensuite elle se fit bouffer la chatte. Et malgré ses erreurs dues à l' inexpérience, elle jouit au moins trois ou quatre fois pendant cette initiation. 

 

Ensuite elle lui demanda de la pénétrer. La encore, elle guida son étalon toujours fougueux qui commençait à trépigner d'impatience. Le jeune garçon la pénétra et commença à baiser. Christine ne voulait pas hâter les choses : elle voulait bien profiter d'une jeune queue infatigable bien qu''inexpérimentée. Mais au bout de quelques minutes, elle jugea sa position trop inconfortable pour jouir correctement. Elle décida donc de joindre l'utile à l'agréable en trouvant une nouvelle position agréable pour elle et offrir une nouvelle expérience à son jeune étalon. 

 

Elle lui proposa de tester la levrette, ce que le garçon accepta avec joie. Il sortit du con, la bite reluisante de mouille, car Christine mouille abondamment. Quelques secondes pour changer de position et elle offrit ses fesses à son jeune partenaire. Et quand je dis offrir ses fesses...

 

Le jeune garçon s'approcha la bite à la main mais au lieu d'enconner il encula. Heureusement vu la mouillé et le fait que Christine se fait enculer trois fois par jour, la chose se passa le mieux du monde. Christine adoré se faire ramoner le cul à condition qu''on la prévienne. Elle allait enguirlander son enculeur quand elle sentit la décharge partir dans ses intestins. La puissance du jet, le volume et la chaleur, bien qu''innatendus la firent jouir comme elle avait rarement joui. Le plaisir fut si violent qu''ils se laissèrent aller sur le sol pour récupérer. 

 

Au bout de quelques minutes, Christine ressentir le froid. Elle avait totalement oublié le dehors. Elle se leva et se remit sur ses talons aiguilles qu'elle avait conservés tout au long de la séance. Elle chercha des yeux de quoi se couvrir. Mais son jeune étalon fut des plus galants. Il prit une couverture (à l'odeur celle d'un cheval, mais elle était était si touchée par le geste qu''elle s'abstint de tout. commentaire. Le jeune garçon fit voler la couverture pour les couvrir tous les deux. 

 

Ils restèrent ainsi blottis l'un contre l'autre pendant un long moment. Puis Christine se rappela qu''elle avait une vie à l'extérieur et des courses à rapporter à son domicile. Elle fit un long baiser à son jeune amant. Elle enfila ses vêtements encore mouillés et froids et se remit en route. Jusqu'à une prochaine aventure que je ne manquerai pas de vous raconter.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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