Lundi 12 août 1 12 /08 /Août 18:24

Je ne vais pas le répéter encore une fois mais mon travail me permet de passer pas mal de temps à l'extérieur et j'en profite pour voyager aux frais de mes clients.
Certes, je suis raisonnable et je n'abuse pas mais je ne me prive pas de visiter mes lieux de villégiature lorsque je ne suis pas en rendez vous avec mon client.

Cette fois là, j'avais été appelé du côté de Serre-Chevalier pour faire un site pour un restaurant sympa. Les séances de travail étaient obligatoirement fixées en fonction de la contrainte des horaires du restaurateur. De ce fait, j'avais pas mal de temps libre aux heures les plus intéressantes de la journée.
Je travaillais de 8h (retour du marché) à 11h (repas des employés du restaurant) puis de 14h30 à 17h heure de la mise en place du repas du soir.
Dans tous les lieux touristiques, il y a des prospectus et des petits fascicules publicitaires pour vanter les lieux remarquables ou les activités de la région.

Et j'ai pris la plaquette de présentation de la Meije. Une bonne idée pour passer un peu de temps au frais avec la chaleur accablante qui régnait dans la vallée. Donc à la fin de la séance de travail, je prends ma voiture et je fonce en direction de la montagne aux neiges éternelles. J'arrive environ une demi heure après et je prends le télécabine pour monter tout en haut de la montagne. Il y a un changement à mi parcours mais le trajet est agréable et on voit toute la vallée se dérouler à nos pieds au fur et à mesure de la montée.

Une fois en haut je me sentis revivre. Bon, vu l'heure, je n'avais pas tellement de possibilités d'activité à part la visite d'une grotte sculptée creusée dans le glacier comme celle du glacier du Mont Blanc : la mer de glace.

La température était agréable et nettement plus froide que dans la vallée et on sentait le contraste entre les zones ensoleillées et celles à l'ombre.
Je commençai à descendre vers l'entrée de la grotte. Je regrettai de ne pas avoir pris de polaire. Il y avait encore quelques visiteurs qui attendaient devant la caisse pour entrer et je me mis à la suite dans la file d'attente. Pour passer le temps, je regardai les derniers visiteurs qui descendaient dans notre direction pour la grotte de glace.

Les visiteurs habituels. Mais pas que...
Dans les rares visiteurs retardataires, je remarquai une femme qui avait une expression très particulière, presque extatique. Ma curiosité était piquée à vif.
Je m'intéressai à elle. Elle avait la cinquantaine, bras nus et jambes nues et bronzées. Mince et musclée, bien coiffée et elle marchait d'un pas sur alors même qu'elle marchait sur la pente d'un glacier à moitié fondu ... En tongs noirs à plateforme.

J'étais stupéfait. Je détaillai la visiteuse. Elle portait un haut blanc décolleté et froufroutant en bas, une jupe noire ressemblant à du velours brillant et assez ample et ses pieds étaient soigneusement vernis en french manucure et elle portait bien des tongs.

J'etais curieux de voir si elle arriverait en bas de la pente sans accident ni chevilles cassées ou foulées. Elle marchait lentement, toute son attention focalisée sur les endroits ou elle posait ses pieds et marchait lentement et prudemment et arriva sans encombre derrière moi.

À peine arrivée elle releva la tête et me décocha son plus beau sourire. Je lui rendis er n'y tenant plus je lui demandai :
“Vous n'avez pas peur de vous casser une cheville ?
- Je suis très prudente vous savez, et sans modestie mal placée, croyez moi si je me faisais mal, je trouverai facilement un chevalier servant pour me ramener dans la vallée. ”
J'étais époustouflé. Au moins, là, une femme qui avait un sacré aplomb.

Pour reprendre contenance, je verifiai le niveau d'avancement de la file et j'avançai légèrement. Elle suivait. Elle engagea de nouveau la conversation et comme moi même je ne suis pas muet, nous discutames rapidement comme de vieux amis.

Présentations rapides, cursus et villégiatures et enfin le plus important : l'état matrimonial. Nous étions tous deux célibataires, du moins c'est ce qui fut dit. Nous n'étions dupes ni l'un ni l'autre.

Finalement nous arrivames à la caisse. Je pris les deux billets. Et nous entrames dans la fameuse grotte de glace.
Pour vous la faire rapide, la grotte de glace est sympa, mais je pensais totalement à autre chose.
Très vite, j'avais noté qu'elle mettait systématiquement les pieds dans chaque flaque de glace fondue. Elle faisait cela de façon discrète mais elle avait quasiment 100 pour cent de réussite pour mettre les pieds dans l'eau glacée et une fois les pieds dans l'eau ne criait pas de surprise, ni se plaignait , rien ....

Mon diagnostic était sans appel : fétichiste du pied et tendances masochistes. Excellent programme. Je la regardai en souriant. Elle me regarda, parut gênée une seconde puis sourit. Nous nous étions compris. Elle enleva ses tongs et les porta à la main “Pour ne pas les abîmer” et marcha pieds nus sur la glace. Je lui donnai la main car sans le plastique épais, elle glissait facilement. Je lui indiquai les plus belles flaques et par jeu nous chronométrions le temps passe dans l'eau glacée. Elle fut plusieurs fois obligée de remettre ses chaussures mais ne se justifia plus du tout. Le jeu était convenu entre nous et nous jouions franc jeu de part et d'autre.

Le gardien troubla ce bon moment en appelant les retardataires à sortir pour cause de fermeture. Alors après un regard à la fois complice et gêné et mon approbations oculaire et silencieuse, elle releva sa jupe et s'accroupit. Elle portait un string rouge mais ne le toucha pas. Elle se mot à uriner directement sur la glace du sol et le jet doré éclaboussait ses pieds et ses chaussures.
Elle n'avait pas retiré son sting qui servait à la fois de brise jet pour le bruit mais augmentait sensiblement les éclaboussures. Une fois soulagée elle passa le majeur sur son entrejambe pour égoutter le tissu et lécha son doigt humide tout en me regardant.

Main dans la main nous sortimes de la grotte. L'instant était très particulier et nous étions en phase sans échanger une parole. Le trajet du retour fut plus difficile. L'urine et la glace fondue s'étaient déposées entre la semelle et la plante de son pied et elle glissait facilement. Après plusieurs fous rires nous arrivames en haut de la descente, puis nous sommes allé faire de photos avec en fond la vallée. Nous nous sommes photographies à tour de rôle, ensemble, séparément, devant la montagne ou la vallée ...

La nuit commençait à tomber mais nous n'avions pas envie de nous séparer. Pendant la séance photo, nous avions beaucoup parle et elle m'avait avoué que ses fantasmes fétichistes reposaient sur les fluides et m'avait demandé si j'acceptais de ne pas avoir de relation sexuelle avec elle, mais elle accepterait volontiers tous mes fluides et sécrétions. Une fois cet accord passé, nous nous mimes en route vers le restaurant d'altitude.

Au restaurant, une fois la commande passée, ma compagne me donna un préservatif et me conseilla de le remplir. Je m'empressai d'aller aux toilettes pour accéder à sa demande. La sauce salade était une sauce blanche. Elle eut plus de sauce salade que les autres clients. Pour l'urine, ce fut plus difficile. Mais je réussis encore à lui faire passer le liquide qui se trouva faire un parfait jus de pomme dans son verre.

Le plus excitant était de la voir absorber çes fluides avec calme et sang froid au si et au vu de tout le monde.

Le dernier point que nous avions à satisfaire fut réalisé dans le télécabine de descente : je lui crachais à de nombreuses reprises dans sa bouche ouverte er sur son visage. Elle mit un point d'honneur à ne pas perdre une seule goutte.

En bas nous dumes nous séparer mais nous echangeames nos numéros de telephone et....

Je vous raconterai la suite une prochaine fois.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus