Dimanche 19 mars 7 19 /03 /Mars 23:10

A priori, plus rien ne fonctionne dans l'administration de ce blog....

Par contesdelalunerouge
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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 00:25

 

Rencontre rapide

L'avantage d'être développeur free-lance, c'est de pouvoir travailler a partir de chez soi. Et j'en profite.


Chaque jour, je me lève à des heures normales comme si je travaillais dans une entreprise, je prends mon petit déjeuner (équilibré) sur la terrasse, et ensuite, au lieu de faire des kilometres pour aller au boulot, je vais dans mon atelier, et je suis a pied d'œuvre. Je gagne ainsi beaucoup de temps, et je peux travailler dans une tenue décontractée. Vers midi ou 13 heures, je prends mon déjeuner, toujours sur la terrasse, ou dans l'atelier s'il pleut. Ensuite je reprends ma journée et je travaille jusqu'au soir. Si j'ai fini une commande, je m'accorde un après-midi de farniente, dans la piscine. Bref, je peux vivre en autarcie totale. Sauf quand je prospecte, mais nous en reparlerons.

Cette façon de faire ne m'apporte que des avantages. Et je vais vous raconter la suite de ma dernière aventure. Si vous ne l'avez pas lue, suivez ce lien....

Donc, j'avais repris le cours tranquille de ma petite vie de développeur. Une semaine après l'aventure que j'avais eue avec Anne, j'entendis toquer au carreau de la fenêtre de l'atelier. C'était elle qui etait de nouveau dans le jardin, avec sa petite chatte dans les bras. Je suis toujours ravi des visites. Donc, je m'empressai d'aller l'accueillir sur la pas de la porte :
- Bonjour, Anne... Comment vas-tu ? Quel bon vent t'amène ?
- Un vent ? La coïncidence est amusante .....
- Quelle coïncidence ?
- Je suis venue me faire enculer...


Décidément, elle avait bien change par rapport à sa vie antérieure.
- Cela ne te dérange pas ?
- Tres chère Anne, j'adore te faire le cul. Aucun problème. Mais la, de but en blanc, tu me prends au dépourvu.... Rassure toi, on va se faire un petit câlin et ensuite, je serai en forme...
- Tu n'as pas compris. Je veux juste que tu me la mettes.


J'étais assez surpris et je ne comprenais pas. Voyant que j'étais perdu, elle précisa :
- Je me tourne, tu me l'enfile dans le cul et tu tire ton coup.
- Et toi ?
- Aucune importance, tu ne t'occupes pas de moi. Tu te soulages dans mon fion sans t'inquiéter que je jouisse ou pas. Tu y restes deux minutes ou une heure, comme tu veux, tu prends ton pied, et tu ne t'occupe pas de moi. Quand tu as tiré, je m'en vais.
- Tu sais comment ça s'appelle çe genre de pratique ?
- Je sais. Je veux être ton vide-couilles.
Ça alors. On m'aurait raconté ce genre d'histoire que je n'y aurais pas cru, mais ma voisine se dévergondait à fond ... à 71 ans. Mieux valait tard que jamais et visiblement elle avait décidé de rattraper le temps perdu.
- Tu sais comment on appelle ce genre de pratique ?
- Oui : du sado-masochisme.
- Ça te tente ?
- Ça me tente bien, mais je ne suis pas encore prête pour tout. Il me faut encore un peu de temps.
Je n'étais pas d'accord : autant tester maintenant.
- Et la, maintenant, je dois t'enculer a sec, mais avant, je vais te donner un aperçu du SM. Déshabille toi, mets toi à poils.


Elle s'exécuta sans un mot. Une fois nue, je lui appris a croiser les mains et les doigts derrière sa nuque, tout en offrant sa poitrine et en cambrant ses fesses.
Je la fis mettre au milieu du salon, et je lui fis me tourner le dos. Je m'assis dans mon canapé en cuir sur lequel je l'avais troussé la dernière fois.
- Cette position s'appelle "position d'attente". C'est celle que tu dois prendre quand tu es avec moi.
- d'accord
- Non ... Pas d'accord, mais "oui maitre"
- Oui maitre.
- Bien. Si tu décides de poursuivre dans cette voie, nous rédigerons un contrat maitre et esclave. En attendant dis moi si ça t'excite d'être exhibée ainsi ?
- Oui maitre.
- Ça te fait mouiller ?
- Heu... Oui maitre. Peu vu mon âge, mais je mouille.
- Tu aimes être insultée ?

 

 

Rencontres

 

 


Un silence, puis
- Oui, maître, j'aimerais bien. Je ne l'ai jamais fait avant, mais j'aimerais bien.
- Donc, je peux te traiter de morue et de pouffiasse ?
- Oui, maitre
- De salope, de pute et d'enculee ?
- Oui maitre.
- Tu as été enculee l'autre jour pour la première fois. Tu y as pris plaisir ?
- Oh oui, maitre. Un très grand plaisir.
- Tu as fait quoi en rentrant chez toi le conduit anal plein de mon foutre ?


Elle se tortilla, mal à l'aise.
- Je t'ecoute, salope. Tu as fait quoi ?
- Je me suis mis un doigt dans le cul, je l'ai bien fait tourner pour bien l'imbiber de votre suc et du mien....
- Tu veux dire de mon foutre et de ta merde ?


Encore une hésitation. Malgré la tentation, toute son éducation la retient. Mais finalement, elle se décide.
- Oui, maitre.
- Dis le, je t'ecoute.
- Je me suis mis un doigt dans le cul et je l'ai enduit de votre foutre et de ma merde.


Je savais qu'à la quesrion suivante, ça passait ou ça cassait. Je decidai de jouer mon va-tout.
- Et ensuite ?
- Ensuite je l'ai sucé. J'ai nettoyé tout mon cul avec mon doigt et j'ai tout avalé comme la dernière des putes que je suis. Et maintenant je rêve de recommencer.


Elle etait déchaînée, maintenant.
- Penche toi en avant que je puisse t'enculer bien profond. Et je tire quand j'en ai envie. Que tu jouisses ou pas, nous sommes bien d'accord.
- Arrête de parler et défoncé moi le cul.


Je crachai sur mes doigts et je lubrifiai mon bout avec la salive. Elle avait beau être déchaînée, elle avait peu d'expérience anale. A ma grande surprise, je la fourrai par la gaine anale sans aucun problème. Je rentrai comme dans du beurre.
- Tu t'es lubrifiée ?
- Non... Mais,j'ai trop envie.


Ouaou,, sacre potentiel la voisine.
Maintenant je lui casse le cul à fond. Je rentre a fond la caisse au plus profond de ses fesses et j'y mets tout mon cœur.
Et le résultat ne se fait pas attendre : en moins de 5 minutes, je sens monter le foutre. Je me retiens un peu. Elle râle de bonheur. Elle adore se faire défoncer l'anus. Une excellente partenaire. Et d'un coup, je lâche tout. Je sens les grosses giclées qui partent dans son fondement. Je me vide complètement. Je continue a lui faire le cul tant que je peux. Je débande petit a petit, mais je continue tant que son sphincter ne me vire pas de la sublime place.
Une fois dehors, je me présente devant elle. Je tiens ma bite a la main et je la positionne devant sa bouche.
- Au lieu de lécher en cachette, nettoie moi la bite.


Et elle enfourne sans hésiter ma queue gluante et la nettoie a grands coups de langue. Visiblement elle adore ça. Je voudrais tenter d'aller plus loin mais c'est risque. Tant pis, je suis joueur.
Je vais chercher un verre dans la cuisine et je le positionne exactement sous son anus.
- Allez vas y enculee, pousse.


Et le foutre ressort de son trou. J'en récupère une petite quantité et je lui offre le verre a boire. Aucune hésitation elle avale le contenu avec un air extatique et des mines gourmandes. J'ai une sacrée chance.


Je suis épuisé, mais visiblement, elle est en pleine forme.
- Tu me disais quoi à propos d'un contrat d'esclave ?
Je suis trop bien. Je n'arrive pas a aterrir. Je plane encore dans les nuages.
- Dégage, petasse, et reviens demain pour qu'on en reparle. D'ici la tu attends. Tu peux te branler tant que tu veux. Par la chatte ou le cul, mais interdiction de jouir.
- Bien maitre. Merci.


Elle hésite un peu
- A demain alors ?
- A demain et pense à porter de quoi écrire.


Elle me fait un grand sourire. Elle rayonne.
- Merci, a demain.

 

Rencontres

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Mercredi 25 mars 3 25 /03 /Mars 09:26

Amis du sexe et du plaisir, bonjour.

 

Je viens de lire un petit livre très excitant, et je vous le recommande.

Il s'agit de "la chambre 121" de Boccere.

L'histoire initiale est celle d'un jeune garçon au chômage qui trouve un emploi de réceptionniste dans un hôtel. Mais dans cet hôtel il se passe des choses très curieuses, et toutes dans la chmabre 121.

En fait, cette histoire n'est qu'un prétexte pour mettre en scène des dizaines de situations perverses et explorer toutes les tendances sexuelles possible (trios, partouzes, bonnes soeurs, femmes encentes, lesbiennes, sodomie, ....).

L'ensemble est agréable et facile à lire, les dessins sont superbes et les situations très excitantes. Il y en a pour tous les goûts et chacun y trouvera des pratqiues qui lui plaisent.

De fait, il s'agit d'un recueil, les dessins originaux étant passés dans une publication périodique. Il s'ensuit donc une suite de sketches dont le fil conducteur est la chambre 121, le réceptionniste et la gérante de l'hôtel.

Ce genre de livre est à lire à deux, contrairement à la littérature classique sur ce sujet qui se lit plutôt seul.

Un incontournable à ne pas manquer qui devrait figurer dans la bibliothèque (sous clé, bien sûr) de tout érotomane qui se respecte.

Cliquez sur le lien pour avoir un aperçu et lire des critiques sur le livre.

Ensuite, c'est à vous de voir. Bonne lecture

 

 

 

 

 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Livre X
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Mardi 24 mars 2 24 /03 /Mars 18:15

... qu'on fait les meilleures soupes ?

 

C'est possible .

 

En tout cas, voici une histoire qui m'est arrivée il y a quelques temps de cela.

J'avais pris des vacances, et je me retrouvais au bord de mer.

Le ciel était au beau fixe, je venais d'encaisser un gros chèque et je devais rentrer au Maroc pour aller faire le cul à Yasmina et à Samia.

Comme j'avais eu beaucoup de travail et que je voulais assurer avec les filles, je voulais prendre un peu de repos. Je me doutais bien que dès mon arrivée, nous irions faire la fête et que nous ne dormirions que très peu.

J'habite dans le Var, et je rpofitais un peu du bord de mer avant la cohue des vacances. je ne supporte pas les hordes de touristes qui se jettent sur les plages pendant les periodes estivales. Ils n'ont aucun respect pour la mer ou les plages et dès le début de l'été, je me réfugie dans ma piscine ou je suis au calme et dans laquelle je peux me détendre.

Je ne pense pas être un privilégié : je bosse beaucoup et j'ai la chance d'avoir un métierqui me plait et qui me laisse pas mal de temps libre.

Ceci étant, j'en reviens à mon histoire. Je rentrais de ma baignade matinale avant que le soleil ne chauffe trop et je sentais ma peau se tendre sous l'effet du reste de sel marin à cause de l'eau qui avait séché sur moi.

A peine rentré, je file sous la douche me débarrasser du sel et je sors tout frais et dispo de ma douche, mais avec une trique pas possible. Qu'à cela ne tienne, je mets un DVD dans le lecteur du salon et je commence à me taper une petite branlette tranquille devant mon téléviseur.

 

Rencontres

 

Je regarde le film et je suis tout excité. Je ne vais pas tarder à jouir, quand tout à coup, je vois le chaton de la voisine qui promène tranquilement dans mon salon. L'idée me fait sourire, mais heureusement, je ne suis pas déconcentré.

Je ne vais pas tarder à jouir, quand je vois rentrer ma voisine, 70 ans aux cerises qui entre tranquilement dans mon salon, sans doute à la recherche de la boule de poils que j'ai vu quelques minutes plus tôt.

or, je suis à deux doigts (si j'ode dire) de jouir et impossible de m'arrêter en un moment pareil.... et je me finis en tirant un coup énorme qui va s'écraser sur le bas de la jupe de ma voisine.

Une fois passé les quelque secondes pour récupérer, je me confonds en excuses. Je suis absolument désolé, je n'imaginais pas qu'elle puisse être là, chez moi. et surtout, je suis confus, car techniquement parlant, je viens quand même de lui gicler dessus.

Ma bite et ma main droite sont pleines de foutre qui coule, bref, je ne peux pas me trouver plus mal. Pourvu que, collet monté comme je la connais elle n'aille pas hurler à la mort, et rameute les voisins. Je n'ai pas besoin de ça, la situation est suffisamment génante comme ça...

Mais à priori, elle ne dit rien. Mon foutre coule sur sa jupe, sans qu'elle n'y prête la moindre attention. Comprenant l'absurde de la situation, je me rends compte qu'elle regarde le film qui passe à la télé et que j'ai oublié d'arrêter.

Une superbe blonde à poils, mais en talons aiguilles de 20 cm suce une vingtaine de type qui la recouvrent de foutre à tour de rôle. Ma voisine semble hypnotisée par ce spectacle.

Je ne sais pas trop quelle contenance adopter. Je dois avouer que c'est la première fois que je me retrouve dans ce genre de situation.

Heureusement, tout en regardant la télé, elle me dit

- Vous vous rendez compte, je vais bientôt avoir 71 ans et je n'ai jamais sucé de ma vie... je ne sais pas quel goût a le sperme...

Heu.... je ne sais pas trop quoi répondre... j'ai envie de lui dire, profites-en, tu en as plein ta jupe, si le coeur t'en dit. Mais je ne suis pas un mauvais bougre. Je cherche à la consoler plutôt qu'à me moquer d'elle.

- Vous avez ce n'est pas grave. Certaines femmes trouvent cela infect. Vous n'avez rien perdu.

- N'empêche, j'aurais aimé me faire ma propre opinion.

Puis après un instant de silence, elle reprend :

- Vous permettez que je goûte le votre ?

Là, je suis sidéré. Pour une des rares fois dans ma vie ou cela m'est arrivé, je reste sans voix et je ne sais pas quoi répondre. Visiblement, elle prend mon absence de réponse pour un oui et récupére un peu de mon foutre sur son index et le met dans sa bouche pour le goûter.

- Celles qui n'aiment pas ont tort. Votre sperme est excellent.

Bon, je ne vais pas répondre, car je ne sais pas à quel jeu on joue exactement, mais je sens que ma bite, elle, a bien compris. Et en dépit de tous mes efforts pour penser à mes impôts, elle se dresse, prête à repartir à l'assaut.

Elle voit ma bite se dresser. elle n'est pas idiote, ni aveugle, visblement car elle regarde ma bandaison avec curiosité.

- Si cela ne vous dérange pas, me permettez vous de vous sucer ?

Je dois avouer que c'est la première fois que l'on me le demande de cette façon. Mais vu les circonstances, je ne suis pas contre une petite pipe.

Elle ne sait pas bien y faire car j'ai bien compris que c'est sa première pipe. Je prends les choses en mains (encore une fois si je puis dire). Je lui propose de s'assoir su mon canapé et je me place debout devant elle. Elle commence à me sucer de façon maladroite, mais visiblement, elle fait des efforts et s'améliore. Je sens que le foutre bouillone dans mes couilles. Que faire ? Tirer dans sa bouche ? Me retenir ? Finalement j'opte pour la solution intermédiaire. Je vais lui dire que je ne vais pas tarder à tirer et je vais lui laisser le choix de la suite.

Encore une fois, elle me prend au dépourvu : en pleine action, elle s'arrête. Heureusment, je n'étais pas encore au point de non retour.

Elle me regarde toute souriante :

- Vous avez quoi ? Je mouille....

Heu ?? Et là transformation radicale. Ma petite vieille de voisine, charmante et prude se transforme en vraie tigresse.

- Allez vas-y baise moi. Je suis en manque depuis des années, fais moi la chatte à fond... défoule toi et démonte moi le trou. Ca fait des années que je me retiens, mais là je n'en peux plus. Fais moi jouir, traite moi de tous les noms que tu veux, mais fais moi jouir.

- Heu.... Salope ?

- Oui tu as raison, je suis une vielle salope qui mouille.... Vas y continue, ça m'excite....

Il ne faut pas m'en promettre. Je la fis allonger sur le canapé, je relevai sa jupe souillée de foutre et je retirai sa culotte à l'ancienne.

- Alors tu mouilles, salope. Tu n'as pas honte à ton âge ? Tu es une vraie pute.

- Oui, je suis une pute. Une grosse pute. Vas y mets la moi profond maintenant....

 

Rencontre rapide

 

Je me présentai à l'entrée de sa chatte, mais c'est elle qui s'empala d'un coup. Le passage était un peu étroit, mais il se dilata facilement. Elle était bien chaude, à l'intérieur.

Je commençai à la limer, tout e continuant de l'insulter.

- Ca te plait, hein, salope de te faire ramoner le trou. Tu es une vraie pute. Mais en plus tu mouilles comme une folle. Tu es la reine des enculées.

Houla, j'avais du y aller trop fort : elle s'était arrêtée d'un coup. il faut dire que dans ces cas là, on ne fait pas vraiment attention à ce que l'on dit.

- Tu as raison. Je suis une enculée, mais pas encore en réalité. Vas y encule moi maintenant. Que je devienne une vraie enculée au vrai sens du terme.

Je sortis du con et je la fis installer en levrette. Je rabattis la jupe sur ses reins et je cherchai des yeux du librifiant. Habituellement mes copines n'en ont pas besoin. Vu le nombre d'enculades qu'elles se prennent, pas besoin de lubrifier. Mais pour un dépucelage anal à 71 ans, je pensai qu'il valait mieux y aller prudemment.

- Qu'est ce que tu attends ? Vas y, mets la moi dans le cul.

- Je vais te lubrifier sinon, je vais te déchirer.

- Je m'en fous, vas y à sec. Défonce moi, que je sois une vraie enculée.

Je la pénétrai. La pénétration était difficile, vu l'étroitesse du conduit anal. Il se révoltait contre l'outrage, mais ma voisine en voulait et elle s'envoyait en arrière sur mon chibre sodomite.

Je commençai à pénétrer dans son anus, mais la pénétration était difficile pour moi. Ca tirait sur ma peau, et je pensais qu'elle devait déguster. Mais au contraire de la décourager, cela semblait l'exciter encore plus. Puis d'un coup, l'entrée de son sphincter se dilata. Je rentrai d'un coup au fond de son cul.

- Aaaah Qu'est ce que c'est bon. Vas y encule....

 

Rencontre

 

Je commencai à la limer par derrière, et d'un coup elle se mit à jouir du cul. Cela déclencha ma propre jouissance et je tirai mon deuxième coup. Certes, il y en avait moins que la première fois, mais j'avais mis la dose.

Nous nous affalâmes sur le canapé, repus. Elle reprit 

- Mon cher, merci pour tout. 

Elle hésita.

- Vous savez... j'y ai pris goût, notamment à la fin. Seriez vous opposé au fait que de temps en temps, je vous rende une petite visite de voisinage ? Nous pourrions continuer à échanger quelques points de vue intéressants sur de nouvelles questions.

- Pas du tout, et je vous en remercie, ce fut un véritable plaisir. Et si on ne se rend pas service entre voisins...

- Très bien. Je reviendrai vous voir, et si vous en avez envie, n'hésitez pas à faire appel à moi si vous avez besoin de vous soulager d'une quelconque manière.

Je la remerciai et je la raccompagnai.

Sur le pas de la porte, nous nous dimes au revoir et elle me fit un baiser furtif sur les lèvres. Piuis elle ajouta :

- Au fait, vu la qualité de nos relations... je pense que nous pouvons nous tutoyer, maintenant ?

Je me demande encore si c'était ironique ou pas....

Mais l'histoire ne s'arrête pas là.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Jeudi 1 janvier 4 01 /01 /Jan 22:00

La suite de mes aventures avec Yasmina et Samia (voir ici pour l'épisode précédent)

 

Nous étions donc affamés, quoique rassasiés de sexe. Bien que je ne veuille pas l'avouer, les deux filles m'avaient épuisé.

Je voulais un peu me reposer et aussi me sustenter, car je ne perdais pas de vue que je devais toujours continuer mes activités professionnelles, bien que pour le moment, je n'aie pas fait grand chose de constructif pour mes clients.

 

 

Mais le merveilleux moment que je venais de passer ne pouvait pas avoir de fin, du moins, pas cette fin là. Tant pis pour mon contrat, je n'avais jamais autant joui de ma vie.

Après une courte discussion pour choisir un bon restaurant, nous nous préparames pour le repas. Je retournai chez moi pour prendre une bonne douche et me changer, choisir une tenue qui fasse honneur à mes compagnes.Je ne fus pas long à revenir chez les filles.

Elles aussi étaient en train de se préparer à sortir. Je les regardais, tandis qu'elles se préparaient, se faisant parfois un petit bisou sur la bouche, mais n'oubliant pas de m'en faire à moi aussi.

Finalement, elles furent prêtes. Elles étaient sublimes quoi que sagement vêtues. Le maquillage était minimal, mais parfait. De véritables princesses des mille et unes nuits.

Elles avaient choisi un restaurant du quartier, et il était facile de s'y rendre à pieds. Le trajet ne prit que quelques minutes. Le restaurant était sympathique, sans doute une affaire familiale et un serveur nous conduisit rapidement à une table. Le décor était local et de bon goût. Les filles étaient gaies et souriantes, bref, la soirée s'annoncait plaisante.

Nous devisions de tout et de rien, et les filles me demandèrent de leur faire confiance pour le choix du repas. Bien entendu, je me fis un peu prier mais je leur faisais totalement confiance pour tous les plaisirs de la vie, et manger n'est il pas un palisir comme un autre ?

La commande fut passée et nous échangeames un peu sur nos projets professionnels. Difficile d'aboder certains sujets plus intimes en public, dans la joyeuse foule et le brouhaha d'un restaurant.

Yasmina était photographe, je le savais, mais je ne savais strictement rien d'autre à part que c'était una amante du tonnerre. De Samia, je ne savais absolument rien, et naturellement, la conversation s'orienta sur elle. Elle nous apprit qu'elle avait fait des études de comptabilité et qu'elle ne trouvait pas de travail. Yasmina et elle étaient amies d'enfance et elle posait souvent pour des photos, ce qui lui permettait d'avoir une activité professionnelle régulière et de gagner sa vie. Je n'avais pas posé la question, mais Yasmina me précisa que les photos étaient des photos professionnelles, sur lesquelles Samia jouait différents rôles pour illustrrer les plaquettes publicitaires de différentes compagnies. Sur l'une, elle était une touriste chemisette-short en pataugas et baton à la main, contemplant l'horizon à partir des collines environnantes, sur d'autres, elle était véliplanchiste, sur d'autres encore, secrétaire, et même danseuse orientale.

Je la complimentai sur sa plastique en danseuse orientale, pensant qu'elle ne faisait que poser, mais les deux amies m'expliquèrent qu'elles faisaient toutes les deux de la danse depuis leurs 4 ans. Ceci expliquant cela, je compris d'où leur venait un corps aussi splendide, fin et musclé, avec des muscles longs et une grâce naturelle dans tous leurs gestes.

Elles avaient commandé une chorba en entrée, suivi d'un couscous. Les plats étaient délicieux, mais nous étions tellement absorbés dans notre conversation que nous ne rendimes pas justice au talent du cuisisnier. Nous passames tout le repas à parler de danse orientale. C'était pour elles plus qu'un sport ou qu'un art... c'était un art de vivre...

Et au lieu de commander un dessert, nous décidâmes de rentrer à la maison et de boire un thé ..après une démonstartion de danse.

Le retour fut tout du long ponctué par la conversation sur la danse et nous n'arrétames d'en parler que lorsque les filles durent se changer pour mettre leurs tenues de danse.

Je montai sur la terrasse, sous l'auvent et je disposai des chandelles et des torches. La nuit était claire, le ciel étoilé et je fis du rangement pour assister à une démonstration privée. Je poussai les tables basses, mis en place les sofas, préparai la chaine HiFi avec mon iPhone pour la musique, puis je m'assurai qu'alentour, personne ne pourrait nous voir. Quand tout fut fait, je m'assis, posai les bras sur le haut des coussins des fauteuils, j'étendis les jambes et je croisai mes chevilles et j'attendis mes partenaires.

 

 

Quand elles arrivèrent sur la terrasse, je fus subjugué. C'étaient bien plus que de simples amatrices. Leurs tenues étaient superbes, pas du tout ce que l'on trouve pour les touristes dans les étals du marché ou les boutiques attrapes gogos. Leurs tenues étaient de très bonne qualité, faites pour elles sur mesure. Elles se mirent en position. j'eus un frisson : je les avais enculées à tour de rôle toute la journée et je les découvrais le soir même comme des stars, en costume, prêtes à offrir un spectacle de choix.

Je lançai la musique. Légères comme des papillons, elles commencèrent leur chorégraphie. Les tremblements, les chameaux, les jeux de voiles, tout était merveilleux. J'avais changé de planète, j'étais subjugué par leur beauté.

Elles dansaient ensemble, se frôlant, exécutant des figures à deux, et je commencai par tomber sous l'emprise de leur jeu sensuel. Je sentais l'excitation monter en moi. Elles aussi en dansant devaient être excitées et rapidement, elles échangèrent des baisers sur la bouche, tout en continauant à danser. Puis, ce furent des frolement, et elles se carréssaient la poirtine, dans le tintement des sequins d'or qui recouvraient leurs vêtements. Enfin, tout en dansant, elles se rapprochèrent de moi. Je me levai et entrai dans leur jeu. Elles me déshabillèrent sans même que je m'en rende compte, ou plutôt tous mes sens étaient saturés au point que je ne me rendais as compte de mon déhabillage. Tantôt l'une tendait sa bouche et sa langue que je me hatais d'embrasser, tantôt l'autre.

Je bandais tellement que j'en avais mal à la bite. Les voiles, la danse lascive, la musique, j'étais hors du temps et de l'espace. Puis, elles s'embrassèrent et se carréssèrent à quelques pas de moi. Leurs langues virevoltaient et on aurait que leurs langues dansaient elles aussi. Mais ce qui me faisait le plus d'effet, c'étaient leurs yeux, promesses de plaisirs interdits et pourtant voluptueux.

Yasmina s'agenouilla et engloutit ma bite tendue... Samia m'embrassait à plein bouche. Je plapai leurs corps avec mes maisn et le contact du tissu et le froid des sequins m'excitait au plus haut point. La bouche chaude lacha ma queue pour aller se coller contre celle de Samia et les langues recommencèrent leur ballet. Parfois elles ouvraient leurs bouches pour que je puisse profiter du spectacles, mais parfois elles se laissaient aller bouche contre bouche, comme de vrais amants.

Puis ce fut au tour de Samia qui délaissa ma bite pour aller ... me lécher le cul.... yasmina s'occupait de ma bouche avec sa bouche mais aussi de ma queue avec ses mains... Je ne pensais plus a rien si ce n'est à fourrer ma queue n'importe où dans un de ces deux salopes. Yasmina avait compris elle se tourna, baissa son pantalon sans l'enlever et écarta ses fesses.... Je l'enculai sans la moindre précaution et sans ménagement. A sec.

Elle se mit à haleter de plaisir. Elle devait aimer ces pénétrations brutales sans préparation. Je sentis de nouveau la langue de Samia qui s'occupait de me lécher le cul. Pour enculer Yasmina je m'étais avancé et elle avait perdu le contact qu'elle venait de reprendre.

L'anus de Yasmina était doux, chaud et élastique. Il enserrait divinement ma queue... Je lui bourrai l'intestin, pensant que je me tiendrai pas longtemps dans ces conditions. Elle se dégagea et se retourna tout en s'agenouillant. La danseuse était une vraie sportive pour faire ce mouvement rapidement et avec grace, et elle me reprit dans sa bouche, et me nettoya la queue fraichement sortie de son cul. J'allais tirer, mais elle s'arreta, et me fit pivoter. Samia avait pris la position adéquate, penchée en avant, ses mains tenant ses chevilles, trou du cul offert. Je ne posai pas de question, je poussai pour l'enculer le plus fortement possible, tandis que Yasmina cette fois me léchait le trou du cul....

Je défonçai Samia de toutes mes forces, et très vite je déchargeai..... Je sentais mes couilles se vider et je sentais mes jets de foutre partir au plus profond de ses intestins. Les jets continuaient par intermittence, mais je ne sais pour quelle raison, je ne débandai pas... Je sentais l'anus s'ouvrir encore, si cela était possible, et je décidai de lui exploser la rondelle. Je la pillonai sans ménagement. l'anus ne présentait plus auune résistance....

 

 

Yasmina se releva, vint à coté de moi et me fit déculer de Samia. Je n'étais pas plutôt dehors, qu'elle engloutit ma bite dans sa bouche et me nettoya des sécrétions de Samia. La, je jouis encore une fois, mais avec une telle intensité que je faillis me trouver mal... Je dus m'assoir car je ne pouvais pas rester debout. Mais je continuais à voir le spectacle. Yasmina, léchait le cul de Samia maintenant et mon foutre sortait de son trou du cul. Malgré ses efforts pour ne pas en perdre une goutte, des traces de sperme maculaient le haut du pantalon de Samia. Yasmina avait sa bouche soudée à son cul et nettoyait tout à grands coups de langue....

Le trou du cul de Samia était complétement explosé. Yasmina s'écrata pour me permettre de contempler mon oeuvre quand, avec une coulée de foutre, une petite crotte tomba sur le haut du pantalon de Samia. Tout en me ragardant dans les yeux, Yasmina, leché le pantalon et prit la crotte dans sa bouche, me fit contater qu'elle l'avait bien dedans, puis la macha et l'avala avec des mines gourmandes.

Je me remis à bander de nouveau, mais j'étais tellement bien vidé que je n'étais pas raide. Samia avait déjà joui quand je m'étais vidé en elle. Seule Yasmina n'avait pas profité de sa soirée, mais j'étais incapble de l'honorer...

Alors Samia prit les choses en mains, si j'ose dire... Elle cracha à plusieurs reprises sur l'anus de Yasmina puis lui planta deux doigts dans le rectum. Yasmina était tellement excitée qu'avec quelques va et vient des doigts de Samia, elle explosa....

 

Encore une excellente soirée.... à suivre dans le prochain épisode....

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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