Humiliation

Vendredi 4 octobre 5 04 /10 /Oct 21:56

Je raconte habituellement mes anecdotes mais je pourrais aussi vous raconter certaines histoires qui sont arrivées à certains de mes amis. 

 

Par une matinée d'automne, Christine se depechait  de rentrer des courses car l'orage menaçait. Au moment de son départ, le temps était mitigé mais au retour, l'orage était imminent. 

 

Christine porte en permanence des talons aiguilles. Eté comme hiver, en vacances ou au travail, elle est juchée sur au moins 8 cm d'aiguille d'acier.  Elle a commencé à en porter à 16 ans et n'a jamais arrêté depuis. 

 

Elle habite un petit village dans le Var. Et donc, pour en revenir à notre histoire, elle rentrait des courses lorsque l'orage éclata. Elle était encore loin de sa maison et devant la violence des éléments, elle jugea plus prudent de stopper sur le bas côté. La pluie tombait tellement qu''elle ne voyait plus rien à travers le pare brise. Elle actionna les essuie-glaces pour tenter d'y voir plus clair mais comme de juste, pour satisfaire la Loi de l'Emmerdement Maximum, les balais se retournèrent et se gauchirent sans doute sous l'effet des trombes d'eau. 

 

Que faire ? A n'en pas douter, il fallait sortir sous la pluie pour tout remettre en place. Prenant une profonde inspiration, elle sortit. 

 

La violence de l'averse lui coupa la respiration mais elle continua comme prévu pour réparer ses balais. La terre s'était transformée en gadoue et elle pataugeait dedans. Ses talons s'enfoncaient dans la terre molle, menaçant de la déséquilibrer à chaque pas. Sa progression était difficile car la boue «aspirait» ses chaussures et elle devait faire des efforts pour ne pas les perdre. Et ce qui devait arriver arriva. 

 

La pluie ruisselait sur sa tête et degoulinait le long de ses cheveux. Elle passait régulièrement sa main autour de ses oreilles pour dégager son visage et ses yeux et ce faisant, elle perdit sa concentration et tomba dans une immense flaque de  boue. 

 

Chaussures perdues pantalon totalement enduit et le haut maculé. Le sac recouvert de boue était à deux mètres d'elle, mais inutile de l'ouvrir pour courir en plus le risque de perdre quelque chose d'important comme sa carte bancaire ou ses clefs. Rentrer dans la voiture couverte de gadoue ... hors de question. 

 

En plissant ses yeux, elle vit une forme sombre sous la pluie. Une construction, sans doute une grange. La solution s'imposait d'elle-même. Elle ramassa ses chaussures par les tiges des talons et se mit en route. 

 

Au bout de 5 minutes de marche (qui par un temps pareil en valaient au moins 10 de marche conventionnelle) elle arriva à la porte de la grange. La grande porte était verrouillée mais sur le côté, une porte de service lui permit d'entrer. Une fois à l'abri, elle poussa un soupir de soulagement. La toiture était solide et surtout étanche. Elle entendait l'orage marteler les panneaux du toit mais elle était en sécurité. Par contre, au bout de quelques minutes ses vêtements trempés la firent grelotter. La seule solution qui s'imposait d'elle même : aménager un coin fouiller et s'y reposer. Ses talons aiguilles étaient trempés mais propres. Elle se les remit aux pieds pour pouvoir marcher sur le sol inégal sans risque de se faire mal. Par contre, elle se déshabilla entièrement et se mit à disposer des bottes de paille pour se faire une couchette et poser ses habits trempés pour les faire sécher. 

 

Elle s'allongea sur une vieille couverture trouvée sur place pour éviter que la paille ne la picote. 

 

Elle sentait ses membres s'engourdir et le sommeil la gagner quand elle réalisa quelle entendait une respiration haletante. Instantanément, elle se réveilla et chercha l'origine du bruit. Elle ne mit pas longtemps à comprendre. Dans le grenier du dessus, un jeune garçon la regardait tout en se branlant de toutes ses forces. Au lieu d'être scandalisée, elle fut flattée et y prit plaisir. Mieux : sa libido reprenant le dessus, elle décida d'aller à la rencontre de son admirateur branleur. 

 

Le jeune garçon était nu comme un ver et s'astiquait la tige avec une ardeur toute juvénile. Mais quand il vit Christine approcher, il arrêta son mouvement. 

- Ne t'arrête donc pas mon chéri ... ce que tu fais est sain et naturel ... continue. .

Elle posa le pied sur l'échelle et monta à l'étage, toujours entièrement nue et avec ses chaussures à talons aiguilles. Le garçon continuait à se polir le chinois mais en douceur, au ralenti. Il ne comprenait pas trop la situation, mais elle était pleine de promesses et il ne voulait pas gâcher ses chances par une gaffe monumentale. Christine comprit rapidement la situation. Elle s'approcha doucement en cliquetant sur le plancher de bois et s'accroupit face au jeu ne homme :

- Alors mon gars, tu as déjà vu une belle moule qui ne pousse pas sur un rocher ?

Le gamin avait les yeux exhorbites ... ce devait être sa première chatte et aucune de ses copines ne risquait de lui présenter la chose de cette façon. Il n'osa  pas répondre. C'est à ce moment là que Christine réalisa les dimensions de son engin ...

- Putain, mais tu as un braquemart de cheval.... Tes copines arrivent à tout se prendre dans la chatte ou tu es obligé de leur mettre dans le cul ?

 

Le pauvre garcon ne résista pas. Il se mit à tirer d'énormes jets de foutre crémeux dont une grande partie alla s'écraser sur le visage de Christine. Par réflexe, elle avala tout ce qui était tombé sur ses lèvres et elle se passa la langue sur les lèvres pour ne pas en perdre une goutte. Le jeune homme, les yeux écarquillés regardait les traces de son foutre sur le visage de la femme qui ne paraissait nullement incommodé d'être engluée de foutre. 

- Tu ne connais pas ta chance, mon mignon ... et elle se fourra l'énorme pine dans la bouche pour lui offrir une superbe pipe. La queue remonta et se raidit en moins d'une minute. Christine était ravie mais dut vite déchanter car moins d'une minute après la grosse bite cracha son deuxième coup. Christine a toujours avalé le sperme de ses partenaires mais la elle eut dû mal à ne pas en perdre une goutte tellement elle en récut en bouche. Elle était décue non pas du tir dans sa bouche mais de la rapidité du tir. S'il tirait à cette vitesse, ce serait dur de s'amuser. 

 

Mais une fois de plus, elle fut surprise car au bout de quelques minutes il se remit à bander comme un âne. Cette fois, elle était bien résolue à en profiter. Elle s'allongea, jambes écartées sur une botte de paille en regardant son partenaire droit dans les yeux. Celui ci avait compris que c'était son jour de chance. Ses petites copine habituelles devaient faire des minauderies pendant des heures avant de lui toucher la bite et la il avait à sa disposition une femme expérimentée qui ne ferait pas de chichis pour obtenir ce qu'elle voulait. Il se précipita mais Christine le calma. 

- Doucement ... Je suis bien décidée à jouir ... Alors écouté moi : on va faire comme je dis. Ne t'en fais pas. Tu as bien compris que tu vase baiser. Donc pas la peine de se précipiter. Regarde ma chatte de plus près. 

Il va de soi que le gamin était tellement impatient qu'' il en tremblait. Mais il savait qu'' il devait écouter et que cette chance ne se présenterait pas une seconde fois. 

 

Elle lui expliqua comment trouver le clitoris, comment le branler, puis elle lui expliqua comment la doigter et ensuite elle se fit bouffer la chatte. Et malgré ses erreurs dues à l' inexpérience, elle jouit au moins trois ou quatre fois pendant cette initiation. 

 

Ensuite elle lui demanda de la pénétrer. La encore, elle guida son étalon toujours fougueux qui commençait à trépigner d'impatience. Le jeune garçon la pénétra et commença à baiser. Christine ne voulait pas hâter les choses : elle voulait bien profiter d'une jeune queue infatigable bien qu''inexpérimentée. Mais au bout de quelques minutes, elle jugea sa position trop inconfortable pour jouir correctement. Elle décida donc de joindre l'utile à l'agréable en trouvant une nouvelle position agréable pour elle et offrir une nouvelle expérience à son jeune étalon. 

 

Elle lui proposa de tester la levrette, ce que le garçon accepta avec joie. Il sortit du con, la bite reluisante de mouille, car Christine mouille abondamment. Quelques secondes pour changer de position et elle offrit ses fesses à son jeune partenaire. Et quand je dis offrir ses fesses...

 

Le jeune garçon s'approcha la bite à la main mais au lieu d'enconner il encula. Heureusement vu la mouillé et le fait que Christine se fait enculer trois fois par jour, la chose se passa le mieux du monde. Christine adoré se faire ramoner le cul à condition qu''on la prévienne. Elle allait enguirlander son enculeur quand elle sentit la décharge partir dans ses intestins. La puissance du jet, le volume et la chaleur, bien qu''innatendus la firent jouir comme elle avait rarement joui. Le plaisir fut si violent qu''ils se laissèrent aller sur le sol pour récupérer. 

 

Au bout de quelques minutes, Christine ressentir le froid. Elle avait totalement oublié le dehors. Elle se leva et se remit sur ses talons aiguilles qu'elle avait conservés tout au long de la séance. Elle chercha des yeux de quoi se couvrir. Mais son jeune étalon fut des plus galants. Il prit une couverture (à l'odeur celle d'un cheval, mais elle était était si touchée par le geste qu''elle s'abstint de tout. commentaire. Le jeune garçon fit voler la couverture pour les couvrir tous les deux. 

 

Ils restèrent ainsi blottis l'un contre l'autre pendant un long moment. Puis Christine se rappela qu''elle avait une vie à l'extérieur et des courses à rapporter à son domicile. Elle fit un long baiser à son jeune amant. Elle enfila ses vêtements encore mouillés et froids et se remit en route. Jusqu'à une prochaine aventure que je ne manquerai pas de vous raconter.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Vendredi 4 octobre 5 04 /10 /Oct 21:54

Durant mes jeunes années, comme tout mes condisciples, je suis allé à la fac.  J'y ai étudié aussi. Mais les principaux souvenirs que j'en ai se sont passés en dehors des salles de cours ou de TP. Principalement mes souvenirs sont liés à la cité U. Une certaine liberté y régnait pour ne pas dire une liberté certaine. 

Un soir, une copine d'origine sud américaine m'avait invité à passer la nuit avec elle. La connaissant, je me faisais une joie de la soirée que j'allais passer et qui je n'en doutais pas resterait dans les anales (non, il n'y a pas de faute). Les derniers exams étaient passés et nous avions quelques jours entre la fin des épreuves et nos résultats. Ma copine s'appelait Soledad et était une brune torride. Nous avions rendez vous à 22 heures. 

A 22 heures piles, tout beau et tout fretillant, je toquai à la porte de Soledad. J'avais apporté une bouteille de champagne et je pensais que Soledad aurait prévu une soirée explosive car elle avait le sang chaud. 

Quelle ne fut pas ma surprise, lorsque la porte s'ouvrit de voir Soledad en vieux survêtement.  Je mis quelques secondes à réaliser. Des qu''elle me vit, elle me fit entrer tout en parlant avec un débit rapide pour m'empêcher de parler sans doute pour éviter tout impair de ma part. 
- Salut, c'est toi ? Entre ... Ne fais pas attention au désordre. 
Je compris qu''elle n'était pas seule. J'entrai et je vis que la chambre était parfaitement en ordre, mais qu''une de ses copines était la, allongée en travers du lit, en train de regarder le plafond. Elle le contemplait sans rien faire. Je jetai un regard interrogateur à Soledad. 
- C'est Vanessa. Son copain vient de la plaquer. Comme elle broie du noir, elle est venue frapper à ma porte pour ne pas être seule. 
- Oui, bien sûr, je comprends ... Pas de souci ... Je repasserai demain. 
Soledad ne pût s'empêcher d'afficher une mine contrite malgré tous ses efforts pour avoir l'air cool.  Vanessa dut le voir ou le sentir. 
- Toi, tu as de la chance, Soledad. Les hommes te courent après. Tu n'as que l'embarras du choix. Moi je n'ai pas baise depuis 2 ans. Même Gérard ne m'a pas touchée et maintenant .... il est parti. 
Vu l'attitude de cocker dépressif qu''elle arborait, la chose n'était guère étonnante. Mais Soledad avait tilte sur un point précis :
- Quoi ??? Tu n'as plus baise depuis 2 ans ??? Sérieux ??? Deux ans ??'
Pour Soledad qui avait presque en permanence une bite dans un de ses trous, la chose paraissait déconcertante. Elle se tourna vers moi et me demanda de l'air le plus naturel du monde :
- Et toi, tu peux rien faire ???



Je dois avouer qu'elle me prit totalement au dépourvu. Je balbutiai 
-  Heu.... Ben...Disons que... C'est à dire...
- Quoi ? Tu veux pas baiser Vanessa ??
- Heu... C'est pas ca, Soledad, mais .... Heu... Il faudrait peut être demander son avis à ta copine....
- Je suis d'accord. 
D'un même mouvement, tous les deux, ébahis, nous regardames Vanessa. Elle baissa les yeux et repeta :
- Je veux bien baiser avec ton copain.

Soledad m'a toujours habitué à des trucs surprenants Mais je dois avouer que la... Elle avait fait fort. Très fort....

Soledad s'empressa de confirmer :
- Après tout tu es venu pour ca. Que se soit avec moi ou avec elle pour toi, c'est pareil. 
- Pas tout à fait, Soledad. Pas tout à fait...
Elle me jeta un regard appuyé qui voulait tout dire. 
- Mais tu sais, Soledad, ta copine est très sexy aussi et ne le prends pas mal très désirable. 
- Je ne le prends pas mal. Au contraire. 
Et à son regard, je compris que j'avais fait le bon choix. Et que Soledad saurait se montrer reconnaissante. Très reconnaissante. 

Pendant ce temps, Vanessa n'avait pas perdu son temps. Elle avait enlevé ses baskets, son jean et son haut blanc et se trouvait allongée sur le dos, jambes totalement écartées. Soledad annonca :
- Ma pauvre Vanessa, tu es trop coincée. Profites-en. Tente au moins une levrette. 
Vanessa rougit, hésita .... et finalement prit la pose. 

A ce niveau de l'histoire, je dois expliquer que Soledad est une vraie sodomite. Elle préfère par la porte étroite que par la voie normale. Elle doit se faire enculer dix ou douze fois pour une fois dans la chatte. Donc pour elle la levrette est la position naturelle. Et moi, bien entendu lorsque je me presentai devant (ou plutôt derrière) Vanessa, par un réflexe pavlovien totalement idiot mais tout à fait compréhensible, je tentai d'introduire ma bite dans son cul. 

Immédiatement, la fille se jeta au sol sur le ventre et hurla, pleura et nous joua toute une comédie. 
- Espèce de salaud. Tu me prends pour qui ? Je suis pas une pute. Je me fais pas enculer. Espèce de con. Tu es un vrai connard. Tu vas enculer qui tu veux mais pas moi....

Soledad riait moins maintenant. Avec toutes les insanités que l'autre sortait sur la sodomie et les enculées, elle commencait à être moins compatissante avec Vanessa. 

Pendant que je notai le changement d'attitude de Soledad, Vanessa continuait ses jérémiades. 
- ... et tu me prends pour qui ? Je suis pas une des salopes que tu as l'habitude de baiser. Je suis une fille propre moi... Et d'ailleurs avec Soledad tu n'aurais pas fait comme ca, tu aurais été respectueux, poli et tu l'aurais pas enculée directement et ....
- VANESSA !!!!
Soledad avait hurlé ... et chez elle c'était exceptionnel. Tellement que Vanessa et moi restames interloqués. Et silencieux ... au point que Soledad continua :
- Moi je suis une salope et une enculée   Et j'en suis fière. Et puisque tu ne veux rien faire, moi je veux bien me faire  enculer. 
Je ne savais pas trop comment gérer la situation mais je comprenais que je devais faire quelque chose. 
- Bon... Soledad, on va y aller. Mets toi en position. A sec ?
- A sec !
Je connaissais bien Soledad et je savais qu'' il n'y avait pas besoin de lubrifier. Mais je préférais ne pas commettre d'impair. Je me presentai et assez rudement, j'enculai Soledad. 

 



Vanessa était maintenant comme hypnotisée. Elle s'approcha pour mieux voir ma bite rentrer et sortir de l'anus de Soledad. Pas besoin d'être surdoué pour voir qu'elle  avait une sacrée habitude de la chose. Vanessa semblait en transes. Mais quand Soledad se mit à jouir par le cul en criant des insultes en espagnol, elle se mit à se branler devant le spectacle, et réussit l'exploit de jouir en moins de deux minutes. 

Quand nous eûmes un peu repris nos esprits, nous entendimes Vanessa dire avec une petite voix timide :
- Je veux bien essayer. 

Cette fois, ce fut avec Vanessa que j'échangeai un regard interloqué. Mais avant que nous ayons eu le temps de réaliser, Vanessa s'était mise à genoux et me tallait une super pipe. 

Pour une fille qui ne voulait pas passer pour une salope, elle sucait m'a bite tout juste sortie du cul de Soledad et donc encore imprégnée de ses sucs et de son odeur. Je retrouvai assez rapidement assez de rigidité pour honorer Vanessa et nous réprimes donc ou nous en étions avant cette interruption. Par contre, Soledad n'était pas mauvaise fille : elle sortit un tube de gel lubrifiant. Elle prit une noisette de gel et se frotta. les mains. Puis elle me massa la bite pour l'enduire  de lubrifiant. Ensuite elle glissa un doigt plein de gel dans le cul offert. Elle avait raison : une bonne lubrification est essentielle dans ces cas là. 

Je me presentai à l'entrée et je poussai doucement. Soledad avait tellement mis de gel que m'a queue glissait au lieu de rentrer dans cd cul offert. Alors Soledad prit les choses en mains... c'est le cas de le dire. Elle prit ma bite et la guida sur le petit trou et la maintint tandis que je poussai doucement mais fermement. Ma bite entra dans l'étroit fourreau doux et chaud. Je l'enculai lentement, en douceur. Finalement à son tour, elle jouit. A mon tour, je me laissai aller. 

Soledad en profita pour se branler et jouir devant le spectacle comme Vanessa l'avait fait précédemment. J'étais épuisé mais content. Finalement, Vanessa se rhabilla et nous laissa seuls pour terminer notre soirée à deux. Mais Vanessa nous réservait encore quelques surprises. Mais cela est une autre histoire qui vous sera contée en son temps.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Vendredi 6 septembre 5 06 /09 /Sep 00:23

Comme je l'avais déjà dit, il y a une suite à mon aventure au sommet..., comme vous avez déjà pu le lire...

 

La première partie s'était parfaitement bien passée.

Nous nous étions séparés juste en bas du télécabine, et nous avions échangés nos numéros de téléphone.

Chacun reprit sa voiture et nous reprimes la route.

La nuit tombe vite en montagne, et très rapidement, je roulai dans l'obscurité. Après avoir activé mes feux de croisement, je constatai qu'une voiture me suivait. Au début, je n'y fis guère attention, mais je ne sais pour quelle raison, je fus rapidement irrité d'être suivi. Ce genre de réaction est totalement irrationnel, mais humain.

Arrivé à la station, je mis mon clignotant pour tourner et rejoindre mon parking. Ma voiture suiveuse fit de même. Je conduisais en regardant presque plus dans mon rétroviseur que devant moi. Je trouvai une place libre, et je me garai. De nature curieuse, je suivis l'autre voiture se garer un peu plus loin.

Je faillis tomber de stupéfaction : la conductrice de la voiture n'était autre que ma partenaire de l'après midi...

Je l'appelai. Elle tressaillit. Elle était aussi stupéfaite que moi...

Nous étions assez génés. Nous n'avions pas prévu une telle situation. Mais, heureusment, je suis assez calme de nature, et comme je connais les Lois des grands nombres, ou plus exactement la LEM (Loi de l'Emmerdement Maximum), je posai les questions qui fachent...

 - Tu bosses ici ?

- Oui, mais...et toi ?

- Ben je suis développeur indépendant et je bosse pour XXXX.

- Ah...

 

Rien qu'au ton employé, j'avais compris : je venais de faire boire mon foutre et ma pisse à une de mes commanditaires...

Autant prendre les choses du bon coté, car tant l'un que l'autre nous étions coincés si cette situation devait s'éterniser...ou pire être connue des autres commandiataires...

- Hé bien, puisque nous avons déjà lié connaissance, autant en profiter pour nous amuser tout le reste du temps que durera ma mission, non ?

Elle n'hésita qu'une fraction de seconde, et hocha la tête en souriant.

Je lui tendis mon bras et elle le prit. Quelques minutes après, nous faisions route, bras dessus, bras dessous en riant comme de vieux amis.

Je l'accompagnai vers un bar qui me paraissait sympathique, et lorsque j'ouvris la porte, une grande bouffée d'air chaud et des relents de musiques, de bruits de conversation et d'odeur de bar nous enveloppa.

Nous primes conscience de la froideur du dehors, et frissonnants, nous entrames.

 

Le bar était sympathqiue, très sombre avec des points de lumière tamisée et un système de box qui permettait de conserver une certaine intimité, tout en étant installé parmi des dizaines de consommateurs.

Une table pour deux, isolée dans un coin, nous parut convenir parfaitement à nos dessins... Je choisis le coté banquette, contre le mur et elle s'assit sur la chaise recouverte de velours rouge. Vu ce que avions fait quelques heures plus tôt à peine, nous n'allions pas nous embarasser de conventions particulières

Nous discutames essentiellement de cul... Les pratiques de chacun. Les siennes étaient originales mais simples. 

Les miennes étaient ....plus complexes...

Elle m'avoua être fétichiste, légèrement masochiste et totalement folle des secrétions...

Son premier petit copain l'avait quittée le jour ou elle avait léché d'un coup de langue la petite goutte de rhume qui pendait au bout de son nez.

Ensuite, elle avait eu de nombreuses difficultés avec ses différents petits copains.

Au début, ils appréciaient qu'elle avale leur foutre à chaque pipe, mais très rapidement, ils souhaitent tirer leur coup dans d'autres trous. Elle consentait, mais préférait l'avoir en bouche pour en tirer tout le jus.

Par contre, très peu supportaient l'épreuve de la pisse...

Au début, elle inventait des histoires d'analyse d'urines pour se procurer le précieux liquide. Mais rapidement, ils comprenaient le véritable but qu'elle poursuivait et, scandalisés, ils la quittaient avec pertes et fracas...

Le vin épicé des Alpes est bon, surtout quand il fait froid, mais il est aussi traitre... Très rapidement, elle se laissa aller à des confidences très ...épicées elles aussi...

Invention ou fantasme, elle me raconta qu'un jour, affamée de sperme, elle pénétra dans les vestiaires d'une équipe de foot pour pomper tous les joueurs les uns après les autres.

Ensuite, elle me confia (en riant très fort) qu'un jour, en allant faire du cheval,le cheval lui avait pissé dessus et qu'elle avait eu un orgasme.

Loin d'être ennuyée par cette mésaventure, elle s'était posé la question de savoir si elle sucait le cheval, quelle quantité de sperme il pourrait envoyer et si elle pourrait tout avaler...

Heureusement ce dernier point était resté à l'état de question...

La nuit s'avançait, et nous étions tous deux excités au plus haut degré...

Elle se pencha à mon oreille et sussura :

- Tu veux tirer ton coup dans mon cul ?

Elle disait cela d'une façon détachée comme elle aurait dit qu'elle appréciait le dessert...

- Oui on va où ?

- Dans les chiottes...

- ???

- Ne me dis pas que tu ne l'as jamais fait ?

- Ben...

- Ben ca sera une grande première pour toi.... Allez, habituellement la fille part et va s'installer, et son mec la rejoint... Et nous on va faire l'inverse...on attiera moins l'attention...

- Si tu veux...

- Je veux...alors vas y.... J'arrive...

Je me levai et allai aux toilettes sous l'oeil indifférent de tous les clients et de tout le personnel. J'entrai et je verouillai la porte sans doute par habitude.

Quelques minutes plus tard, j'entendis gratter. Un peu angoissé, j'ouvris. Ouf ! C'était bien elle...

Elle ne perdit pas de temps :

Elle se déshabilla en quelques secondes, enjamba la cuvette et se pencha en avant en prenant appui sur la réserve d'eau.

- Allez vas y, encule...

A mon tour, je baissai mon pantalon sur mes chevilles. Quelques mouvements de branle pour avoir la raideur nécessaire à un bon enculage et je la lui mis dans le cul...

Elle jouit au bout de quelques minutes, mais je pense que le vin chaud y avait beaucoup aidé...

Une fois qu'elle eut joui, je me libérai à mon tour et je sentis les jets partir au plus profond de ses boyaux.

Moi aussi, après l'après midi torride, et toute l'excitation du repas, je n'en pouvais plus...

Je me retirai et j'admirai son cul béant se vider de mon liquide blanc.

 

Je ne fus pas déçu... Dès que j'eus déculé, elle se mit deux doigts dans le cul, tourna bien à fond et quand ses doigts furent bien humectés, elle se les fourra dans la bouche et le nettoya avec délectation...

Elle continua ce même manège au moins une vingtaine de fois...

Mais notre soirée n'était pas finie...

La suite dans le prochain billet.....

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Lundi 12 août 1 12 /08 /Août 18:24

Je ne vais pas le répéter encore une fois mais mon travail me permet de passer pas mal de temps à l'extérieur et j'en profite pour voyager aux frais de mes clients.
Certes, je suis raisonnable et je n'abuse pas mais je ne me prive pas de visiter mes lieux de villégiature lorsque je ne suis pas en rendez vous avec mon client.

Cette fois là, j'avais été appelé du côté de Serre-Chevalier pour faire un site pour un restaurant sympa. Les séances de travail étaient obligatoirement fixées en fonction de la contrainte des horaires du restaurateur. De ce fait, j'avais pas mal de temps libre aux heures les plus intéressantes de la journée.
Je travaillais de 8h (retour du marché) à 11h (repas des employés du restaurant) puis de 14h30 à 17h heure de la mise en place du repas du soir.
Dans tous les lieux touristiques, il y a des prospectus et des petits fascicules publicitaires pour vanter les lieux remarquables ou les activités de la région.

Et j'ai pris la plaquette de présentation de la Meije. Une bonne idée pour passer un peu de temps au frais avec la chaleur accablante qui régnait dans la vallée. Donc à la fin de la séance de travail, je prends ma voiture et je fonce en direction de la montagne aux neiges éternelles. J'arrive environ une demi heure après et je prends le télécabine pour monter tout en haut de la montagne. Il y a un changement à mi parcours mais le trajet est agréable et on voit toute la vallée se dérouler à nos pieds au fur et à mesure de la montée.

Une fois en haut je me sentis revivre. Bon, vu l'heure, je n'avais pas tellement de possibilités d'activité à part la visite d'une grotte sculptée creusée dans le glacier comme celle du glacier du Mont Blanc : la mer de glace.

La température était agréable et nettement plus froide que dans la vallée et on sentait le contraste entre les zones ensoleillées et celles à l'ombre.
Je commençai à descendre vers l'entrée de la grotte. Je regrettai de ne pas avoir pris de polaire. Il y avait encore quelques visiteurs qui attendaient devant la caisse pour entrer et je me mis à la suite dans la file d'attente. Pour passer le temps, je regardai les derniers visiteurs qui descendaient dans notre direction pour la grotte de glace.

Les visiteurs habituels. Mais pas que...
Dans les rares visiteurs retardataires, je remarquai une femme qui avait une expression très particulière, presque extatique. Ma curiosité était piquée à vif.
Je m'intéressai à elle. Elle avait la cinquantaine, bras nus et jambes nues et bronzées. Mince et musclée, bien coiffée et elle marchait d'un pas sur alors même qu'elle marchait sur la pente d'un glacier à moitié fondu ... En tongs noirs à plateforme.

J'étais stupéfait. Je détaillai la visiteuse. Elle portait un haut blanc décolleté et froufroutant en bas, une jupe noire ressemblant à du velours brillant et assez ample et ses pieds étaient soigneusement vernis en french manucure et elle portait bien des tongs.

J'etais curieux de voir si elle arriverait en bas de la pente sans accident ni chevilles cassées ou foulées. Elle marchait lentement, toute son attention focalisée sur les endroits ou elle posait ses pieds et marchait lentement et prudemment et arriva sans encombre derrière moi.

À peine arrivée elle releva la tête et me décocha son plus beau sourire. Je lui rendis er n'y tenant plus je lui demandai :
“Vous n'avez pas peur de vous casser une cheville ?
- Je suis très prudente vous savez, et sans modestie mal placée, croyez moi si je me faisais mal, je trouverai facilement un chevalier servant pour me ramener dans la vallée. ”
J'étais époustouflé. Au moins, là, une femme qui avait un sacré aplomb.

Pour reprendre contenance, je verifiai le niveau d'avancement de la file et j'avançai légèrement. Elle suivait. Elle engagea de nouveau la conversation et comme moi même je ne suis pas muet, nous discutames rapidement comme de vieux amis.

Présentations rapides, cursus et villégiatures et enfin le plus important : l'état matrimonial. Nous étions tous deux célibataires, du moins c'est ce qui fut dit. Nous n'étions dupes ni l'un ni l'autre.

Finalement nous arrivames à la caisse. Je pris les deux billets. Et nous entrames dans la fameuse grotte de glace.
Pour vous la faire rapide, la grotte de glace est sympa, mais je pensais totalement à autre chose.
Très vite, j'avais noté qu'elle mettait systématiquement les pieds dans chaque flaque de glace fondue. Elle faisait cela de façon discrète mais elle avait quasiment 100 pour cent de réussite pour mettre les pieds dans l'eau glacée et une fois les pieds dans l'eau ne criait pas de surprise, ni se plaignait , rien ....

Mon diagnostic était sans appel : fétichiste du pied et tendances masochistes. Excellent programme. Je la regardai en souriant. Elle me regarda, parut gênée une seconde puis sourit. Nous nous étions compris. Elle enleva ses tongs et les porta à la main “Pour ne pas les abîmer” et marcha pieds nus sur la glace. Je lui donnai la main car sans le plastique épais, elle glissait facilement. Je lui indiquai les plus belles flaques et par jeu nous chronométrions le temps passe dans l'eau glacée. Elle fut plusieurs fois obligée de remettre ses chaussures mais ne se justifia plus du tout. Le jeu était convenu entre nous et nous jouions franc jeu de part et d'autre.

Le gardien troubla ce bon moment en appelant les retardataires à sortir pour cause de fermeture. Alors après un regard à la fois complice et gêné et mon approbations oculaire et silencieuse, elle releva sa jupe et s'accroupit. Elle portait un string rouge mais ne le toucha pas. Elle se mot à uriner directement sur la glace du sol et le jet doré éclaboussait ses pieds et ses chaussures.
Elle n'avait pas retiré son sting qui servait à la fois de brise jet pour le bruit mais augmentait sensiblement les éclaboussures. Une fois soulagée elle passa le majeur sur son entrejambe pour égoutter le tissu et lécha son doigt humide tout en me regardant.

Main dans la main nous sortimes de la grotte. L'instant était très particulier et nous étions en phase sans échanger une parole. Le trajet du retour fut plus difficile. L'urine et la glace fondue s'étaient déposées entre la semelle et la plante de son pied et elle glissait facilement. Après plusieurs fous rires nous arrivames en haut de la descente, puis nous sommes allé faire de photos avec en fond la vallée. Nous nous sommes photographies à tour de rôle, ensemble, séparément, devant la montagne ou la vallée ...

La nuit commençait à tomber mais nous n'avions pas envie de nous séparer. Pendant la séance photo, nous avions beaucoup parle et elle m'avait avoué que ses fantasmes fétichistes reposaient sur les fluides et m'avait demandé si j'acceptais de ne pas avoir de relation sexuelle avec elle, mais elle accepterait volontiers tous mes fluides et sécrétions. Une fois cet accord passé, nous nous mimes en route vers le restaurant d'altitude.

Au restaurant, une fois la commande passée, ma compagne me donna un préservatif et me conseilla de le remplir. Je m'empressai d'aller aux toilettes pour accéder à sa demande. La sauce salade était une sauce blanche. Elle eut plus de sauce salade que les autres clients. Pour l'urine, ce fut plus difficile. Mais je réussis encore à lui faire passer le liquide qui se trouva faire un parfait jus de pomme dans son verre.

Le plus excitant était de la voir absorber çes fluides avec calme et sang froid au si et au vu de tout le monde.

Le dernier point que nous avions à satisfaire fut réalisé dans le télécabine de descente : je lui crachais à de nombreuses reprises dans sa bouche ouverte er sur son visage. Elle mit un point d'honneur à ne pas perdre une seule goutte.

En bas nous dumes nous séparer mais nous echangeames nos numéros de telephone et....

Je vous raconterai la suite une prochaine fois.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Mardi 26 février 2 26 /02 /Fév 00:41

J'accepte très rarement les missions à l'étranger, mais parfois, il m'est arrivé d'accepter des missions simplement pour en profiter pour me faire inviter. 

 

Je sais, j'ai un peu honte, mais bon, il faut reconnaître que le fait de voyager aux frais de la princesse est un plaisir rare. Donc, je voyage mais je n'abuse pas. 

 

Cette fois la, je me trouvais à Coimbre au Portugal pour un client qui voulait gérer son hôtel par un logiciel facile et intuitif. 

 

Je venais d'arriver la veille au soir et j'avais dormi une dizaine d'heures pour récupérer. En fait, je m'éveillai en entendant taper à la porte de ma chambre. Le temps d'émerger de mon sommeil comateux, et de dire que je ne voulais pas que l'on fasse ma chambre, la porte s'ouvrait déjà pour laisser passer la femme de chambre de l'hôtel. 

 

Pour parer au pire, comme je dors à poils, j'enfilais un peignoir de l'hôtel et des que la ceinture fut nouée, je fis face à la jeune femme. 

 

La fille était mignonne mais je n'allais pas me faire remarquer et je decidai de jouer le rôle de l'homme indifférent. Après une hésitation car son premier mouvement avait été de ressortir, la fille restait la, immobile comme statufiée, une expression ébahie sur le visage. Ne parlant pas portugais, j'engageai la conversation en anglais. Je lui annonçai que je trouvais la ville magnifique et le temps superbe. 

 

Aucune réaction. J'embrayai sur les commerces ... pas plus de réaction. Je changeai mon fusil d'épaule et fis les mêmes remarques en français puis en italien. Toujours rien. Elle regardait fixement mon noeud de ceinture sur le peignoir. Tout le monde fait les mêmes noeuds sur les peignoir du monde entier. 

 

Par curiosité sociologique, je suivis son regard pour voir ce qu'elle regardait avec autant d'insistance, et j'eus la surprise de voir ma bite tendue dépasser entre les deux pans du peignoir. La réaction du matin. 

 

Crotte Zut et Flûte, comment ne pas la terrifier pour éviter qu'elle ne s'enfuie en hurlant au pervers ? Déjà, rabattre les pans par dessus ma bite pour prouver ma bonne foi. 

 

Quand j'eus rabattu les pans et dissimulé ma queues, elle fit ce que je n'aurais jamais cru : elle s'approcha, se mit à genoux, fouilla sous le peignoir pour en sortir ma bite tendue et se la mit directement en bouche. 

 

Bon, effectivement, l'entrée en matière était prometteuse, et allait au de la de mes espérances les plus folles. Quand ma bite fut bien tendue, la fille se retourna, retroussa sa blouse sur ses hanches et je constatai qu'elle ne portait pas de culotte. Elle se pencha en avant et me présenta  son postérieur en écartant ses fesses. Je vis que sa rondelle avait l'habitude d'être honorée et qu'elle avait envie de se faire honorer par la.

 

 

 

A priori, je n'avais rien pour b lubrifier mais elle avait l'air de savoir ce qu'elle faisait. Je posai mon gland turgescent sur le trou offert et je poussai doucement. Je rentrai comme dans du beurre. Je la sodomisai profondément. Nous jouimes ensemble, au même moment. Lorsque je deculai son orifice resta ouvert, laissant degouliner mon foutre. Elle restait en position, visiblement en attente de quelque chose. 

 

La réponse était facile à trouver. Vu la dilatation, je mis directement deux doigts dans le cul. Je tournai dans tous les sens. A en croire ses réactions, c'était bien ce qu'elle attendait. Je mis un troisième doigt. C'était sa capacité, trois doigts. 

 

Je la baratai bien en fouillant son trou inondé de mon foutre. Quand mes doigts furent bien enduits de crème ejaculatoire, je lui presentai mes trois doigts à nettoyer. Elle les engouffra dans sa bouche et les lecha goulûment. Elle les nettoya consciencieusement, l'un après l'autre. 

 

Quand il n'y eut plus de trace de foutre sur mes doigts elle me lacha la main, se recula, se rajusta et m'envoya un baiser de loin avec le bout des doigts. Puis elle sortit et malheureusement, elle ne revint plus jamais pour faire ma chambre. 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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