Humiliation

Samedi 2 février 6 02 /02 /Fév 22:26

Après une telle séance, j'aurais juré que Melancolia était épuisée. Nous ne pensions même plus au temps extérieur. 

Le chalet était devenu notre seul univers. On aurait dit que Melancolia à poils avec son collier de chienne à pointes était partie intégrante de cet univers. Elle m'avait prouvé qu''elle n'avait pas froid aux yeux. Nous avions quasiment fait tout ce qu'' il est possible de faire. 

 

J'avais par contre pris du retard vis à vis de mon client pour le développement de son site. Il habitait dans un village pas très loin des stations, et la chance que j'avais c'était que lui aussi était pris dans les mêmes conditions atmosphériques que moi. A ma grande honte, je devais admettre que cette fille m'avait fait tourner la tête, voire tout le reste aussi. Donc je décidai de travailler pour le compte de mon client avant que les choses ne tournent mal. Je m'installai à la table principale pour terminer quelques mises au point demandées par mon client.

 

Fidèle à son habitude, Melancolia deambulait toujours totalement nue avec son collier malgré que ses affaires du premier soir soient désormais totalement sèches. La seule concession faite à sa totale nudité à part le collier était une paire de mules noires à talons aiguilles avec un pompon sur le dessus. Le petit cliquetis de ses talons lorsqu'elle se déplaçait m'excitait terriblement, mais je tachai de rester concentré sur mon travail. C'était sans compter sur le tempérament volcanique de ma partenaire. 

 

 

Comme elle trouvait que j'étais trop sage, elle se placa sur le canapé, en face de moi, dans une position obscène, jambes totalement écartées. Et pour être sur que je comprenne le message, elle commenca à se caresser en poussant des soupirs d'aise. Je ne pus pas résister longtemps. 

- Mél, arrêté ca ...

- Chéri, j'ai encore envie. 

- Encore ? Tu es insatiable ...

- Oui, je suis une grosse salope et j'assume. 

- Tu exagérés. Tu as pourtant eu beaucoup ces derniers jours. 

- Mais chéri, on a rien d'autre à faire. 

- Ben si, justement.  

- Viens au moins te vider les couilles dans mon trou. Je suis une vraie vide-couilles. Profites- en. 

A ces mots je lâchai tout, client, ordinateur, délais et je me ruai sur elle. sans préliminaires, sans préparation et sans ménagement, je la fourrai uniquement pour me soulager. 

 

Je ne tins pas plus de cinq minutes et je tirai mon coup. Elle n'avait pas joui mais elle continuait à se doigter en criant 

- Merci, merci, merci, merci ...

Et elle finit par jouir à son tour. Quand elle eut repris ses sens, elle se lecha les doigts. Sa chatte degoulinait de foutre et de cyprine, mais elle avait déjà prouvé son attrait pour les fluides corporels. Par contre, je n'avais pas vu venir ce qu''elle me proposa ensuite. 

 

Pendant que je regardais sa chatte qui poissait mon canapé, elle prit un air penaud. 

- J'ai été une vilaine fille, hein ?

Je ne pus m'empêcher de rire. 

- Mais non, Mél. C'était très bien. 

- Non, je suis une grosse pute et je dois être traitée comme une truie. Tu vas devoir me punir.

Je comprenais enfin ou elle voulait en venir.

- Soit. Tu as raison. Tu es une grosse cochonne et tu dois être punie. Comment tu vois la chose ?

- Une salope comme moi doit recevoir une bonne punition. Je suppose que tu n'pas pas de fouet sous la main ?

- Hélas non ...

- Je suis une grosse enculée de chienne. Fous moi dehors à poils. Comme tu ferais avec une pétasse de chienne. 

Je compris qu'elle avait un plan. J'ouvris la porte. L'air glacial se rua à l'intérieur. En cliquetant sur les talons de ses mules, elle sortit avec un air extatique sur le visage. 

 

 

Sans hésiter, elle descendit les marches et descendit dans la neige. Elle s'enfonce jusqu'aux genoux. Elle marcha un bon moment faisant une sorte de circuit, puis elle se jeta daans un gros tas de neige. 

Puis elle se releva et reprit sa marche. De nouveau elle se jeta dans un tas de neige. Elle grellotait. Je l'appelai pour la faire rentrer. Elle fit un dernier tour et revint devant les escaliers. 

 

Une fois au pied des escaliers, claquant des dents, elle réussit à articuler 

- J'ai besoin d'une douche chaude. 

- Entre, je vais te faire couler une douche bouillante, sinon tu vas attraper la crève. 

- Non, je veux la prendre dehors. 

D'abord interloqué, je finis par comprendre. 

 

Je sortis ma bite et le froid aidant je commencai à lui pisser dessus. Elle tournait sous le jet d' urine comme sous une vraie douche. Elle se frictionnait le corps avec le jet. Elle passa même ses pieds encore chaussés des mules sous le jet qui faiblissait. 

 

Le jet se tarit. D'un geste des pieds, elle se debarrassa de ses mules qui s'egayerent sur la terrasse. Puis elle rentra et courut le plus vite possible vers la douche. Je réglait le jet sur très chaud et je la maintins, toute recroquevillee sous le jet brûlant. Elle resta une bonne dizaine de minutes sous le jet pendant que la pièce se chargeait de buée. Quand elle fut à la bonne température, je l'aidai à sortir et je la frictionnai avec une serviette sèche. Je pris la précaution d'enlever le collier de cuir pour éviter qu'il ne l'étrangle en séchant. 

 

 

Puis je recuperai son plaid du premier jour et je l'aidai à s'installer sur le canapé et je poussai le chauffage à fond. Quelques minutes après, nous faisions gâté gentiment sur le canapé, enlacés l'un contre l'autre. 

 

Mais ce n'est pas fini. Je vous raconterai la suite dans un prochain billet. 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Vendredi 1 février 5 01 /02 /Fév 22:39

Le lendemain, au réveil, je vis que Melancolia dormait encore, sans doute épuisée par sa dure nuit. Je jetai un oeil vers les verrières dont j'avais tiré les rideaux la veille au soir. Ils étaient jaune orangé car la lumière qu'ils diffusaient était beaucoup plus gaie ainsi. Malheureusement, je vis rapidement qu'il n'y avait guère de lumière à colorer. 

J'allai aux rideaux et je les soulevai pour voir derrière eux, quel était le temps. Le plafond s'était un peu relevé, mais le ciel était toujours aussi maussade. La couche de neige immaculée de la veille devait faire un mètre. Heureusement que Melancolia n'était pas restée dans sa voiture et avait traversé avant que le gros de la neige ne tombe. 

 

J'enfilai un survêtement vert et preparai le petit déjeuner. Il est certain qu'avec un temps pareil nous ne mettrions pas le nez dehors. 

Je fis du chocolat chaud (je dois reconnaître que je suis gourmand) et je mis des tranches de pain de mie dans le toaster. Un peu de beurre sur les tartines chaudes est un pur régal. 

Melancolia dormait tranquillement. Après le petit déjeuner, je me brossai les dents et me rasai. Même le bruit du rasoir ne la réveilla pas. Je jetai encore un coup d'oeil au temps et j'en conclus que je pouvais aller voir dans quel état était la voiture de ma nouvelle amie. 

 

Je mis un collant et un tee-shirt en matière synthétique chauffante, puis enfilai un jean, une chemise à gros carreaux et par dessus, je mis deux polaires : une fine et une épaisse. Aux pieds, je mis des chaussures de marche adaptées, et je sortis. 

J'avais des raquettes et je les mis pour pouvoir me déplacer sans trop de difficultés et surtout sans danger. Je progressai sans trop de mal, mais par contre, j'eus du mal à repérer la voiture. La neige avait tout recouvert. Mais au bout de quelques minutes, je finis par la localiser. Elle était sortie de la route, mais à priori, elle n'était qu'un peu cabossée. Plus de peur que de mal. Le chasse neige allait passer et un coup de fil à Bernard, le garagiste devrait tout faire rentrer dans l'ordre. 

Le peu de jour qui restait commençait à se voiler. Je me hatai de rentrer car la neige n'allait pas tarder. Le premier ou plutôt les premiers flocons de neige commençaient à tomber au moment où je poussai la porte .

 

Dedans régnait une bonne chaleur. Melancolia deambulait dans le rez de chaussée du chalet, entièrement nue à l'exception de son collier de chiennea à pointes autour du cou. Elle s'était douchée car ses cheveux étaient tout ebouriffes à lcause de l'électricité statique. 

Elle me regarda avec un sourire

- Au fait, tu sais que tu ne m'as pas fait le cul hier ?

Je répondis du tac au tac 

- C'est vrai mais je suis toujours à temps de te le faire. 

- Tu veux me le faire quand ?

- Tourne toi et tu verras bien ...

J'hesitai car nous étions sur un mode de defi. Elle se tourna et me présenta ses fesses. Mieux elle les ecarta avec ses mains. 

- Allez tu peux y aller ...

Je constatai qu''effectivement elle devait avoir une sacrée habitude de la chose car son anus était béant. 

- Tu t'es fait enculer par un éléphant ou quoi ?

- Je suis adepte du fist-afucking. Si tu me chauffes bien, tu pourras me fister. A toi de bien me ramoner le conduit anal. 

Mis au pied du mur, je me devais d'honorer son fion comme il se devait. Elle se mit en levrette et me présenta sa croupe. 

 

 

La perversité de la situation m'excitait horriblement. Je ne perdis pas de temps en préliminaires. Je posais mon gland tendu à l'l'extrême sur son sphincter et je poussai fermement. Son anus était un délice. Elle devait avoir l'habitude des gros calibres car j' allais et je venais comme dans une chatte. 

Au bout d'a un moment, je l'entendis gémir. Je continuai de plus belle et je me retenais de jouir. Je n'a en pouvais plus. Heureusement, elle se mit à jouir et ne je pus me soulager dans ses intestins. Pour parler crûment, j'envoyai la purée. 

 

Notre extase dura un bon moment puis nous retombames à plat dos, totalement vides. 

Quand nous réprimés nos esprits Melancolia me dit :

- Maintenant le fist. Maiss avant regarde. 

 

 

Elle se remit à quatre pattes, en levrette et je revis le charmant spectacle de sa croupe ouverte et souillée. Elle passa sa main entre ses cuisses et fit un doigt d'honneur, majeur tendu. Elle se pénétra l'anus avec le majeur et recupera du foutre souillé. Elle se redressa à demi et me regarda bien en face. Puis elle nettoya son doigt avec des mines gourmandes et perverses tout en me regardant. 

 

Elle refit l'opération plusieurs fois et à chaque fois, elle gouta. 

Quand elle eut nettoye suffisamment à son goût, elle me dit :

- Tu as du beurre ou de l'huile ?

- Oui, j'ai du beurre.

- Alors tu sais ce qui te reste à faire. 

Je pris le beurre. Je n'hésitais pas à enduire copieusement mes doigts et ma main. Puis je me mis en position. Je commencai par introduire deux doigts et je tournai. Elle était détendue et son trou était souple Je mis un troisième doigt. 

Je continuai le même procédé. Melancolia gemissait doucement. Avec la chaleur produite par mon frottement, la rondelle se dilatait. Je présentai le quatrième doigt.

 

La encore, la technique fit merveille. Restait le plus difficile : le pouce. Je mis ma main en cuillère et dans le creux, je mis mon pouce. Doucement, je rentrais. Finalement, au bout de quelques minutes je pus fire faire rentrer ma main. 

- Allez maintenant baise moi avec ta main. Fiste moi le fion.

Je fi fis ce qui'a elle demandait et au bout d'a un petit moment, elle jouit dans un râle animal.

 

 

Décidément, cette tempête de neige avait de bons côtés. Et je me demandai combien de temps durerait cette chance e extraordinaire.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Dimanche 27 janvier 7 27 /01 /Jan 23:35

 

Je déteste les sports d'hiver mais j'aime la neige et les villages des Hautes Alpes. 
Il y a de cela une dizaine d'années, j'ai acheté un chalet en A dans une station connue des Alpes du Sud. Le chalet est situé juste avant la station mais se trouve en pleine nature, dans une boucle de la route en lacets. 

 

 

Il est exposé plein sud et donc j'ai fait poser des verrières en face avant. Le seul luxe de cette villégiature, c'est une vraie cheminée de style moderne qui est très efficace pour le chauffage. Le terrain n'est pas grand, car sa position dans une boucle routière le rend assez étroit et long, mais sa surface m'a permis de faire une terrasse au sud et un potager l'été au nord, derrière la maison, ainsi qu'un grand parking. 
Bref, tout ce qu'il faut pour travailler tranquille tout en étant en vacances. 

 

 

Le seul inconvénient de cette localisation, c'est de devoir prévoir deux semaines de provisions au cas où. Et justement, cette année là, l'hiver était très rude. Il neigeait en continu depuis presque une semaine et la circulation sur la route était pénible et risquée. 
Personnellement, je n'étais pas affecté, car une prise électrique et une connexion Internet me suffisent pour travailler. Je fais aussi de la photo d'art et j'ai un site dédié pour la vente de mes clichés. 

 

 

Bref, j'étais dans mon chalet comme un coq en pâte. Chaque matin, je sortais une demi-heure pour m'oxygèner et ensuite, je prenais mon petit déjeuner. Puis, j'entamais ma journée de travail. A midi et demie, préparation et dégustation du repas.
Ensuite , lecture et loisirs jusqu'aà 16 heures. A ce moment là, je me remets au travail jusqu'aà 20h30, heure à laquelle je prépare le repas du soir, et je mange tout en regardant la télévision. Vers minuit, douche chaude et dodo. Une vie saine et équilibrée. 
Or, un soir, sur le coup de trois heures du matin, j'entendis tambouriner à ma porte d'entrée. Je mis un bon moment à reprendre pied dans la réalité. Je faillis me retourner pour me rendormir, car personne n'était assez bête pour prendre cette route enneigée la nuit avec un tempête pareille. 

 

 

Mais l'intrus insista et tambourina de plus belle. Impossible de croire qu'une branche battait contre le toit, sous la bourrasque du vent. Je devais me lever. 
Je me levai, mis un peignoir, car j'ai l'habitude de dormir nu et je descendis ouvrir la porte d'entrée. 
Lorsque j'ouvris la porte, je recus de plein fouet une masse d'air glaciale qui s'enroula autour de mes chevilles et me fit frissonner. 
Sur le seuil, une forme bizarre qui se précipita à l'intérieur. 
Interloqué, je fermai la porte pour conserver la chaleur. Puis je regardai ce qui se tenait devant ma cheminée. A priori, c'était un plaid de voiture qui devait recouvrir un individu transi. Comme la forme sous le plaid ne parlait pas, je fis les frais de la conversation. 
- Qui êtes vous ? Que se passe t il ?
Aucune réponse. par contre, la forme se mit à grelotter, et se ratatina. 

 

 

Je fis le tour pour voir mon étrange visiteur de face. Il etait entortille dans le plaid qui couvrait la tête et dissimulait le visage dans le noir, seul un doigt, un index, probablement, qui maintenait le plaid en place, était apparent. 
J'entendis un haletement caractéristique : la personne claquait des dents. Inutile d'essayer de discuter. J'allai à la cuisine et je mis de l'eau à bouillir.
Ensuite, je depliai une grande couverture en polaire, propre et sèche. Je retournai près de l'intrus et je lui demandai de jeter son plaid mouillé pour se couvrir de ma couverture. Grelottant, l'inconnu se découvrit et je pus enfin voir son visage. 

 

 

Je restai stupéfait,, l'inconnu était en fait une inconnue. Ses cheveux étaient rouge vifs, et son visage comportait au moins cinq piercings. Elle portait une tenue de simili cuir noir avec des bottes recouvertes de plaques de fer. Une gothique. Elle enleva plusieurs accessoires dont un collier de chien à pointes d'autour de son cou. Elle croisa ses jambes et s'assit tant bien que mal en tailleur. Elle grelottait tellement qu'elle était maladroite et ne pouvait plus parler. Elle cligna des paupières pour dire merci. 

 

L'eau était bouillante et je preparai du thé. Je fis un bol et une tasse. La tasse pour moi et le bol pour ma visiteuse. 
La chaleur du chalet et la couverture, ainsi que l'action bienfaisante du thé finirent par remettre l'inconnue en température. 

 

 

Il etait tard, et une fois réchauffée, l'inconnue déclara s'appeler Melancolia, ce qui n'était pas surprenant, vu ses habits gothiques. 
Elle avait voulu rejoindre des potes en station et avait tenté de prendre la route, malgré tous les bulletins meteo et les consignes de prudence. Le résultat était qu'elle avait eu de la chance de s'en tirer sans egratignure lorsque sa voiture était sortie de route.

 

 

Au début, elle avait prévu de rester dans la voiture, mais comme elle gelait sur place, elle avait cherché un refuge et avait vu mon chalet dans une accalmie. 
Elle avait tenté le trajet et avait bien failli y rester. Mais maintenant, elle était au chaud. 
Je la collai sous la douche pour deux raisons : la première, faire monter sa température interne et la seconde ... qu'elle soit propre. 
Pendant qu''elle se chauffait sous la douche, je realisai qu'il n'y avait qu'un seul lit dans la maison. 
Mais lorsque je lui exposai le problème au sortir de la douche, elle me certifia que cela n'a avait pas la moindre importance. 

 

 

En temps normal, j'aurais pris cela comme une proposition. Dans ce cas, je pris la chose comme la fatigue qui rend philosophe et fataliste. 
Elle declina mon offre de repas et demanda ou était le lit. D'un coup de menton, je le lui indiquai : en haut de l'escalier. Sur une chaise, j'avais disposé un survêtement bleu à son intention, mais avant que j'aie pu lui parler, elle était monté à l'étage. 
Je sentis une certaine irritation monter. Je trouvais que cette fille en prenait un peu à son aise. Je montai à mon tour et n'a en crus pas mes yeux. Elle était allongée sur le lit, entièrement une nue et dans une pose sans équivoque. Elle avait bien récupéré malgré les épreuves de la nuit. 
Je m'allongeai à côté d'elle pour essayer de comprendre la situation. 

 

 

Elle ne me laissa pas le temps. Je venais à peine de m'allonger qu'a elle me prit en bouche. Inutile de discuter. Je me laissai aller. Elle était experte. Elle serrait ses lèvres sur la hampe, faisait plusieurs allers retours et ensuite relachait ma bite pour lécher le gland à petits coups de langue. Ensuite, elle reprenait son mouvement de branle avec la bouche. Je ne pensai plus à rien d'autre qu'à sa bouche.  Elle était chaude et moelleuse. 

 

Ensuite, elle se leva et m'enfourcha. Elle flechissait doucement sur ses jambes musclées. Avec les doigts, elle se branlait et s'ouvrait la chatte de façon indécente. Avec les deux index, elle tira sur les deux côtés de sa vulve et s'assit sur ma queue tendue. L'intérieur de sa chatte était sublime. 
Avec un rythme lent, elle montait et descendait avec une mine gourmande qui était encore plus excitante. Je me retenais. au maximum mais je n'en pouvais plus. Elle ferma les yeux et poussa de petits gémissements. Elle jouissait. J'allais pouvoir jouir et je fus soulagé. Mais elle se leva brusquement et s'allongea à côté de moi avec un sourire pervers. Elle osa même ajouter :
- Vas y fais toi plaisir... mais tu te debrouilles tout seul.
J'empoignai ma bite pleine de sa mouille et je me branlai frénétiquement. Je me mis à genou contre elle, bite au dessus de son ventre. Et puis ce fut le soulagement. Mon coup partait. Je sentais le jet sortir par saccades. J'avais essayé de viser les seins mais tout était parti dans tous les sens et elle était inondée du ventre au cou.

 

 

Avec un sourire, elle pressait pressa mon bout entre le pouce et l'index pour faire sortir les dernières gouttes. Elle les recupera sur son index et le suca en me regardant droit dans les yeux. Elle etala tout sur son corps...
Puis elle ajouta :
- Tu attends quoi pour t'essuyer ?
Devant mon air perplexe, elle ajouta :
- Sur mes pieds ...

 

Je compris seulement alors. Je m'essuyai la bite sur ses pieds. Je les lui recouvris de mouille et de foutre. Pour faire bonne mesure, je crachai aussi dessus. Elle était positivement ravie de cette initiative. 
Ensuite, nous eumes une crise de fou rire. Puis nous sentimes d'un coup la fatigue. Nous nous allongeames et épuisés par la séance et les fatigues de la nuit, nous nous endormimes sans même nous nous en rendre compte. 
Pour savoir ce que nous fimes le lendemain, lisez la suite sur ce blog.  
Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 01:45

il y a quelques années de cela, j'ai eu la possibilité d'être hébergé dans un petit ryad au Maroc. 

le voyage en avion s'était déroulé sans histoire et un bon trajet en taxi plus tard (le ryad était hors ville, en banlieue), je prenais possession de ma villégiature. comme je l'ai déjà dit, j'ai la chance d'avoir un travail comme concepteur de sites internet qui me permet de bosser partout dans le monde sans le moindre problème... à condition qu'il y ait une prise réseau et une prise électrique. 

 

le petit ryad était parfait pour moi. il se composait d'un rez de chaussée agencé autour d'une courette avec la traditionnelle pièce d'eau, et d'un étage qui abritait les chambres et dont le toit formait terrasse. très vite, je pris l'habitude de passer le plus clair de mon temps sur le toit terrasse. le blanc des mur et le rouge des carreaux du sol contrastaient avec le bleu pur du ciel. un grand dais blanc etait tendu au dessus d'une salle à manger d'été et d'un salon. chaque jour, je montais sur la terrasse et je travaillais à la mise en place d'un site professionnel pour un exportateur d'artisanat local. 

 

je commencais ma journée par le petit déjeuner et ensuite, je mettais au point les différentes pages de mon client. une rambarde blanche en maçonnerie me séparait de la rue et de ses bruits parasites. je travaillais jusqu'à l'heure du petit déjeuner ou je prenais une légère collation et je reprenais le travail dans l'après midi, vers 16 heures. 

 

je travaillais jusqu'au soir tard car j'avais fort à faire, et surtout parce que, quand le soir tombait, c'était un moment magique, si l'on exclut bien sûr les moustiques qui sortaient à cette heure la pour prendre leur propre repas. 

un jour, après le repas, je m'étais assoupi et je ne me réveillais que vers 20 heures. 

la soirée était agréable, un léger vent frais  tempérait le climat chaud. 

 

au réveil, j'étais un peu vaseux et pour me réveiller complètement, je m'accoudai au muret pour que le vent frais acheve de me réveiller. je crois que je mis un moment à reprendre pied dans la réalité, mais lorsque mon cerveau reprit le contrôle de la situation, je fus abasourdi. 

en face de moi, sur sa terrasse, une marocaine entièrement une nue me regardait d'a un air perplexe. 

 

ne sachant pas trop quelle attitude adopter et pour conserver une certaine contenance, je lui fis coucou avec la main. elle répondit à mon salut aveac un grand sourire. visiblement, il me manquait des éléments du puzzle, mais concrètement tout semblait être plutôt positif. 

 

pour ne pas être vue de la rue, elle restait en retrait mais elle tenta d'engager la conversation. 

elle parlait mais comme elle n'osait pas crier, impossible d'entendre ce qu'elle voulait me dire. J'essayais de répondre, mais comme moi même, je n'osais pas crier pour répondre, nous avions l'air assez farfelus l'un pour l'autre. finalement, elle agita la main pour montrer l'inutilité de nos efforts et par signes, me fit comprendre qu'elle allait traverser la rue et rendre une visite de politesse. 

 

je fus tout sourire tant qu'elle fut sur le toit mais des qu'elle eut disparu, je me précipitai dans la salle de bains. je devais faire vite pour me donner un coup de peigne, me brosser les dents et me remettre du déodorant et du parfum. je finis avec un synchronisme parfait avec la sonnette qui tinta au moment où je reposais la bouteille de parfum. 

je me ruai sur la porte d'entrée et je rectifiai ma tenue avant d'ouvrir. elle était la, devant moi, souriante. elle avait de grands yeux magnifiques et je compris l'expression «yeux de biche». 

 

je m'effacai et la priai d'entrer. elle avait une démarche féline et une grâce nonchalante qui mit tous mes sens en émoi. 

elle était habillée avec des vêtements amples et brillants. rouge et or avec un foulard doré. elle marchait pieds nus. 

elle prit l'l'initiative de la conversation. 

- SI nous reprenons notre conversation lá où nous en étions ?

 

et à ma grande stupéfaction, elle fit glisser ses vêtements et se retrouva une nue dans ma.cour. 

j'osai à peine respirer et j'avais du mal à croire à ma chance. un peu hésitant, je m'approchai mais elle prit les choses en mains si j'ose dire car elle ouvrit ma braguette et s'empara de ma bite qui commençait à se tendre. 

elle ne perdit pas de temps et se la mit directement en bouche pour me tailler la plus merveilleuse pipe de ma vie. 

 

 

j'avais du mal à me retenir et à ma grande honte le coup partit. je dechargeai violemment par saccades. 

ma partenaire ne se formalisa pas et avala tout mon foutre avec une mine gourmande, ce qui me rassura quant à la suite de cette soirée. 

 

histoire de récupérer je lui offrir un thé qu'elle accepta tout en disant avec son superbe sourire 

- nature s'il vous plait, j'ai déjà eu le lait. 

nous echangeames un sourire complice et nos langues s'aenlacerent. nous nous caressions pour faire monter le désir. 

 

très rapidement, je fus en état de l'honorer. mais cette fois pas question de laisser mon coup se perdre dans sa bouche torride. contrairement à mon attente, elle ne s'alllongea pas mais se mit en levrette, à quatre pattes m's'offrant sa croupe parfaite. j'y voyais une invitation claire à la sodomiser mais je n'osai pas car on encule pas une fille avec qui on n'a pas dit trois mots. mais lorsque je pointais mon gland sur sa jolie petite fente rasée, elle se dégageait. il fallait se rendre à l'évidences : elle voulait se faire enculer. je présentais mon bout sur sa rosette et elle ne se dérobe pas. message compris. 

 

par acquit de conscience, je lui demandai 

- Il faut lubrifier ou tu as l'habitude ?

elle répondit dans un souffle qui fallit me rendre fou de désir 

- j'ai l'habitude. vas y a sec et défoncé moi. 

j'étais dans un état second. mon gland était posé sur sa rondelle. je poussait d'un coup sec. le trou n'était mas pas encore dilaté mais je poussait. 

 

 

effectivement elle avait l'habitude de prendre du cul car ma bite entra dans la gaine étroite comme. si le trou s'adaptait à mon calibre. je commencerai mes va et viens lorsque je sentis son sphinçter se dilater. il épousa la diamètre de ma queue et je commencerai à lui défoncer le cul à grands coups. ses haletements trahissaient son excitation. son trou se dilata encore.

 

je fus pris d'une véritable frénésie et j'essayai de la prendre de toutes mes forces, le plus profondément possible. 

sans prévenir, je l'entendis jouir et je me lâchai. son anus s'était dilaté à l'extrême. pour la deuxième fois de la soirée je sentis mon coup partir et je lui inondai le fondement. 

 

reprenant nos esprits, nous nous laissames aller par terre, anéantisa par la jouissance. 

je n'étais pas au bout de mes surprises. nous étions encore enlacés et nous reprenons nos esprits quand je sentis sa bouche et sa douce langue sur ma bite. je ne bandais pas assez pour une pipe et je ne me sentais pas de ré bander si tôt. 

- tu fais quoi ? demandai- je

- je te nettoie. je ne veux pas laisser perdre tout ce bon goût de foutre. 

- Il n'y à pas que du foutre dessus, ironisai-je

- aucune importance, j'ai bon goût. et elle eut un rire délicieux. 

et pour prouver la véracité de son assertion elle se fourra elle même deux doigts dans l'anus et les fit tourner. 

quand elle estima qu'ils étaient prêts, elle les retira tous dégoulinants et se les fourra dans la bouche ou elle les nettoya avec des mines gourmandes. 

 

 

elle refit plusieurs fois l'opération jusqu'au moment où elle annonca

- Ca y est, je suis propre. au fait ... quel est ton prénom ?

elle était vraiment extraordinaire. 

main dans la main, nous primes la douche ensemble et une fois propres, nous partimes dîner au restaurant, en ville. 

au retour, nous nous installames  confortablement dans les fauteuils de plastique tresse de la terrasse et nous devisames agréablement. 

 

je l'invitait à passer la nuit et fort poliment elle accepta. 

ces vacances s'annonçaient sous les meilleurs auspices et effectivement, je n'allais pas les regretter. mais ceci est une autre histoire que je vous raconterai prochainement. 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Lundi 17 septembre 1 17 /09 /Sep 01:47

 

 

Un souvenir de jeunesse cette fois. J'étais un des meilleurs pirates informatique de mon lycée. J'aimais les maths et la physique et pour me décrire en un mot comme en cent, un vrai geek. 
Comme tous les jeunes de mon âge, je fréquentais plusieurs groupes de potes, dont un en particulier ou nous étions unis par une camaraderie fraternelle. 


Pour me faire de l'argent de poche, je donnais des leçons de maths, physique ou chimie. Et dans ce groupe, il y avait une fille vraiment bien à qui je donnais des leçons. 
Bien sur, il n'a jamais été question entre nous d'argent ou d'autre chose et nous étions dans une relation très saine. Comme tous les groupes la globalité évoluait, mais le noyau dur était toujours identique. Et je faisais bien entendu partie du noyau dur. 


Nous étions tout le temps fourrés ensemble. Et je voyais qu'une fille du groupe me portait un certain intérêt. Bien sur, je pouvais me tromper, mais il me semblait bien que certains regards étaient éloquents. Quant à moi, j'étais très intéressé par la fille à qui je donnais des cours, mais comme je l'ai dit, nous étions avant tout des amis. Pourtant c'était celle qui me plaisait le plus.

Les autres filles ne lui arrivaient pas à la cheville, sauf celle que je pensais ne pas laisser indifférent, qui était aussi une fille bien quoi que moins importante pour moi que la première. 


Et donc nous avions passe une année scolaire difficile ponctuée de bacs blancs et autres joyeusetés lycéennes. La fin de l'année arriva enfin et nos épreuves prirent fin. Tout lycéen à connu cette période post scolaire ou on réalise qu'on est en vacances, tout en sachant que nos vraies vacances seraient avec nos parents dans la campagne française durant un long mois de séparation avec nos potes. 


À l'époque pas de téléphone mobile et pas d'Internet. Donc il fallait rentabiliser cette courte période située entre les examens et les vacances parentales, période que nous mettions à profit pour aller au cinéma, au restaurant, jouer aux cartes, jouer au bowling, et aller se baigner à la mer, entre autres activités estivales. Nous faisions toutes nos activités en bande et nous étions jeunes, libres et heureux. 


Je vous passe les détails de ces vacances, pour en venir à cette fameuse journée que je vais vous raconter plus en détail. 


Ce jour là, nous avions décidé de tous aller à la mer et d'y passer la journée. Chacun devait porter son repas, de l'eau et quelque chose à partager lors du repas : chips, saucisson, quiche où cake, tout était bienvenu pour un moment de partage et de rire.

 

Le moment venu, de bonne heure le matin, je suis monté dans le bus, direction les calanques. Sur mes épaules, le sac à dos avec dedans une bonne provision d'eau et de quoi manger pour un régiment. 


Je descends à mon arrêt. Je suis le premier. Ensuite arrive le premier bus avec ma première copine, puis au bus suivant la deuxième copine. Et nous attendons tous les trois pendant une demi-heure. Personne.

 

À cette époque, pas de téléphone mobile. Donc nous partons tous les trois en espérant que les autres vont nous rejoindre puisque chacun sait quelle est notre destination. En été, en Provence, la marche est difficile car il fait très chaud et la roche au sol est glissante. En marchant tôt dans la matinée et en marchant avec de bonnes chaussures, la randonnée est plus facile. 


Nous avons donc pris la route sans attendre,et au bout d'une bonne marche, nous nous sommes retrouvés au bord de l'eau, sous un pin. Les serviettes furent étalées et après avoir pris la peine d'essuyer notre transpiration, nous avons pris le bain. Nous nous sommes amusés comme des petits fous.

Ensuite le repas de midi fut un rare moment de détente. Ensuite, la chaleur aidant, la sieste se fit naturellement. 

 

En fin d'après midi, nous prîmes le chemin du retour et notre bus. Le trajet passa comme dans un rêve. Nous n'arretions pas de rire. 
Le bus arriva a notre arrêt. Nous descendimes. L'arrêt se trouvait sur une place, devant l'église. Nous descendimes toujours riants. Le moment de la séparation était là. Nous formions un triangle et nous retardions ce fameux moment de la séparation. Le moment était magique. Aucun des trois ne pouvait se résoudre à rompre l'enchantement. Nous disions des futilités, nous riions bêtement mais nous restions là, à échanger des banalités affligeantes pour éviter de rompre le charme. 


Puis vint un moment de silence. Nous nous regardions, mais simplement en silence cette fois. La tension était à son comble. Finalement nous sûmes que chacun pensait à une chose qu'aucun d'entre nous n'osait formuler. 
Doucement, sans nous concerter et sans parler nous nous mimes à marcher en direction de l'appartement d'une des filles. C'était le plus proche. Ses parents étaient sortis et sa sœur allait au cinéma avec son petit ami. Pour sauver les apparences, notre hôtesse nous avait proposé de nous désaltérer après cette chaude journée d'été, excuse que nous avions accepté avec trop d'empressement. 


Finalement nous fumes devant la porte. Je ne sais pas pour mes deux partenaires, mais mon propre cœur battait à tout rompre. La porte d'entrée se referma. Nous étions tous les trois dans l'appartement. Isolés du reste du monde. 
Une fois le verrou mis, il y eut quelques secondes de flottement. Puis une des deux filles m'embrassa délicatement. Je lui rendis son baiser. Ensuite j'embrassai la seconde. Et vint le moment de vérité. Les bouches des deux filles se rapprochèrent, se frôlèrent. Puis elles s'embrassèrent. Les dés étaient jetés. 

 

 

Nos vêtements volèrent dans le couloir. Entièrement nus, nous tombâmes sur le lit des parents de notre hôtesse. Nos corps se mélangeaient. 
Nous nous embrassions sans même savoir qui nous embrassions. Mes mains couraient sur le corps de mes partenaires. Je caressais des seins, des paires de fesses et je sentais quatre mains courir sur mon propre corps. Une des deux bouches goba mon sexe. La fille faisait des allers retours pendant que ma langue explorait la bouche de l'autre fille. Avec mes mains, je caressais les deux corps souples et chauds étendus à côté de moi. 


La fille arrêta sa fellation et remonta en direction de nos bouches. Elle embrassa sa copine à pleine bouche, encore pleine de mon goût. Et ce fut au tour de la seconde fille de me sucer. L'autre fille venait de s'allonger. Ses jambes étaient écartées : le signal était clair. Je m'inclinai pour lui brouter la chatte. Elle avait un goût particulier, sucré. Une saveur douce et entêtante.

 

Pendant que ma langue goûtait sa chatte, je glissai un doigt dans son anus. Elle était vierge de ce côté là. Je dus faire preuve de patience et travailler doucement son sphincter. Très rapidement, elle consentit et je sentis son trou s'ouvrir. 
Ma suceuse continuait son travail excitant. Je quittai la vulve dont je m'occupais pour passer à l'autre. Comme je l'avais déjà fait à l'autre fille, je la sodomisai avec un doigt, mais le passage était déjà fait.

 

 

Visiblement elle avait l'habitude de se faire enculer et semblait même apprécier de l'être. Il était temps de passer aux choses sérieuses. Ma bite était copieusement enduite de salive. Je la présentai donc, face à l'anus de ma partenaire. Je posai l'extrémité de mon gland sur la rosette et je commençai à pousser. Mais ma bite ne rentrait pas. Elle avait été dépucelée du cul mais n'avait sans doute pas une grande pratique.

 

C'est alors que ma copine vint sauver la situation.  Plaçant son visage entre nos corps elle cracha plusieurs fois sur ma bite et le trou de l'anus de sa copine.

La salive est un excellent lubrifiant et psychologiquement ses crachats nous avaient tous excités. Je poussai et enfin ma bite se fraya un passage. Je l'enculai durement, sans ménagement, mais elle ne voulait pas être ménagée. Bien au contraire. 
"Vas-y... C'est trop bon. Vas-y, troue moi le cul."

 

L'autre fille suivait avec attention, en gros plan, l'enculage et lorsque malhabilement, je déculai, elle goba ma bite pleine de toutes les sécrétions intimes de son amie. J'étais dans un état second. Je ne me rendais plus compte de rien. Je replongeai ma queue dans l'anus offert. Mais je n'étais pas au bout de mes surprises. Pendant que je m'activai dans l'anus defloré, elle se mot en position pour que je la sodomise et m'offrir ainsi son pucelage anal. 

 

Impossible de résisiter à une telle offre. Je crachai plusieurs fois sur la rondelle, et lorsque ma salive me parut en quantité suffisante, je sortis et je me présentai à la nouvelle entrée à dépuceler. 
Je dois avouer que trop excité par cette situation je forçai un peu l'entrée. Mais l'envie de se faire sodomiser était trop forte et ma partenaire subit l'assaut sans plainte.

Je commençai à lui ramoner l'intérieur mais je ne pus me retenir très longtemps. Très vite, je jouis et je sentis que je déchargeai à gros bouillons dans son intestin. La puissance du jet chaud l'excita encore plus et elle se mît à jouir par l'anus. 

 

Brisée par la jouissance elle se laissa tomber et moi même, je me laissai aller sans me rendre compte que le troisième élément de notre trio n'avait pas pris son pied. Mais lorsqu'elle recommença une fellation sur mon sexe mou, la seule idée qu'elle recevait dans sa bouche toutes nos sécrétions intimes mélangées me redonna un peu de vigueur.

Sortant de sa torpeur, la fille qui avait joui fit ce que j'avais toujours espère depuis que la porte s'était refermée sur nous trois, elle lécha la chatte de la fille qui me suçait la bite. 

 

J'etais tellement tendu que j'en avais presque mal. 
Alors je m'assis en tailleur. en essayant de laisser sa chatte offerte aux caresses buccales, elle vint s'empaler toute seule par l'anus sur mon sexe tendu à l'extrême. Jambes écartées elle offrait sa chatte aux coups de langue de la fille tout en étant sodomisée par moi. Elle jouit quelques secondes après. 

 

Cette fois, je n'avais pas eu le temps de jouir, alors, pendant que ma copine lui léchait toujours l'entre-jambes, je lui présentai ma bite devant la bouche. Elle s'empressa de sucer et très vite je jouis dans sa bouche. Dès que j'eus tiré la fille qui broutait lâcha la vulve pour l'embrasser à pleine bouche et partager ainsi mon foutre. 

 

Affalés, repus, la situation aurait pu être gênante une fois l'excitation passée. Mais nous eûmes un coup de chance extra ordinaire. Le telephone sonna. Les parents de notre hôtesse voulaient savoir si elle était rentre à la maison car ils allaient revenir de chez sa grand mère.

Bien entendu, dès qu'elle eut raccroché, nous nous précipita mes sur nos affaires pour nous rhabiller et éviter de nous faire surprendre en fâcheuse posture. 

 

Moins de cinq minutes après nous être rhabilles, la grande sœur de ma copine entra. Pour dissimuler notre trouble, nous baragouinames que nous allions à une séance au ciné et nous sortimes pour aller tous les trois boire un verre au bord de mer. Cette dernière péripétie sauva la situation. 


Depuis aucun de nous trous n'a jamais reparle de cette fin d'après midi. Nous avons vieilli, nous nous sommes mariés, mais jamais nous n'avons reparle de cela. 


Certes, parfois, à l'occasion d'un repas d'anciens ou autre, nous nous retrouvons. Nous échangeons alors des regards complices. Mais c'est notre secret. Personne a part nos trois ne le sait, et ne le saura jamais.

 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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