Samedi 2 février 6 02 /02 /Fév 22:26

Après une telle séance, j'aurais juré que Melancolia était épuisée. Nous ne pensions même plus au temps extérieur. 

Le chalet était devenu notre seul univers. On aurait dit que Melancolia à poils avec son collier de chienne à pointes était partie intégrante de cet univers. Elle m'avait prouvé qu''elle n'avait pas froid aux yeux. Nous avions quasiment fait tout ce qu'' il est possible de faire. 

 

J'avais par contre pris du retard vis à vis de mon client pour le développement de son site. Il habitait dans un village pas très loin des stations, et la chance que j'avais c'était que lui aussi était pris dans les mêmes conditions atmosphériques que moi. A ma grande honte, je devais admettre que cette fille m'avait fait tourner la tête, voire tout le reste aussi. Donc je décidai de travailler pour le compte de mon client avant que les choses ne tournent mal. Je m'installai à la table principale pour terminer quelques mises au point demandées par mon client.

 

Fidèle à son habitude, Melancolia deambulait toujours totalement nue avec son collier malgré que ses affaires du premier soir soient désormais totalement sèches. La seule concession faite à sa totale nudité à part le collier était une paire de mules noires à talons aiguilles avec un pompon sur le dessus. Le petit cliquetis de ses talons lorsqu'elle se déplaçait m'excitait terriblement, mais je tachai de rester concentré sur mon travail. C'était sans compter sur le tempérament volcanique de ma partenaire. 

 

 

Comme elle trouvait que j'étais trop sage, elle se placa sur le canapé, en face de moi, dans une position obscène, jambes totalement écartées. Et pour être sur que je comprenne le message, elle commenca à se caresser en poussant des soupirs d'aise. Je ne pus pas résister longtemps. 

- Mél, arrêté ca ...

- Chéri, j'ai encore envie. 

- Encore ? Tu es insatiable ...

- Oui, je suis une grosse salope et j'assume. 

- Tu exagérés. Tu as pourtant eu beaucoup ces derniers jours. 

- Mais chéri, on a rien d'autre à faire. 

- Ben si, justement.  

- Viens au moins te vider les couilles dans mon trou. Je suis une vraie vide-couilles. Profites- en. 

A ces mots je lâchai tout, client, ordinateur, délais et je me ruai sur elle. sans préliminaires, sans préparation et sans ménagement, je la fourrai uniquement pour me soulager. 

 

Je ne tins pas plus de cinq minutes et je tirai mon coup. Elle n'avait pas joui mais elle continuait à se doigter en criant 

- Merci, merci, merci, merci ...

Et elle finit par jouir à son tour. Quand elle eut repris ses sens, elle se lecha les doigts. Sa chatte degoulinait de foutre et de cyprine, mais elle avait déjà prouvé son attrait pour les fluides corporels. Par contre, je n'avais pas vu venir ce qu''elle me proposa ensuite. 

 

Pendant que je regardais sa chatte qui poissait mon canapé, elle prit un air penaud. 

- J'ai été une vilaine fille, hein ?

Je ne pus m'empêcher de rire. 

- Mais non, Mél. C'était très bien. 

- Non, je suis une grosse pute et je dois être traitée comme une truie. Tu vas devoir me punir.

Je comprenais enfin ou elle voulait en venir.

- Soit. Tu as raison. Tu es une grosse cochonne et tu dois être punie. Comment tu vois la chose ?

- Une salope comme moi doit recevoir une bonne punition. Je suppose que tu n'pas pas de fouet sous la main ?

- Hélas non ...

- Je suis une grosse enculée de chienne. Fous moi dehors à poils. Comme tu ferais avec une pétasse de chienne. 

Je compris qu'elle avait un plan. J'ouvris la porte. L'air glacial se rua à l'intérieur. En cliquetant sur les talons de ses mules, elle sortit avec un air extatique sur le visage. 

 

 

Sans hésiter, elle descendit les marches et descendit dans la neige. Elle s'enfonce jusqu'aux genoux. Elle marcha un bon moment faisant une sorte de circuit, puis elle se jeta daans un gros tas de neige. 

Puis elle se releva et reprit sa marche. De nouveau elle se jeta dans un tas de neige. Elle grellotait. Je l'appelai pour la faire rentrer. Elle fit un dernier tour et revint devant les escaliers. 

 

Une fois au pied des escaliers, claquant des dents, elle réussit à articuler 

- J'ai besoin d'une douche chaude. 

- Entre, je vais te faire couler une douche bouillante, sinon tu vas attraper la crève. 

- Non, je veux la prendre dehors. 

D'abord interloqué, je finis par comprendre. 

 

Je sortis ma bite et le froid aidant je commencai à lui pisser dessus. Elle tournait sous le jet d' urine comme sous une vraie douche. Elle se frictionnait le corps avec le jet. Elle passa même ses pieds encore chaussés des mules sous le jet qui faiblissait. 

 

Le jet se tarit. D'un geste des pieds, elle se debarrassa de ses mules qui s'egayerent sur la terrasse. Puis elle rentra et courut le plus vite possible vers la douche. Je réglait le jet sur très chaud et je la maintins, toute recroquevillee sous le jet brûlant. Elle resta une bonne dizaine de minutes sous le jet pendant que la pièce se chargeait de buée. Quand elle fut à la bonne température, je l'aidai à sortir et je la frictionnai avec une serviette sèche. Je pris la précaution d'enlever le collier de cuir pour éviter qu'il ne l'étrangle en séchant. 

 

 

Puis je recuperai son plaid du premier jour et je l'aidai à s'installer sur le canapé et je poussai le chauffage à fond. Quelques minutes après, nous faisions gâté gentiment sur le canapé, enlacés l'un contre l'autre. 

 

Mais ce n'est pas fini. Je vous raconterai la suite dans un prochain billet. 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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