Lundi 3 septembre 1 03 /09 /Sep 01:54

Régulièrement, je vais passer mes vacances dans une station de sports d'hiver des Alpes du Sud. Je dispose d'un petit chalet en forme de A avec une verrière exposée plein sud et une terrasse en bois. A l'étage, il y a un deuxième niveau.

Comme je travaille en freelance en développant des sites internet et en faisant des développement informatiques, je peux me permettre de passer toutes les vacances scolaires d'hiver la haut. 


Le chalet est situé sur un petit terrain bien ensoleillé. 
Je monte dès le début des vacances scolaires, de préférence le vendredi soir pour éviter la cohue routière et profiter pleinement de mon chalet. 
Aux dernières vacances, comme toujours, je suis monté, accompagné par ma soumise. La route était dégagée mais  nous sommes arrivés tard le soir avec un froid humide et glacial. À l'intérieur du chalet, la température était agréable, grâce à un système de déclenchement à distance par téléphone. Notre installation à été rapide car nos affaires sont sur place. Notre premier soin à donc été de nous préparer un agréable petit repas.

Bien entendu, ma soumise mange totalement nue avec son collier de chienne autour du cou. 


Le repas fut rapidement cuisiné. Nous adorons tous les deux les bons petits repas surtout lorsqu'ils présagent d'autres plaisirs. La cuisine se fit en commun, moi habillé et ma soumise sur ses talons aiguilles à plateforme.

Une fois à table, nous mangeons ensemble, mais c'est la soumise qui sert le dessert. La soumise était donc sur ses genoux et servait humblement son maître. Autrement dit, pendant que je dégustais tranquillement mon fondant au chocolat, ma soumise me prodiguait une superbe fellation.

 

Elle venait des va et viens avec sa bouche serrée autour de mon sexe. Je sentais que mon plaisir n'allait pas tarder à jaillir. Je dis donc à ma soumise de ne pas oublier de boire son dessert. Et quelques secondes après, j'ejaculais.

Ma soumise avala tout, mais son contrat précisait qu'elle devait impérativement me faire voir la quantité éjaculée avant de l'avaler. Là, elle venait de tout déglutir sans remplir ses obligations. Elle devait donc subir une punition. Comme toujours dans ses cas là, la punition doit se rapporter à la faute commise.

 

 

Après un bon repas au chaud, on a besoin d'aller uriner. Et donc la soumise dut boire le reste du champagne avec ordre de ne pas se soulager dans le chalet. Bien sur, la solution la plus évidente, c'est que la soumise devrait aller se soulager dehors, dans la nuit glacée... Et entièrement nue.

Le résultat de l'ingestion de tant de liquides ne se fit pas attendre. Au bout d'un quart d'heure, la soumise se tremoussait pour se soulager. Mais la dureté des conditions extérieures la faisait hésiter.

 

Bientôt, elle ne pût plus tenir et dût aller se soulager. Elle demanda à pouvoir porter des chaussures pour se protéger de la neige. Au chalet, nous laissons toujours une vieille paire de sabots noirs pour que la soumise puisse se délasser après une bonne journée de ski. Habituellement, elle les porte avec une grosse paire de chaussettes de laine et vaque à ses occupations lorsque nous ne jouons pas à nos jeux hors normes.

Elle fut autorisée à les chausser pour éviter les ennuis de santé lors de sa sortie. Mais il fallait encore trouver une humiliation supplémentaire pour la soumise.

 

 

Donc les sabots furent placés sur la terrasse et j'urinais dedans. L'urine était chaude et celle qui restait dans les sabots "fumait" au contact de l'air glacé. Maintenant il fallait que la soumise aille se soulager. Elle n'en menait pas large. Finalement, elle ouvrit la porte et sortit. Dehors, les flocons descendaient doucement dans la nuit feutrée. La soumise fit quelques pas pieds nus sur le bois de la terrasse et chaussa les sabots.

 


 

Au moment ou ses pieds se logèrent dans les chaussures, le liquide fut expulsé à l'extérieur et la soumise se mît en route pour aller uriner sur la chaussée. Elle commença à marcher mais l'épaisse couche de neige freinait sa progression. Parfois une jambe s'enfonçait et la soumise devait prendre appui avec d'autres parties de son corps pour s'extirper de la froidure.

 

Finalement elle arriva sur la route. Les lampadaires émettaient un halo qui révélait les flocons mais personne ne s'aventurait dehors et la soumise ne courait pas le risque d'être vue en si fâcheuse posture. En faisant attention de ne pas glisser, elle avança un peu sur la route puis se faufila entre deux voiture enfouies sous une épaisse couche de neige. Elle s'accroupit et put se soulager avec d'autant plus de plaisir que le froid avait aiguisé la sensation de l'urgence d'uriner.

 

Quand elle eut fini, elle prit le chemin du retour. Je la surveillais par la fenêtre et de mon côté, je n'étais pas reste inactif. J'avais prévu le retour de ma soumise. Rencontrant les mêmes difficultés de progression qu'à l'aller, elle fit le chemin inverse et arriva sur la terrasse de bois. Elle grelottait.

 

J'ouvrais la porte. J'etais couvert et j'avais des pantoufles en peau retournée aux pieds. Malgré cela, le froid piquant de l'extérieur me donna un frisson. La soumise abandonna ses sabots et franchit le seuil. Je la pris dans mes bras et la portai dans la salle de bains. J'avais fait couler la douche et règlé la température du jet sur chaud. Je ne voulais pas trop chaud pour éviter un choc thermique.

 

J'aidais ma soumise à se mettre sous le jet et je ne la quittai pas tant qu'elle n'arrêta pas de grelotter. Ensuite, je la laissai se laver. Quand elle sortit de la douche, elle était nue, ce qui est sa tenue de soumise habituelle. Je nous avais prépare un thé et des cookies que nous dégustames doucement, en profitant d'un moment intime de complicité qui se prolongea un bon moment. Enfin, nous montames au premier étage par une échelle de meunier prévue à cet effet. Là, nous avions un immense lit douillet. Je rabattis la couette et nous nous glissames sans nous changer à l'intérieur des draps, puis je rabattis la chaude couette sur nous. Je tenais ma soumise fortement enlacée pour la réchauffer. Au bout de quelques minutes la chaleur nous enveloppa doucement.

 

 

Alors je fis mettre ma soumise en levrette et je la sodomisai doucement. J'attendis qu'elle jouisse puis pour la deuxième fois de la soirée, j'ejaculais, cette fois directement dans l'anus de ma soumise qui a l'habitude de cette pratique si agréable et pourtant si décriée.

 

Encore une fois nous descendimes et nous primes notre douche tous les deux ensembles. Enfin, nous regagnames notre lit, cette fois heureux et repus. Dans la chambre, nous avons installé une fausse cheminée alimentée par une bouteille de gaz extérieure. La cheminée fut allumée, toutes les autres lumières, éteintes et nous nous endormimes doucement dans les bras l'un de l'autre, dans la chaleur et le confort de notre petit lit douillet.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus