Dimanche 27 janvier 7 27 /01 /Jan 23:35

 

Je déteste les sports d'hiver mais j'aime la neige et les villages des Hautes Alpes. 
Il y a de cela une dizaine d'années, j'ai acheté un chalet en A dans une station connue des Alpes du Sud. Le chalet est situé juste avant la station mais se trouve en pleine nature, dans une boucle de la route en lacets. 

 

 

Il est exposé plein sud et donc j'ai fait poser des verrières en face avant. Le seul luxe de cette villégiature, c'est une vraie cheminée de style moderne qui est très efficace pour le chauffage. Le terrain n'est pas grand, car sa position dans une boucle routière le rend assez étroit et long, mais sa surface m'a permis de faire une terrasse au sud et un potager l'été au nord, derrière la maison, ainsi qu'un grand parking. 
Bref, tout ce qu'il faut pour travailler tranquille tout en étant en vacances. 

 

 

Le seul inconvénient de cette localisation, c'est de devoir prévoir deux semaines de provisions au cas où. Et justement, cette année là, l'hiver était très rude. Il neigeait en continu depuis presque une semaine et la circulation sur la route était pénible et risquée. 
Personnellement, je n'étais pas affecté, car une prise électrique et une connexion Internet me suffisent pour travailler. Je fais aussi de la photo d'art et j'ai un site dédié pour la vente de mes clichés. 

 

 

Bref, j'étais dans mon chalet comme un coq en pâte. Chaque matin, je sortais une demi-heure pour m'oxygèner et ensuite, je prenais mon petit déjeuner. Puis, j'entamais ma journée de travail. A midi et demie, préparation et dégustation du repas.
Ensuite , lecture et loisirs jusqu'aà 16 heures. A ce moment là, je me remets au travail jusqu'aà 20h30, heure à laquelle je prépare le repas du soir, et je mange tout en regardant la télévision. Vers minuit, douche chaude et dodo. Une vie saine et équilibrée. 
Or, un soir, sur le coup de trois heures du matin, j'entendis tambouriner à ma porte d'entrée. Je mis un bon moment à reprendre pied dans la réalité. Je faillis me retourner pour me rendormir, car personne n'était assez bête pour prendre cette route enneigée la nuit avec un tempête pareille. 

 

 

Mais l'intrus insista et tambourina de plus belle. Impossible de croire qu'une branche battait contre le toit, sous la bourrasque du vent. Je devais me lever. 
Je me levai, mis un peignoir, car j'ai l'habitude de dormir nu et je descendis ouvrir la porte d'entrée. 
Lorsque j'ouvris la porte, je recus de plein fouet une masse d'air glaciale qui s'enroula autour de mes chevilles et me fit frissonner. 
Sur le seuil, une forme bizarre qui se précipita à l'intérieur. 
Interloqué, je fermai la porte pour conserver la chaleur. Puis je regardai ce qui se tenait devant ma cheminée. A priori, c'était un plaid de voiture qui devait recouvrir un individu transi. Comme la forme sous le plaid ne parlait pas, je fis les frais de la conversation. 
- Qui êtes vous ? Que se passe t il ?
Aucune réponse. par contre, la forme se mit à grelotter, et se ratatina. 

 

 

Je fis le tour pour voir mon étrange visiteur de face. Il etait entortille dans le plaid qui couvrait la tête et dissimulait le visage dans le noir, seul un doigt, un index, probablement, qui maintenait le plaid en place, était apparent. 
J'entendis un haletement caractéristique : la personne claquait des dents. Inutile d'essayer de discuter. J'allai à la cuisine et je mis de l'eau à bouillir.
Ensuite, je depliai une grande couverture en polaire, propre et sèche. Je retournai près de l'intrus et je lui demandai de jeter son plaid mouillé pour se couvrir de ma couverture. Grelottant, l'inconnu se découvrit et je pus enfin voir son visage. 

 

 

Je restai stupéfait,, l'inconnu était en fait une inconnue. Ses cheveux étaient rouge vifs, et son visage comportait au moins cinq piercings. Elle portait une tenue de simili cuir noir avec des bottes recouvertes de plaques de fer. Une gothique. Elle enleva plusieurs accessoires dont un collier de chien à pointes d'autour de son cou. Elle croisa ses jambes et s'assit tant bien que mal en tailleur. Elle grelottait tellement qu'elle était maladroite et ne pouvait plus parler. Elle cligna des paupières pour dire merci. 

 

L'eau était bouillante et je preparai du thé. Je fis un bol et une tasse. La tasse pour moi et le bol pour ma visiteuse. 
La chaleur du chalet et la couverture, ainsi que l'action bienfaisante du thé finirent par remettre l'inconnue en température. 

 

 

Il etait tard, et une fois réchauffée, l'inconnue déclara s'appeler Melancolia, ce qui n'était pas surprenant, vu ses habits gothiques. 
Elle avait voulu rejoindre des potes en station et avait tenté de prendre la route, malgré tous les bulletins meteo et les consignes de prudence. Le résultat était qu'elle avait eu de la chance de s'en tirer sans egratignure lorsque sa voiture était sortie de route.

 

 

Au début, elle avait prévu de rester dans la voiture, mais comme elle gelait sur place, elle avait cherché un refuge et avait vu mon chalet dans une accalmie. 
Elle avait tenté le trajet et avait bien failli y rester. Mais maintenant, elle était au chaud. 
Je la collai sous la douche pour deux raisons : la première, faire monter sa température interne et la seconde ... qu'elle soit propre. 
Pendant qu''elle se chauffait sous la douche, je realisai qu'il n'y avait qu'un seul lit dans la maison. 
Mais lorsque je lui exposai le problème au sortir de la douche, elle me certifia que cela n'a avait pas la moindre importance. 

 

 

En temps normal, j'aurais pris cela comme une proposition. Dans ce cas, je pris la chose comme la fatigue qui rend philosophe et fataliste. 
Elle declina mon offre de repas et demanda ou était le lit. D'un coup de menton, je le lui indiquai : en haut de l'escalier. Sur une chaise, j'avais disposé un survêtement bleu à son intention, mais avant que j'aie pu lui parler, elle était monté à l'étage. 
Je sentis une certaine irritation monter. Je trouvais que cette fille en prenait un peu à son aise. Je montai à mon tour et n'a en crus pas mes yeux. Elle était allongée sur le lit, entièrement une nue et dans une pose sans équivoque. Elle avait bien récupéré malgré les épreuves de la nuit. 
Je m'allongeai à côté d'elle pour essayer de comprendre la situation. 

 

 

Elle ne me laissa pas le temps. Je venais à peine de m'allonger qu'a elle me prit en bouche. Inutile de discuter. Je me laissai aller. Elle était experte. Elle serrait ses lèvres sur la hampe, faisait plusieurs allers retours et ensuite relachait ma bite pour lécher le gland à petits coups de langue. Ensuite, elle reprenait son mouvement de branle avec la bouche. Je ne pensai plus à rien d'autre qu'à sa bouche.  Elle était chaude et moelleuse. 

 

Ensuite, elle se leva et m'enfourcha. Elle flechissait doucement sur ses jambes musclées. Avec les doigts, elle se branlait et s'ouvrait la chatte de façon indécente. Avec les deux index, elle tira sur les deux côtés de sa vulve et s'assit sur ma queue tendue. L'intérieur de sa chatte était sublime. 
Avec un rythme lent, elle montait et descendait avec une mine gourmande qui était encore plus excitante. Je me retenais. au maximum mais je n'en pouvais plus. Elle ferma les yeux et poussa de petits gémissements. Elle jouissait. J'allais pouvoir jouir et je fus soulagé. Mais elle se leva brusquement et s'allongea à côté de moi avec un sourire pervers. Elle osa même ajouter :
- Vas y fais toi plaisir... mais tu te debrouilles tout seul.
J'empoignai ma bite pleine de sa mouille et je me branlai frénétiquement. Je me mis à genou contre elle, bite au dessus de son ventre. Et puis ce fut le soulagement. Mon coup partait. Je sentais le jet sortir par saccades. J'avais essayé de viser les seins mais tout était parti dans tous les sens et elle était inondée du ventre au cou.

 

 

Avec un sourire, elle pressait pressa mon bout entre le pouce et l'index pour faire sortir les dernières gouttes. Elle les recupera sur son index et le suca en me regardant droit dans les yeux. Elle etala tout sur son corps...
Puis elle ajouta :
- Tu attends quoi pour t'essuyer ?
Devant mon air perplexe, elle ajouta :
- Sur mes pieds ...

 

Je compris seulement alors. Je m'essuyai la bite sur ses pieds. Je les lui recouvris de mouille et de foutre. Pour faire bonne mesure, je crachai aussi dessus. Elle était positivement ravie de cette initiative. 
Ensuite, nous eumes une crise de fou rire. Puis nous sentimes d'un coup la fatigue. Nous nous allongeames et épuisés par la séance et les fatigues de la nuit, nous nous endormimes sans même nous nous en rendre compte. 
Pour savoir ce que nous fimes le lendemain, lisez la suite sur ce blog.  
Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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