Lundi 17 septembre 1 17 /09 /Sep 01:47

 

 

Un souvenir de jeunesse cette fois. J'étais un des meilleurs pirates informatique de mon lycée. J'aimais les maths et la physique et pour me décrire en un mot comme en cent, un vrai geek. 
Comme tous les jeunes de mon âge, je fréquentais plusieurs groupes de potes, dont un en particulier ou nous étions unis par une camaraderie fraternelle. 


Pour me faire de l'argent de poche, je donnais des leçons de maths, physique ou chimie. Et dans ce groupe, il y avait une fille vraiment bien à qui je donnais des leçons. 
Bien sur, il n'a jamais été question entre nous d'argent ou d'autre chose et nous étions dans une relation très saine. Comme tous les groupes la globalité évoluait, mais le noyau dur était toujours identique. Et je faisais bien entendu partie du noyau dur. 


Nous étions tout le temps fourrés ensemble. Et je voyais qu'une fille du groupe me portait un certain intérêt. Bien sur, je pouvais me tromper, mais il me semblait bien que certains regards étaient éloquents. Quant à moi, j'étais très intéressé par la fille à qui je donnais des cours, mais comme je l'ai dit, nous étions avant tout des amis. Pourtant c'était celle qui me plaisait le plus.

Les autres filles ne lui arrivaient pas à la cheville, sauf celle que je pensais ne pas laisser indifférent, qui était aussi une fille bien quoi que moins importante pour moi que la première. 


Et donc nous avions passe une année scolaire difficile ponctuée de bacs blancs et autres joyeusetés lycéennes. La fin de l'année arriva enfin et nos épreuves prirent fin. Tout lycéen à connu cette période post scolaire ou on réalise qu'on est en vacances, tout en sachant que nos vraies vacances seraient avec nos parents dans la campagne française durant un long mois de séparation avec nos potes. 


À l'époque pas de téléphone mobile et pas d'Internet. Donc il fallait rentabiliser cette courte période située entre les examens et les vacances parentales, période que nous mettions à profit pour aller au cinéma, au restaurant, jouer aux cartes, jouer au bowling, et aller se baigner à la mer, entre autres activités estivales. Nous faisions toutes nos activités en bande et nous étions jeunes, libres et heureux. 


Je vous passe les détails de ces vacances, pour en venir à cette fameuse journée que je vais vous raconter plus en détail. 


Ce jour là, nous avions décidé de tous aller à la mer et d'y passer la journée. Chacun devait porter son repas, de l'eau et quelque chose à partager lors du repas : chips, saucisson, quiche où cake, tout était bienvenu pour un moment de partage et de rire.

 

Le moment venu, de bonne heure le matin, je suis monté dans le bus, direction les calanques. Sur mes épaules, le sac à dos avec dedans une bonne provision d'eau et de quoi manger pour un régiment. 


Je descends à mon arrêt. Je suis le premier. Ensuite arrive le premier bus avec ma première copine, puis au bus suivant la deuxième copine. Et nous attendons tous les trois pendant une demi-heure. Personne.

 

À cette époque, pas de téléphone mobile. Donc nous partons tous les trois en espérant que les autres vont nous rejoindre puisque chacun sait quelle est notre destination. En été, en Provence, la marche est difficile car il fait très chaud et la roche au sol est glissante. En marchant tôt dans la matinée et en marchant avec de bonnes chaussures, la randonnée est plus facile. 


Nous avons donc pris la route sans attendre,et au bout d'une bonne marche, nous nous sommes retrouvés au bord de l'eau, sous un pin. Les serviettes furent étalées et après avoir pris la peine d'essuyer notre transpiration, nous avons pris le bain. Nous nous sommes amusés comme des petits fous.

Ensuite le repas de midi fut un rare moment de détente. Ensuite, la chaleur aidant, la sieste se fit naturellement. 

 

En fin d'après midi, nous prîmes le chemin du retour et notre bus. Le trajet passa comme dans un rêve. Nous n'arretions pas de rire. 
Le bus arriva a notre arrêt. Nous descendimes. L'arrêt se trouvait sur une place, devant l'église. Nous descendimes toujours riants. Le moment de la séparation était là. Nous formions un triangle et nous retardions ce fameux moment de la séparation. Le moment était magique. Aucun des trois ne pouvait se résoudre à rompre l'enchantement. Nous disions des futilités, nous riions bêtement mais nous restions là, à échanger des banalités affligeantes pour éviter de rompre le charme. 


Puis vint un moment de silence. Nous nous regardions, mais simplement en silence cette fois. La tension était à son comble. Finalement nous sûmes que chacun pensait à une chose qu'aucun d'entre nous n'osait formuler. 
Doucement, sans nous concerter et sans parler nous nous mimes à marcher en direction de l'appartement d'une des filles. C'était le plus proche. Ses parents étaient sortis et sa sœur allait au cinéma avec son petit ami. Pour sauver les apparences, notre hôtesse nous avait proposé de nous désaltérer après cette chaude journée d'été, excuse que nous avions accepté avec trop d'empressement. 


Finalement nous fumes devant la porte. Je ne sais pas pour mes deux partenaires, mais mon propre cœur battait à tout rompre. La porte d'entrée se referma. Nous étions tous les trois dans l'appartement. Isolés du reste du monde. 
Une fois le verrou mis, il y eut quelques secondes de flottement. Puis une des deux filles m'embrassa délicatement. Je lui rendis son baiser. Ensuite j'embrassai la seconde. Et vint le moment de vérité. Les bouches des deux filles se rapprochèrent, se frôlèrent. Puis elles s'embrassèrent. Les dés étaient jetés. 

 

 

Nos vêtements volèrent dans le couloir. Entièrement nus, nous tombâmes sur le lit des parents de notre hôtesse. Nos corps se mélangeaient. 
Nous nous embrassions sans même savoir qui nous embrassions. Mes mains couraient sur le corps de mes partenaires. Je caressais des seins, des paires de fesses et je sentais quatre mains courir sur mon propre corps. Une des deux bouches goba mon sexe. La fille faisait des allers retours pendant que ma langue explorait la bouche de l'autre fille. Avec mes mains, je caressais les deux corps souples et chauds étendus à côté de moi. 


La fille arrêta sa fellation et remonta en direction de nos bouches. Elle embrassa sa copine à pleine bouche, encore pleine de mon goût. Et ce fut au tour de la seconde fille de me sucer. L'autre fille venait de s'allonger. Ses jambes étaient écartées : le signal était clair. Je m'inclinai pour lui brouter la chatte. Elle avait un goût particulier, sucré. Une saveur douce et entêtante.

 

Pendant que ma langue goûtait sa chatte, je glissai un doigt dans son anus. Elle était vierge de ce côté là. Je dus faire preuve de patience et travailler doucement son sphincter. Très rapidement, elle consentit et je sentis son trou s'ouvrir. 
Ma suceuse continuait son travail excitant. Je quittai la vulve dont je m'occupais pour passer à l'autre. Comme je l'avais déjà fait à l'autre fille, je la sodomisai avec un doigt, mais le passage était déjà fait.

 

 

Visiblement elle avait l'habitude de se faire enculer et semblait même apprécier de l'être. Il était temps de passer aux choses sérieuses. Ma bite était copieusement enduite de salive. Je la présentai donc, face à l'anus de ma partenaire. Je posai l'extrémité de mon gland sur la rosette et je commençai à pousser. Mais ma bite ne rentrait pas. Elle avait été dépucelée du cul mais n'avait sans doute pas une grande pratique.

 

C'est alors que ma copine vint sauver la situation.  Plaçant son visage entre nos corps elle cracha plusieurs fois sur ma bite et le trou de l'anus de sa copine.

La salive est un excellent lubrifiant et psychologiquement ses crachats nous avaient tous excités. Je poussai et enfin ma bite se fraya un passage. Je l'enculai durement, sans ménagement, mais elle ne voulait pas être ménagée. Bien au contraire. 
"Vas-y... C'est trop bon. Vas-y, troue moi le cul."

 

L'autre fille suivait avec attention, en gros plan, l'enculage et lorsque malhabilement, je déculai, elle goba ma bite pleine de toutes les sécrétions intimes de son amie. J'étais dans un état second. Je ne me rendais plus compte de rien. Je replongeai ma queue dans l'anus offert. Mais je n'étais pas au bout de mes surprises. Pendant que je m'activai dans l'anus defloré, elle se mot en position pour que je la sodomise et m'offrir ainsi son pucelage anal. 

 

Impossible de résisiter à une telle offre. Je crachai plusieurs fois sur la rondelle, et lorsque ma salive me parut en quantité suffisante, je sortis et je me présentai à la nouvelle entrée à dépuceler. 
Je dois avouer que trop excité par cette situation je forçai un peu l'entrée. Mais l'envie de se faire sodomiser était trop forte et ma partenaire subit l'assaut sans plainte.

Je commençai à lui ramoner l'intérieur mais je ne pus me retenir très longtemps. Très vite, je jouis et je sentis que je déchargeai à gros bouillons dans son intestin. La puissance du jet chaud l'excita encore plus et elle se mît à jouir par l'anus. 

 

Brisée par la jouissance elle se laissa tomber et moi même, je me laissai aller sans me rendre compte que le troisième élément de notre trio n'avait pas pris son pied. Mais lorsqu'elle recommença une fellation sur mon sexe mou, la seule idée qu'elle recevait dans sa bouche toutes nos sécrétions intimes mélangées me redonna un peu de vigueur.

Sortant de sa torpeur, la fille qui avait joui fit ce que j'avais toujours espère depuis que la porte s'était refermée sur nous trois, elle lécha la chatte de la fille qui me suçait la bite. 

 

J'etais tellement tendu que j'en avais presque mal. 
Alors je m'assis en tailleur. en essayant de laisser sa chatte offerte aux caresses buccales, elle vint s'empaler toute seule par l'anus sur mon sexe tendu à l'extrême. Jambes écartées elle offrait sa chatte aux coups de langue de la fille tout en étant sodomisée par moi. Elle jouit quelques secondes après. 

 

Cette fois, je n'avais pas eu le temps de jouir, alors, pendant que ma copine lui léchait toujours l'entre-jambes, je lui présentai ma bite devant la bouche. Elle s'empressa de sucer et très vite je jouis dans sa bouche. Dès que j'eus tiré la fille qui broutait lâcha la vulve pour l'embrasser à pleine bouche et partager ainsi mon foutre. 

 

Affalés, repus, la situation aurait pu être gênante une fois l'excitation passée. Mais nous eûmes un coup de chance extra ordinaire. Le telephone sonna. Les parents de notre hôtesse voulaient savoir si elle était rentre à la maison car ils allaient revenir de chez sa grand mère.

Bien entendu, dès qu'elle eut raccroché, nous nous précipita mes sur nos affaires pour nous rhabiller et éviter de nous faire surprendre en fâcheuse posture. 

 

Moins de cinq minutes après nous être rhabilles, la grande sœur de ma copine entra. Pour dissimuler notre trouble, nous baragouinames que nous allions à une séance au ciné et nous sortimes pour aller tous les trois boire un verre au bord de mer. Cette dernière péripétie sauva la situation. 


Depuis aucun de nous trous n'a jamais reparle de cette fin d'après midi. Nous avons vieilli, nous nous sommes mariés, mais jamais nous n'avons reparle de cela. 


Certes, parfois, à l'occasion d'un repas d'anciens ou autre, nous nous retrouvons. Nous échangeons alors des regards complices. Mais c'est notre secret. Personne a part nos trois ne le sait, et ne le saura jamais.

 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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