Vendredi 21 septembre 5 21 /09 /Sep 02:16

 

Ainsi que je l'ai déjà dit, je travaille souvent hors de mon domicile pour différentes missions. Je vais ainsi aux 4 coins de la France, quelquefois (mais rarement) à l'étranger. Je coupe ma semaine de travail en deux : une partie est réservée à la prospection de nouveaux clients et l'autre moitié à la réalisation des commandes que je reçois. 


Le plus souvent, lorsque j'ai une grosse commande, je prends une pension dans un hôtel et je file me mettre au vert et travailler ainsi plus efficacement. J'ai mes endroits favoris (ne comptez pas sur moi pour vous les révéler) et je passe beaucoup de temps à l'hôtel, ce qui m'évite tout problème de dérangement et d'intendance. 

 

Par contre, ma soumise est moins libre. Ce qui fait que souvent elle est obligée de me rejoindre dans mes villégiatures. Bien que cela soit contraignant du point de vue de son emploi du temps, elle adore ces escapades en amoureux. D'autant que comme c'est ma société qui paie les frais, je ne regarde pas trop à la dépense.

 

Une de mes destinations favorites est une petite île de méditerranée. Je descends toujours au même hôtel ou j'ai mes habitudes. Il s'agit d'une vielle bastide provençale transformée en hôtel de luxe. Par contre, dans la salle commune, j'ai un spot WiFi, même si j'ai une clé 3G pour m'affranchir de toute contrainte. 

Je n'ai pas trop à me plaindre question clients, et je suis régulièrement sur ce site mais hors période touristique, car à ces moments là, la fréquentation est telle que l'île devient invivable, du moins pour ma soumise et moi. 


Cette fois là, nous étions au mois de juin. Le temps était magnifique et les journées ensoleillées. La température extérieure plus que clémente et j'avais un carnet de commandes bien rempli. J'avais décidé de prendre une quinzaine de jours sur place. Ma soumise ne pouvait monter que la deuxième semaine.

Durant la première semaine, j'avais fait une très agréable rencontre (dont vous trouverez le récit ici) et ma soumise était venue me rejoindre quelques jours après.

 

Mon travail était presque achevé. Je pouvais donc profiter de la beauté naturelle de l'île et de son calme. Il fait dire que je suis photographe amateur. Je possède mon propre site sur lequel je vends mes photos et régulièrement je parcours les endroits ou je travaille pour faire quelques clichés. C'est une activité agréable, amusante et qui permet de faire quelques folies quand les ventes sont bonnes. 

Ma soumise arrivait donc ce jour là par la navette maritime de 16h15. Je m'étais placé à l'arrivée de l'embarcadère. Je l'attendais avec une impatience grandissante. La navette arriva enfin et accosta le quai. La foule commença à débarquer. Je la vis enfin dans la foule. Elle avait fait les choses parfaitement bien, comme à son habitude. Elle portait un pantalon corsaire bouffant safran, un top assorti, un gilet noir, un grand nombre de foulards autour du cou et des sabots noirs. Impossible de ne pas la remarquer.

Dès qu'elle me vit, elle se jeta à mon cou et m'embrassa à pleine bouche en public. quand j'eus repris mon souffle, je me chargeai de ses bagages. Elle avait deux valises à roulettes, ce qui me permettait de faire le trajet, tout en faisant la conversation. 

Une fois rendus à l'hôtel, nous sommes montés à l'étage. Les valises furent simplement jetées dans l'entrée et nous nous enlacâmes pour des retrouvailles fusionnelles. 
Rapidement, je la dévêtis et elle se retrouva en string au pied du lit en posture d'attente. Je pris tout mon temps pour ouvrir une des valises.

Bien entendu le matériel qu'elle avait apporté était dans la deuxième valise. Elle avait pensé à prendre du petit matériel pour du bondage et du SM de voyage. Une soumise parfaite. Aucune autre n'irait osé apporter une valise entière d'articles de sex-shop sur deux valises de bagages. 

Je sortis un voile rouge et laissai la valise ouverte. On ne sait jamais. Il se pourrait que très rapidement, je doive prendre d'autres articles. Autant la laisser ouverte. 
Ma soumise était toujours en position d'attente, le sourire aux lèvres. Je pris le foulard et en faisant attention de ne pas la blesser, je fis plusieurs fois le tour de sa tête en masquant ses yeux de la façon la plus étanche possible. Une fois qu'elle fut privée du sens de la vue, je commençai mon travail de sensations.

 

 

Je commençai à la caresser doucement tout le long du corps. Des chevilles aux épaules, je la caressai tantôt en passant sur ses zones érogènes, tantôt en les évitant. Ensuite, je continuai en alternant caresses et petites tapes sèches sur le postérieur. Rapidement, je la sentis plus réceptive, attentive. Elle commençait à être excitée et le jeu consistait à jouer au chat et à la souris avec les attouchements. Toujours toucher là ou on ne l'attend pas et ne pas toucher ce qu'elle voudrait que je touche et parfois faire exactement l'inverse. 

En quelques minutes elle était trempée. Je passai un doigt sur sa fente et je constatai qu'elle était ouverte et trempée. Ses sensations étaient décuplées du fait quelle était sensoriellement isolée. Elle ne tenait plus du tout sa position. Elle se tortillait tout en essayant de garder la position. Je passai derrière elle. Je lui massai ses fesses fermes. Et doucement, je descendis vers le petit trou.

 

Ma soumise adore être sodomisée. Et moi j'adore l'enculer. Donc je descendais vers son anus pour vérifier la résistance de son musclé anal quand j'eus une petite surprise. Son bouton était décoré. 

Elle s'était posé un Rosebud. Un petit bijou anal qui s'introduit dans l'anus et qui tient grâce aux muscles du sphincter qui se referment dessus. Jolie surprise. La partie insérée dans l'anus est en métal inoxydable. La partie extérieure est une fausse pierre taillée. Celle ci est rouge vif. Inutile de l'enlever trop tôt. Il faut jouer avec. Je le titille, je le pousse, je le tire mais sans jamais le sortir ni le pousser vraiment.

 

 

Les narines de ma soumise sont dilatées et elle respire bruyamment. Elle se doute qu'elle va être enculée mais quand ? Je sais que dans son esprit elle ne pense plus qu'à une chose. Mais en bonne soumise, elle sait qu'elle doit attendre. Nous le savons tous les deux et je joue avec ses nerfs. 

Je retourne à la valise. J'y trouve un énorme plug noir. Très bonne idée d'avoir pensé à cet objet. Je le prends et je le présente devant la bouche de la soumise qui s'empresse de le sucer. Elle s'enfonce profondément sur la bite de caoutchouc. Puis je lui demande de cracher sur le plug, et elle s'exécute. 


Je la fais se positionner en levrette sur le lit, pour me présenter sa croupe ferme et parfaite. Je sors le bijou anal et je le remplace par le plug recouvert de sa salive. Je force juste un peu pour franchir le rétrécissement du plug. La soumise soupire, mais le plug rentre en entier dans son cul. Il faut dire qu'elle a une certaine habitude de prendre des choses énormes dans son cul. 



Maintenant que son cul est rempli, j'en profite pour me déshabiller et lui présenter ma bite a sucer. Comme elle est en levrette, et donc en appui sur ses avant bras, impossible de tenir ma bite. Elle est obligée de se contorsionner pour la garder et bouche et en bon maître sadique, je ne cherche pas à lui faciliter la tâche. Ma bite durcit à grande vitesse. 


Quand je me sens prêt, je me retire de sa bouche, je reprends ma place derrière son cul éclaté et offert. Je retire le plug et sans la moindre préparation, je l'encule profondément. Je n'hésite pas à lui pilonner le fion. 


J'essaie de rentrer le plus profondément possible. Ma soumise râle. Elle est prête à jouir. Je m'arrête de la bourrer pendant une à deux secondes. Elle ne peut pas s'empêcher de s'empaler elle même sur ma queue. Nous n'en pouvons plus, ni l'un, ni l'autre. Alors j'accélère mes va et viens. Ma soumise se cambré. Ce n'est plus qu'une question de secondes.

 

 

Je sens ma soumise prête à jouir, mais pour cela elle doit en avoir reçu la consigne. Je me retiens le plus possible, jusqu'au moment ou je sens ue je vais exploser. 
Alors je crie à ma soumise :
- jouis salope !
- Ahhhhh
- Jouis du cul comme une pute, comme une enculée. 
- Oui maître, je jouis. 
- Je t'encule salope, jouis. 
Et elle jouit en tremblant de tout son corps. Moi je me vide dans ses entrailles. Je sens mon jet chaud partir au plus profond de ses boyaux. 
Finalement, nous nous affalons tous les deux, entrelacés l'un sur l'autre. Nous reprenons nos esprits. 

Quand nous avons récupéré, nous nous embrassons à pleine bouche. C'est le seul inconvénient lorsqu'on sodomise une fille : on ne peut pas l'embrasser en même temps... Quoi qu'un jour, je vous raconterai comment il est possible de le faire.  Ma soumise entame la dernière fellation pour être sûre que je suis totalement vidé. Lorsque je jouis, il ne sort que quelques gouttes que ma soumise avale avec délectation. 


Nous restons côte à côte sur le lit en nous tenant par la main. Et sans même y prendre garde, nous sombrons dans un sommeil réparateur. Nous nous réveillons vers 23 heures. Une douche, des habits propres et nous sortons pour prendre notre dîner. C'est ma boîte qui paye...

 

Mais ceci est une autre histoire et je vous la raconterai bientôt.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : BDSM
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