Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 01:45

il y a quelques années de cela, j'ai eu la possibilité d'être hébergé dans un petit ryad au Maroc. 

le voyage en avion s'était déroulé sans histoire et un bon trajet en taxi plus tard (le ryad était hors ville, en banlieue), je prenais possession de ma villégiature. comme je l'ai déjà dit, j'ai la chance d'avoir un travail comme concepteur de sites internet qui me permet de bosser partout dans le monde sans le moindre problème... à condition qu'il y ait une prise réseau et une prise électrique. 

 

le petit ryad était parfait pour moi. il se composait d'un rez de chaussée agencé autour d'une courette avec la traditionnelle pièce d'eau, et d'un étage qui abritait les chambres et dont le toit formait terrasse. très vite, je pris l'habitude de passer le plus clair de mon temps sur le toit terrasse. le blanc des mur et le rouge des carreaux du sol contrastaient avec le bleu pur du ciel. un grand dais blanc etait tendu au dessus d'une salle à manger d'été et d'un salon. chaque jour, je montais sur la terrasse et je travaillais à la mise en place d'un site professionnel pour un exportateur d'artisanat local. 

 

je commencais ma journée par le petit déjeuner et ensuite, je mettais au point les différentes pages de mon client. une rambarde blanche en maçonnerie me séparait de la rue et de ses bruits parasites. je travaillais jusqu'à l'heure du petit déjeuner ou je prenais une légère collation et je reprenais le travail dans l'après midi, vers 16 heures. 

 

je travaillais jusqu'au soir tard car j'avais fort à faire, et surtout parce que, quand le soir tombait, c'était un moment magique, si l'on exclut bien sûr les moustiques qui sortaient à cette heure la pour prendre leur propre repas. 

un jour, après le repas, je m'étais assoupi et je ne me réveillais que vers 20 heures. 

la soirée était agréable, un léger vent frais  tempérait le climat chaud. 

 

au réveil, j'étais un peu vaseux et pour me réveiller complètement, je m'accoudai au muret pour que le vent frais acheve de me réveiller. je crois que je mis un moment à reprendre pied dans la réalité, mais lorsque mon cerveau reprit le contrôle de la situation, je fus abasourdi. 

en face de moi, sur sa terrasse, une marocaine entièrement une nue me regardait d'a un air perplexe. 

 

ne sachant pas trop quelle attitude adopter et pour conserver une certaine contenance, je lui fis coucou avec la main. elle répondit à mon salut aveac un grand sourire. visiblement, il me manquait des éléments du puzzle, mais concrètement tout semblait être plutôt positif. 

 

pour ne pas être vue de la rue, elle restait en retrait mais elle tenta d'engager la conversation. 

elle parlait mais comme elle n'osait pas crier, impossible d'entendre ce qu'elle voulait me dire. J'essayais de répondre, mais comme moi même, je n'osais pas crier pour répondre, nous avions l'air assez farfelus l'un pour l'autre. finalement, elle agita la main pour montrer l'inutilité de nos efforts et par signes, me fit comprendre qu'elle allait traverser la rue et rendre une visite de politesse. 

 

je fus tout sourire tant qu'elle fut sur le toit mais des qu'elle eut disparu, je me précipitai dans la salle de bains. je devais faire vite pour me donner un coup de peigne, me brosser les dents et me remettre du déodorant et du parfum. je finis avec un synchronisme parfait avec la sonnette qui tinta au moment où je reposais la bouteille de parfum. 

je me ruai sur la porte d'entrée et je rectifiai ma tenue avant d'ouvrir. elle était la, devant moi, souriante. elle avait de grands yeux magnifiques et je compris l'expression «yeux de biche». 

 

je m'effacai et la priai d'entrer. elle avait une démarche féline et une grâce nonchalante qui mit tous mes sens en émoi. 

elle était habillée avec des vêtements amples et brillants. rouge et or avec un foulard doré. elle marchait pieds nus. 

elle prit l'l'initiative de la conversation. 

- SI nous reprenons notre conversation lá où nous en étions ?

 

et à ma grande stupéfaction, elle fit glisser ses vêtements et se retrouva une nue dans ma.cour. 

j'osai à peine respirer et j'avais du mal à croire à ma chance. un peu hésitant, je m'approchai mais elle prit les choses en mains si j'ose dire car elle ouvrit ma braguette et s'empara de ma bite qui commençait à se tendre. 

elle ne perdit pas de temps et se la mit directement en bouche pour me tailler la plus merveilleuse pipe de ma vie. 

 

 

j'avais du mal à me retenir et à ma grande honte le coup partit. je dechargeai violemment par saccades. 

ma partenaire ne se formalisa pas et avala tout mon foutre avec une mine gourmande, ce qui me rassura quant à la suite de cette soirée. 

 

histoire de récupérer je lui offrir un thé qu'elle accepta tout en disant avec son superbe sourire 

- nature s'il vous plait, j'ai déjà eu le lait. 

nous echangeames un sourire complice et nos langues s'aenlacerent. nous nous caressions pour faire monter le désir. 

 

très rapidement, je fus en état de l'honorer. mais cette fois pas question de laisser mon coup se perdre dans sa bouche torride. contrairement à mon attente, elle ne s'alllongea pas mais se mit en levrette, à quatre pattes m's'offrant sa croupe parfaite. j'y voyais une invitation claire à la sodomiser mais je n'osai pas car on encule pas une fille avec qui on n'a pas dit trois mots. mais lorsque je pointais mon gland sur sa jolie petite fente rasée, elle se dégageait. il fallait se rendre à l'évidences : elle voulait se faire enculer. je présentais mon bout sur sa rosette et elle ne se dérobe pas. message compris. 

 

par acquit de conscience, je lui demandai 

- Il faut lubrifier ou tu as l'habitude ?

elle répondit dans un souffle qui fallit me rendre fou de désir 

- j'ai l'habitude. vas y a sec et défoncé moi. 

j'étais dans un état second. mon gland était posé sur sa rondelle. je poussait d'un coup sec. le trou n'était mas pas encore dilaté mais je poussait. 

 

 

effectivement elle avait l'habitude de prendre du cul car ma bite entra dans la gaine étroite comme. si le trou s'adaptait à mon calibre. je commencerai mes va et viens lorsque je sentis son sphinçter se dilater. il épousa la diamètre de ma queue et je commencerai à lui défoncer le cul à grands coups. ses haletements trahissaient son excitation. son trou se dilata encore.

 

je fus pris d'une véritable frénésie et j'essayai de la prendre de toutes mes forces, le plus profondément possible. 

sans prévenir, je l'entendis jouir et je me lâchai. son anus s'était dilaté à l'extrême. pour la deuxième fois de la soirée je sentis mon coup partir et je lui inondai le fondement. 

 

reprenant nos esprits, nous nous laissames aller par terre, anéantisa par la jouissance. 

je n'étais pas au bout de mes surprises. nous étions encore enlacés et nous reprenons nos esprits quand je sentis sa bouche et sa douce langue sur ma bite. je ne bandais pas assez pour une pipe et je ne me sentais pas de ré bander si tôt. 

- tu fais quoi ? demandai- je

- je te nettoie. je ne veux pas laisser perdre tout ce bon goût de foutre. 

- Il n'y à pas que du foutre dessus, ironisai-je

- aucune importance, j'ai bon goût. et elle eut un rire délicieux. 

et pour prouver la véracité de son assertion elle se fourra elle même deux doigts dans l'anus et les fit tourner. 

quand elle estima qu'ils étaient prêts, elle les retira tous dégoulinants et se les fourra dans la bouche ou elle les nettoya avec des mines gourmandes. 

 

 

elle refit plusieurs fois l'opération jusqu'au moment où elle annonca

- Ca y est, je suis propre. au fait ... quel est ton prénom ?

elle était vraiment extraordinaire. 

main dans la main, nous primes la douche ensemble et une fois propres, nous partimes dîner au restaurant, en ville. 

au retour, nous nous installames  confortablement dans les fauteuils de plastique tresse de la terrasse et nous devisames agréablement. 

 

je l'invitait à passer la nuit et fort poliment elle accepta. 

ces vacances s'annonçaient sous les meilleurs auspices et effectivement, je n'allais pas les regretter. mais ceci est une autre histoire que je vous raconterai prochainement. 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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