Dimanche 15 septembre 7 15 /09 /Sep 21:37

 

Je fais de la conception et du développement logiciel mais je ne fais pas de dépannage et encore moins à domicile. Et j'ai deux téléphones mobiles. Un pour le boulot (payé par ma boite) et un personnel (d'ailleurs lui aussi payé par ma boite).  

Et un jour mon téléphone personnel se mit à sonner. Je decrochai et j'entendis une voix féminine totalement inconnue annoncer 

- Bonjour, je vous appelle pour un dépannage. 

- Désolé, madame, je ne fais pas les dépannages. 

- Mais c'est xxx qui m'a donné votre numéro. Il paraît que vous êtes un petit génie de l'informatique...

- Génie peut être, mais toujours est il que je ne fais pas les dépannages. 

La conversation dura un bon moment et ne finis par céder, plus par souci de ma tranquillité et par camaraderie que par goût du lucre. 

 

J'avais pris rendez vous deux jours plus tard à 11h avec une promesse de spaghetti à la carbonara pour le repas de midi. Je n'allais pas faire payer la copine d'un copain. 

Deux jours après, je sonnai à la porte de Valérie. La porte s'entrouvrit, un léger coup d'oeil pour vérifier que ne sois bien celui que je prétendais être et la porte s'ouvrit totalement. Elle était vêtue d'un pantalon en jean coupé et effiloché au dessus du genou et d'un tee-shirt blanc avec une pub pour une célèbre marque de capote inscrite sur la poitrine. Elle portait également une paire de sabots suédois blancs aux pieds. 

 

Je ne suis pas spécialement observateur mais visiblement elle ne portait pas de soutien gorge, sa poitrine étant au-dessus de tout soupçon. 

 

Nous echangeames les salutations d'usage, et elle m'offrit un verre dans le salon - salle à manger. Je jetai un regard circulaire : le rez de chaussée était spacieux et propre, joliment aménagé avec la cuisine américaine qui va bien. Au fond, un escalier et je me doutai que la suite se passerait à l'étage, puisque aucun ordinateur n'était visible au rez de chaussée. 

 

Elle quitta. ses sabots au pied de l'escalier et m'invita à la suivre. Je pris soin de me dechausser et je montai à l'étage. 

 

Son ordinateur était la. Rapidement, je sortis mes DVD et je m'installai devant la machine. Elle me regardait faire. 

Rapidement, elle s'allongea sur le lit car tout le haut était une seule et unique pièce sans cloison ni séparation, y compris pour la salle de bains. 

 

Comme visiblement je ne comprenais pas l'invitation, elle se leva et passa la main dans mes cheveux. 

Surpris, je tournai la tête vers elle et elle m'embrassa à pleine bouche. Sa langue s'insinua dans ma bouche et très rapidement, je répondis à son baiser. 

 

Dès lors, les choses s'enchainerent très vite. Elle enleva son tee-shirt et me présenta sa poitrine pour que je lèche le bout de ses seins. Je ne me fis pas prier et je sentis ses pointes durcir. 

De mon côté, je fis sauter mon tee-shirt et je tentai de me débarrasser de mon jean mais je compris rapidement que je devrais ôter mes chaussures pour y arriver. Nous fimes une pause pour pouvoir nous mettre à poils. 

 

Debout, enlacés, nos langues s'entortillaient et très rapidement pour passer aux choses sérieuses, nous nous sommes allongés sur le lit. 

 

Elle emboucha ma bite et attaqua directement une super pipe. Visiblement, elle aimait ca et s'était bien entraînée. J'avais du mal à penser à autre chose que de tirer mon coup dans sa bouche. 

 

Heureusement, elle s'allongea sur le dos, et ecarta ses cuisses pour m'inviter à la pénétrer, chose que je m'empressai de faire. 

 

Nous ne mimes que quelques minutes à jouir. Des que je sentis qu'elle venait, je me laissai aller et je tirai mon coup directement dans sa chatte. 

 

La jouissance nous avait submergés. Nous étions allongés sur le lit toujours imbriqués l'un dans l'autre. Je basculai sur le côté. Nous étions côte à cote dans le lit, et nous regardions le plafond. En Provence, l'été est très chaud et nous étions dégoulinants de sueur. 

 

Après avoir un peu récupéré, nous rémimes le couvert. Je lui avais demandé si elle se faisait enculer et elle m'avait répondu oui. Je lui avais donc immédiatement proposé de la sodomiser et elle avait accepté. Je lui avais proposé la lubrification avec un gel adapté mais elle avait préféré se faire enculer à sec.  

Le seul inconvénient, c'est que la chaleur torride qui nous faisait transpirer empêchait son anus de se lubrifier correctement. Donc elle se mit en levrette, ecarta ses fesses avec ses mains, je posai mon gland sur sa rondelle et je poussai. Son anus restait fermé. Je retentai à plusieurs reprises mais rien à faire. Je n'arrivais pas à lui rentrer ma bite dans le cul. En désespoir de cause, elle alla vérifier son armoire à pharmacie et ... miracle, elle trouva un tube de vaseline qui était encore consommable. 

 

J'enduisis la totalité de ma queue avec la vaseline puis je lui graissai le conduit avec du produit. Ces préparatifs nous exciterent bien et je me representai devant son trou du cul bien enduit de vaseline. Je poussai et j'entrai sans problème. Visiblement elle avait l'habitude de prendre du cul. Je lui fis le cul pendant un bon quart d'heure à grands coups de queue et elle m'informa qu'elle n'allait pas tarder à venir. Alors je lui criai

- Jouis salope...Jouis enculée...Jouis salé pute... enculée....

Et sous cette avalanche d'injures elle jouit et je tirai mon deuxième coup mais cette fois dans son cul. 

 

Nous étions toujours dans sa chambre prêts pour une troisième passé mais se posa le problème de savoir comment la baiser ?

Les pipes impossibles avec la vaseline.  La baise, impossible à cause du fait que je venais de lui faire le cul. Quand à passer sous la douche pour enlever la vaseline c'était un travail de romain. D'un commun accord nous decidames qu'elle serait uniquement enculée ce jour là. Et je recommencai à lui faire le cul. En levrette, de face avec un coussin sous les fesses... dans toutes les positions. 

 

Au début, elle encaissa sans broncher, preuve qu''elle avait une sacrée habitude de la chose, mais ces enculages prolongés lui defoncaient le cul. 

 

Finalement , elle finit par demander grâce et bien entendu je m'arretai. Par contre son anus resta béant pendant cinq bonnes minutes et je fis plusieurs photos avec mon mobile pour lui faire constater que je lui avais dilaté l'anus. 

 

Le reste de la journée est classique. Je n'ai pas mangé mes pâtes et elle non plus d'ailleurs car nous avons passé la plus grosse partie de la journée, elle a se faire enculer et moi à l'enculer. 

 

Elle m'avoua que cela faisait un bon moment qu''elle voulait entrer en contact avec moi et qu''elle avait eu cette opportunité par un ami commun mais qu''elle ne l'avait réalisé que très récemment. 

 

Le soir, après quelques câlins, je la quittai. Moi j'avais mal à la bite mais elle... Elle ne pût plus s'asseoir pendant toute la soirée et la matinée du lendemain. 

 

 

Deux jours après je recus un texto de sa part ..... Elle voulait devenir mon esclave sexuelle.  Mais ceci est une autre histoire. ..

Par contesdelalunerouge - Publié dans : BDSM
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