BDSM

Mercredi 18 septembre 3 18 /09 /Sep 22:01

 

A mes moments perdus je crée des sites internet et comme vous vous en doutez des sites de cul. 

 

Donc je me suis aménagé un bureau dans mon appartement. L'ameublement est correct et très fonctionnel et j'avoue que je me sens bien à mon poste de travail. J'ai un grand fauteuil confortable (pas donné mais confortable) qui me plait beaucoup. C'est un fauteuil de cuir noir sur roulettes que j'ai acheté au début de ma vie professionnelle. 

 

Chaque soir, je travaille assis dessus pour assurer la maintenance de mes sites. Et dernièrement, j'étais assis dessus lorsque ma soumise entra. Elle m'encourage régulièrement en me tenant compagnie. Ce soir la, comme à chaque fois, elle jeta un coup d'œil sur mon travail. Et le coup d'œil se prolongera. Et elle lut l'article, puis le corrigea. Elle s'était prise au jeu. Quand elle eut fini, elle se tourna vers moi, et sans mot dire baissa ma braguette et sortit ma bite. Pris au dépourvu, je ne bandeau pas et elle commença à me branler vigoureusement. Pour me faire bien bander, elle se mit à genoux et commenca à me tailler une de ces super pipes dont elle a le secret. En trois minutes, j'étais raide, tendu à mort. Alors elle se tourna et voulut s'asseoir pour s'empaler sur ma queue mais ses jambes butaient à chaque fois sur les accoudoirs et la position était difficile à tenir. Alors, en désespoir de cause, elle se retourna pour s'asseoir de nouveau comme pour une levrette assise ....

 

 

Mais encore une fois, sa position était assez peu agréable. Elle fit alors ce que la logique imposait. Elle se releva, changea de trou et s'empala sur ma bite tendue par le cul. Inutile de dire que dans cette position, elle l'avait profond dans le cul. Elle montait et descendait et j'avais une vue imprenable sur ses globes fessiers qui hebergeaient ma bite au plus profond de ses intestins. Je voyais ma bite entrer et sortir et j'avais de plus en plus de mal à me retenir. 

Finalement elle se mit à jouir en criant des gros mots. Et après avoir bien joui, elle s'affala. Je me retrouvais sur ma faim, mais en quelques secondes elle avait repris ses esprits. Elle decula et recommenca à me sucer. Je ne tins que quelques secondes et je tirai mon coup à grands jets crémeux directement dans sa bouche. Elle garda tout dans sa bouche et vint me faire constater bouche ouverte et langue sortie la quantité de foutre que je venais de lui mettre dans la bouche. 

 

Après m'avoir fait constater le volume et la qualité, elle avala la totalité de ma crème. Je fermai mon ordinateur, je rangeai tout ... et vingt minutes après je recommencai à enculer ma soumise.  

 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : BDSM
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Dimanche 15 septembre 7 15 /09 /Sep 21:49

Comme je l'ai dit dans l'épisode précédent, j'avais reçu un texto dans lequel Valérie me proposait de devenir son esclave sexuelle. 

 

La proposition était inespérée : qui n'a jamais rêvé de disposer d'une esclave sexuelle ? Donc je sentis monter en moi des bouffées d'air chaud. 

Le texto de réponse ne se fit bien entendu pas attendre : je lui disais que si tel était son désir, je me ferai un plaisir de devenir son Maître, mais que j'étais très exigeant. 

J'eus un frisson quand le son d'arrivée du SMS retentit. Sa réponse était «tant mieux». Je nageais dans l'extase la plus pure. 

Autant exploiter la bonne volonté de mon esclave. 

 

J'envoyai un texto «Amène ton cul, j'ai besoin de me vider les couilles». Un petit quart d'heure après, la sonnette de mon appartement retentit. 

Elle y mettait beaucoup de bonne volonté et je compris la chance que j'avais. J'ouvris la porte. 

- Fous toi à poils, salope. 

Ni bonjour, ni parole de bienvenue. On allait voir si sa proposition était réelle ou si elle était prétentieuse. Mais sans mot dire, elle s'exécuta. 

- A genoux, pétasse. 

De nouveau, elle obéit sans mot dire. Je pensais que, face au traitement que je lui infligeais, elle ne tarderait pas à regimber. 

- Ouvre ta bouche de pute. 

Elle ouvrit grand sa bouche. Je sortis ma queue et la lui mis dans la bouche sans autre forme de procès. La, elle réussit à me surprendre. Elle attendait. Elle jouait parfaitement son rôle : je devais lui donner l'ordre de sucer ou de fermer la bouche, mais elle ne ferait rien sans indication précise. 

- Ferme ta bouche de salope et suce moi le vier. 

Et comme j'avais compris, elle commença à me tailler une super pipe dont elle avait le secret. 

 

Je me laissai faire et sans la prévenir, je tirai mon coup. Elle avala tout mon foutre sans protester et nettoya tout avec sa langue. 

Le début était prometteur. Je lui demandai si elle était satisfaite. 

- Mon seul désir est de vous satisfaire mon maître. 

Ouaou. J'eus du mal à me dire que je ne rêvais pas ...

Je n'allai pas m'arrêter en si bon chemin. Je la lutinai une vingtaine de minutes histoire de recharger et je lui intimai

- Mets toi en levrette et écarté tes fesses. 

Sans mot dire, elle s'exécuta. J'attendis quelques minutes histoire de faire durer le plaisir et de la laisser dans l'incertitude, mais je ne pus pas me retenir. La minute suivante, je lui ramonai le cul de toutes mes forces. 

Nous jouimes rapidement comme des bêtes. 

- Alors, enculée... ca t'a plu le ramonage de printemps ?

- Si mon maître souhaite me faire le cul, alors mon cul est à lui. il en dispose à volonté et de la façon qui lui plaît. 

 

La réponse était parfaite. Je pouvais donc continuer. 

Il me restait à faire un dernier test pour voir si elle était décidée à aller au bout de son rôle. 

Je connais. pas mal de monde de par mon job. Et il se trouve que j'ai une copine libertine et bisexuelle.  Je fixai rendez  vous le lendemain à mon esclave et dans le.même temps, je passai un coup de fil à la fille bisexuelle. Le schéma était simple et des le lendemain, je serai fixé sur les intentions réelles de ma postulante. 

 

Le lendemain à l'heure dite, Valérie se présenta. 

- Alors Val ? Toujours prête à devenir mon esclave sexuelle ?

- Toujours mon maître. 

- Bien.... Alors enfile cette tenue. 

Je lui donnai un corset panthère et un string assorti. J'avais acheté par Internet une paire d'escarpins à talon aiguille noirs. 

Elle attendait sagement mon bon plaisir et nous devisions tranquillement quand la sonnette retentit. 

Ma copine Fabienne se présenta. 

 

Fabienne a toujours eu le sens de la mise en scène et du spectacle. Son entrée ne fit pas exception à la règle. Elle était vêtue d'un jean acéré, d'un haut vert et de sandales à talons aiguilles. 

Cette salope à toujours été très classe. Des que Valérie vit Fabienne, elle sut ce qui allait se passer. L'espace d'un instant je lus une hésitation dans ses yeux mais très rapidement, elle se ressaisit. La chose était acceptée et la seule question que Valérie se posait était aurai-je le rôle actif ou passif ?

Fabienne ne la laissa pas longtemps se poser des questions. En un tour de main, elle fit voltiger ses vêtements, remit ses talons aiguilles et se placa à plat dos sur la moquette jambes écartées. Valérie avanca à quatre pattes vers Fabienne et se mit en devoir de lui lécher la chatte. Au début, elle manqua d'expérience, mais elle progressa rapidement et fit jouir Fabienne avec sa langue. 

 

Ensuite Fabienne se mit en levrette pour se faire lécher le cul. La encore Valérie accomplit son office sans protester. Ne voulant pas gâcher la fête je presentai ma bite à Fabienne qui se fit un plaisir de l'engloutir tout en se faisant lécher le cul par Valérie a grands coups de langue dans la rondelle. Ensuite, d'un commun accord, Fabienne se glissa sous Valérie pour lui faire un magnifique 69 et je fus obligé de ré enculer Valérie. 

 

Je ne fus pas long à venir et je me retirai, les couilles vides pendant que. Fabienne nettoyait le cul de Valérie avec sa langue pour ne pas perdre une goutte de foutre. 

Fabienne jouit alors et se devoua pour faire jouir sa brouteuse. 

 

Nous étions épuisés mais nous avions encore des idées. 

 

Mais cela est une autre histoire que vous lirez bientôt.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : BDSM
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Dimanche 15 septembre 7 15 /09 /Sep 21:37

 

Je fais de la conception et du développement logiciel mais je ne fais pas de dépannage et encore moins à domicile. Et j'ai deux téléphones mobiles. Un pour le boulot (payé par ma boite) et un personnel (d'ailleurs lui aussi payé par ma boite).  

Et un jour mon téléphone personnel se mit à sonner. Je decrochai et j'entendis une voix féminine totalement inconnue annoncer 

- Bonjour, je vous appelle pour un dépannage. 

- Désolé, madame, je ne fais pas les dépannages. 

- Mais c'est xxx qui m'a donné votre numéro. Il paraît que vous êtes un petit génie de l'informatique...

- Génie peut être, mais toujours est il que je ne fais pas les dépannages. 

La conversation dura un bon moment et ne finis par céder, plus par souci de ma tranquillité et par camaraderie que par goût du lucre. 

 

J'avais pris rendez vous deux jours plus tard à 11h avec une promesse de spaghetti à la carbonara pour le repas de midi. Je n'allais pas faire payer la copine d'un copain. 

Deux jours après, je sonnai à la porte de Valérie. La porte s'entrouvrit, un léger coup d'oeil pour vérifier que ne sois bien celui que je prétendais être et la porte s'ouvrit totalement. Elle était vêtue d'un pantalon en jean coupé et effiloché au dessus du genou et d'un tee-shirt blanc avec une pub pour une célèbre marque de capote inscrite sur la poitrine. Elle portait également une paire de sabots suédois blancs aux pieds. 

 

Je ne suis pas spécialement observateur mais visiblement elle ne portait pas de soutien gorge, sa poitrine étant au-dessus de tout soupçon. 

 

Nous echangeames les salutations d'usage, et elle m'offrit un verre dans le salon - salle à manger. Je jetai un regard circulaire : le rez de chaussée était spacieux et propre, joliment aménagé avec la cuisine américaine qui va bien. Au fond, un escalier et je me doutai que la suite se passerait à l'étage, puisque aucun ordinateur n'était visible au rez de chaussée. 

 

Elle quitta. ses sabots au pied de l'escalier et m'invita à la suivre. Je pris soin de me dechausser et je montai à l'étage. 

 

Son ordinateur était la. Rapidement, je sortis mes DVD et je m'installai devant la machine. Elle me regardait faire. 

Rapidement, elle s'allongea sur le lit car tout le haut était une seule et unique pièce sans cloison ni séparation, y compris pour la salle de bains. 

 

Comme visiblement je ne comprenais pas l'invitation, elle se leva et passa la main dans mes cheveux. 

Surpris, je tournai la tête vers elle et elle m'embrassa à pleine bouche. Sa langue s'insinua dans ma bouche et très rapidement, je répondis à son baiser. 

 

Dès lors, les choses s'enchainerent très vite. Elle enleva son tee-shirt et me présenta sa poitrine pour que je lèche le bout de ses seins. Je ne me fis pas prier et je sentis ses pointes durcir. 

De mon côté, je fis sauter mon tee-shirt et je tentai de me débarrasser de mon jean mais je compris rapidement que je devrais ôter mes chaussures pour y arriver. Nous fimes une pause pour pouvoir nous mettre à poils. 

 

Debout, enlacés, nos langues s'entortillaient et très rapidement pour passer aux choses sérieuses, nous nous sommes allongés sur le lit. 

 

Elle emboucha ma bite et attaqua directement une super pipe. Visiblement, elle aimait ca et s'était bien entraînée. J'avais du mal à penser à autre chose que de tirer mon coup dans sa bouche. 

 

Heureusement, elle s'allongea sur le dos, et ecarta ses cuisses pour m'inviter à la pénétrer, chose que je m'empressai de faire. 

 

Nous ne mimes que quelques minutes à jouir. Des que je sentis qu'elle venait, je me laissai aller et je tirai mon coup directement dans sa chatte. 

 

La jouissance nous avait submergés. Nous étions allongés sur le lit toujours imbriqués l'un dans l'autre. Je basculai sur le côté. Nous étions côte à cote dans le lit, et nous regardions le plafond. En Provence, l'été est très chaud et nous étions dégoulinants de sueur. 

 

Après avoir un peu récupéré, nous rémimes le couvert. Je lui avais demandé si elle se faisait enculer et elle m'avait répondu oui. Je lui avais donc immédiatement proposé de la sodomiser et elle avait accepté. Je lui avais proposé la lubrification avec un gel adapté mais elle avait préféré se faire enculer à sec.  

Le seul inconvénient, c'est que la chaleur torride qui nous faisait transpirer empêchait son anus de se lubrifier correctement. Donc elle se mit en levrette, ecarta ses fesses avec ses mains, je posai mon gland sur sa rondelle et je poussai. Son anus restait fermé. Je retentai à plusieurs reprises mais rien à faire. Je n'arrivais pas à lui rentrer ma bite dans le cul. En désespoir de cause, elle alla vérifier son armoire à pharmacie et ... miracle, elle trouva un tube de vaseline qui était encore consommable. 

 

J'enduisis la totalité de ma queue avec la vaseline puis je lui graissai le conduit avec du produit. Ces préparatifs nous exciterent bien et je me representai devant son trou du cul bien enduit de vaseline. Je poussai et j'entrai sans problème. Visiblement elle avait l'habitude de prendre du cul. Je lui fis le cul pendant un bon quart d'heure à grands coups de queue et elle m'informa qu'elle n'allait pas tarder à venir. Alors je lui criai

- Jouis salope...Jouis enculée...Jouis salé pute... enculée....

Et sous cette avalanche d'injures elle jouit et je tirai mon deuxième coup mais cette fois dans son cul. 

 

Nous étions toujours dans sa chambre prêts pour une troisième passé mais se posa le problème de savoir comment la baiser ?

Les pipes impossibles avec la vaseline.  La baise, impossible à cause du fait que je venais de lui faire le cul. Quand à passer sous la douche pour enlever la vaseline c'était un travail de romain. D'un commun accord nous decidames qu'elle serait uniquement enculée ce jour là. Et je recommencai à lui faire le cul. En levrette, de face avec un coussin sous les fesses... dans toutes les positions. 

 

Au début, elle encaissa sans broncher, preuve qu''elle avait une sacrée habitude de la chose, mais ces enculages prolongés lui defoncaient le cul. 

 

Finalement , elle finit par demander grâce et bien entendu je m'arretai. Par contre son anus resta béant pendant cinq bonnes minutes et je fis plusieurs photos avec mon mobile pour lui faire constater que je lui avais dilaté l'anus. 

 

Le reste de la journée est classique. Je n'ai pas mangé mes pâtes et elle non plus d'ailleurs car nous avons passé la plus grosse partie de la journée, elle a se faire enculer et moi à l'enculer. 

 

Elle m'avoua que cela faisait un bon moment qu''elle voulait entrer en contact avec moi et qu''elle avait eu cette opportunité par un ami commun mais qu''elle ne l'avait réalisé que très récemment. 

 

Le soir, après quelques câlins, je la quittai. Moi j'avais mal à la bite mais elle... Elle ne pût plus s'asseoir pendant toute la soirée et la matinée du lendemain. 

 

 

Deux jours après je recus un texto de sa part ..... Elle voulait devenir mon esclave sexuelle.  Mais ceci est une autre histoire. ..

Par contesdelalunerouge - Publié dans : BDSM
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Samedi 26 janvier 6 26 /01 /Jan 14:43

Le matin embaumait. Des senteurs délicates de fleurs se repandaient dans l'air. La veille, ma partenaire m'avait prouvé qu''elle n'avait pas froid aux yeux (lire le premier épisode). Après nos ébats, elle m'avait donné son prénom : Yasmina. Elle était photographe d'art. 

 

Ce matin, elle venait de se réveiller dans mon lit. Je ne pouvais pas m'empêcher de l'admirer. Le plus fascinant chez elle n'était pas son corps parfait mais ses yeux. Je n'ai jamais vu d'aussi beaux yeux que les siens. 

Nous avions dormi dans la chambre principale aménagée dans le style du pays. Le soleil n'était pas très haut dans le ciel. La matinée devait être moins avancée que je ne le croyais. Yasmina et moi echangeames un long baiser et main dans la main nous descendimes préparer le petit déjeuner. 

Je preparai un petit déjeuner continental tandis que Yasmina se contentait d'aune tasse de café noir, non sucré. La beauté de son corps exigeait bien des sacrifices. 

Je savais que je devais continuer à faire mon site, mais impossible de me concentrer sur le travail. 

J'étais obsédé par Yasmina. comment pouvait elle être aussi belle et aussi perverse ?

Pour le moment, elle se baladait toute nue dans le ryad. Comme photographe, elle était obsédée par la lumière. Elle jouait avec pour faire des effets avec son corps. 

Bien entendu, au bout de cinq minutes passées à la regarder, je commencais à sentir l'excitation monter. Comme moi aussi j'étais entièrement nu, elle pût voir mon sexe commencer à se tendre. Je pensais, vu la séance de la veille, qu'elle allait se précipiter dessus pour me tailler une pipe. 

Mais elle ne faisait pas mine de broncher. Je dois avouer à ma grande honte que je ne savais pas quoi faire ni à quoi imputer ce manque d'audace surprenant. 

Je pensais que j'avais du commettre un impair et qu'elle boudait. 

Elle se rapprocha de moi de sa démarche féline et comme si de rien n'était annonca :

- Tu aimerais baiser ma copine Samia ?

J'étais interloqué et ne savais quoi répondre. Elle insista. 

- Tu aimerais baiser ma copine Samia ?

Plus par defi que par logique, je répondis oui.

- Très bien. Alors, je l'appelle. 

Joignant le geste à la parole, elle prit son mobile et appela. 

Elle eut une conversation animée dont je ne compris pas un mot.  Puis elle me prit par la main et me conduisit vers le canapé sur lequel elle me fit assoir et se lova sur mes genoux. Nos langues se melangerent et nous perdimes la notion du temps jusqu'a ce que la sonnette de la porte d'entrée du ryad carrillone. 

 

 

Le temps d'enrouler une serviette sur mes reins, j'allai ouvrir. Sur le seuil, une fille superbe. Moins belle que Yasmina, mais superbe quand même. Je la priai d'entrer, ce qu''elle fit avec sensualité. Je ne savais pas trop comment gérer la situation mais Yasmina prit de nouveau les devants. Toujours nue, elle s'approcha de Samia et l'embrassa à pleine bouche. 

 

Maintenant, j'étais en territoire connu et je repris contenance. 

Je m'approchai d'elles et je me mêlai à leur couple. 

Samia quitta la bouche de Yasmina pour fourrer sa langue dans la mienne. Puis ce fut au tour de Yasmina de m'embrasser. 

Ensuite, chacun de nous tira sa langue tendue et tous les trois nous mimes nos trois langues en contact ensemble. 

 

Le début était prometteur. Yasmina chuchotta quelque chose à l'oreille de Samia et Samia acquiesca de la tête. Samia me donna la main à droite, Yasmina a gauche et elles me guiderent vers la terrasse. 

 

Elles me firent assoir sur le canapé, bite tendue, et s'agenouillerent toutes les deux. Samia commença à me sucer pendant que Yasmina me lêchait les couilles. Puis elles alternent. Yasmina mit ma bite dans sa bouche tandis que Samia s'occupait de mes couilles. 

De temps en temps, elles se faisaient une langue entre elles. 

Ma bite était tendue à exploser. Samia se leva, m'enjamba et vint s'empaler sur ma bite dressée. Sa chatte était douce, humide et chaude. Je n'avais rien à faire. Samia se levait et s'abaissait en rythme. Je sentais sa mouille couler sur mes couilles, tellement les sécrétions étaient abondantes. 

 

 

Samia se leva et me fit sortir de son trou. Yasmina engloutit aussitôt ma queue chaude et gluante de la mouille de sa copine. Elle me la nettoya de façon experte. 

Puis elle la prit à la main et la re guida vers le trou de la chatte de Samia. Samia reprit son mouvement avec ma queue au fond du trou. 

Sans prévenir, elle se leva et Yasmina vint la remplacer en introduisant elle même ma queue pleine de la mouille de sa copine dans sa chatte. 

Samia se mit en embuscade devant les fourches de nos jambes et lecha mes couilles et l'entre cuisse de sa copine. 

Je commencais à ne plus en pouvoir, mais je voulais profiter au maximum de ce moment sublime. Samia se mit à quatre pattes à côté de moi sur le canapé. Je n'osais pas rêver de ce qui allait suivre. 

Yasmina se leva et me tendit la main pour m'aider à me mettre debout. Elle me remplaca sur le canapé, à quatre pattes exactement comme sa copine, toutes deux croupes offertes. Je rêvais de ce qui allait suivre sans toutefois oser y croire. Mais s'il me restait des doutes, Yasmina s'empressa de les dissiper. 

- Tu vas voir, Samia, il encule super bien. Sa bite est faite pour ca. Ou peut être mon cul...

Et elle se mit à rire et Samia aussi. Elle ajouta :

- Commence par le cul de Samia et ensuite, tu me feras le mien. 

Difficile d'être plus explicite. Je ne posait même pas la question de savoir s'il fallait lubrifier. Vu ce qui s'était passé avant, il ne faisait pas de doute que ce n'était pas sa première fois. De plus, ma bite était pleine de mouille, donc lubrifiée. Je guidai mon gland sur la rondelle de Samia et je poussai doucement mais fermement. Je rentrai dans son anus sans difficulté. Je commencai à la baiser par le cul en pénétrant à fond entre ses fesses. 

Yasmina protestas :

- Tu lui as assez fait le cul. A moi, maintenant. 

Je deculai de Samia et avec ma bite toute recouverte de l'intimité de Samia, je penetrai le cul de Yasmina. Je l'enculai un moment puis je retournai enculer Samia. Et ainsi de suite jusqu'à ce que je n'en puisse plus. Comme j'avisais mes deux partenaires que je ne tiendrai pas longtemps, Yasmina me conseilla :

- Tire dans le cul de Samia, tu vas apprécier le spectacle. 

 

 

Inutile de le dire deux fois. Je n'en pouvais plus. Je commencais à tirer et je sentais mon foutre partir à grands jets dans le cul de Samia. 

Épuisé, je me laissait tomber dans un des deux fauteuils pour profiter de la suite du spectacle. Je n'allai pas le regretter. 

Yasmina prit place derrière Samia et commença à lui faire une feuille de rose. Samia gemissait de plaisir. Puis Yasmina s'allongea à plat dos, bouche à l'aplomb de l'anus de sa copine. Quelques secondes après le cul de Samia laissait couler tout le foutre que je venais de mettre dedans directement dans la bouche de Yasmina. 

Yasmina se leva, lecha le cul de sa copine pour le nettoyer et me fit constater, bouche ouverte que sa bouche était pleine. 

Puis, elle s'embrassèrent à pleine bouche, faisant ostensiblement passer mon foutre d'une bouche à l'autre. 

Finalement, chacune deglutit et avala la moitié de mon foutre. 

Simultanément, tous les trois nous nous mimes à rire. Je retournai m'assoir sur le canapé, Yasmina et Samia chacune assise d'un côté. Je passai un bras autour de leur de leurs épaules. 

 

 

 

Nous étions affamés. Nous allions chercher un restaurant pour manger. 

Mes aventures marocaines n'étaient pas finies. 

Bientôt, je vous raconterai la suite. 

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Vendredi 2 novembre 5 02 /11 /Nov 02:52

J'ai hérité il y a des années de cela d'un magnifique terrain dans le var. Dans l'arrière pays, mais à un quart d'heure de la mer. Le terrain est immense car à l'époque de son achat, le terrain ne coûtait pas très cher dans cette région. Et un jour, j'ai décidé de faire construire. Je savais précisément ce que je voulais. La maison fait 180 m² mais il faut tenir compte du fait que j'ai un bureau pour y travailler et qu'à l'etage, j'ai fait construire une suite parentale immense avec un balcon suffisamment grand pour prendre un repas sans le moindre problème. La construction à duré environ une année et à coûté pas mal, mais je suis fier de cette réalisation. C'est mon petit coin de paradis sur terre. J'y vis le plus souvent possible, mais ma profession m'interdit de trop prolonger mes séjours.

 

Ma soumise s'y est installée avec moi, mais son travail est plus régulier, donc elle peut y monter plus souvent. Elle est elle aussi passionnée de technologie. Donc nous avons pas mal de matériels informatiques divers. Comme je suis assez cool, j'ai aussi des ordinateurs Apple pour faire du développement spécifique.  Mais la n'est pas la question. 

J'aime la vie dans ce petit village. Il y a toujours des animations et même si dans le village lui même, nous ne trouvons rien d'intéressant, les villages alentour proposent toujours une activité intéressante. Un autre avantage à vivre à la campagne, c'est de pouvoir inviter des copains et faire la fête sans crainte d'incommoder les voisins.

Comme nous avons de nombreux centres d'intérêt, nous avons créé un super dressing rempli de fringues conformes à nos goûts qui nous permettent de bien nous amuser et de participer à tout un tas d'activités culturelles ou sportives. Ma soumise monte chaque vendredi soir. Quand a moi, je suis la bas tous les week-end end, mais aussi quelquefois en semaine pour travailler à mon bureau si je ne prospecte pas. 

Le dressing est fermé à clé car nous y mettons aussi tout notre arsenal sexy, et autres gadgets érotiques. 

Cette semaine là, mes affaires avaient très bien marché et je m'étais autorisé presque une demi-semaine de repos. J'avais livré mon logiciel le mercredi matin et tout s'était fort bien passé. Le client était content, moi aussi car j'avais en poche un chèque conséquent et le temps était au beau fixe. Un bon restau à midi et me voilà de retour à la maison.

 

Un petit coup de téléphone pour convaincre ma soumise de poser deux jours de congés et je passe l'après midi à jardiner, promener et faire des photos. Ma soumise quitte son travail à 18 heures, et elle arrive à la maison vers 19 heures. Juste le temps de préparer un bon petit repas. Je m'acrive en cuisine et lorsqu'elle arrive, le repas est (presque) prêt et la table est mise. 


J'aime bien le décorum et j'essaie toujours de faire des ambiances originales. Cette fois, j'ai prévu une soirée médiévale. Pendant que le repas achève de cuire, douche, parfum et choix de la tenue médiévale de la soirée. Moi, j'opte  pour une tenue de page toute simple ; ma soumise pour une robe longue en panne de velours.  J'ai mis la table en évitant tout ce qui fonctionne à l'électricité. Des bougies partout et des brûle parfums. Dommage que je ne puisse pas mettre de torche. 

Le repas est prêt. Nous passons à table. Le repas est bon et nous devisons agréablement jusqu'au dessert. Ma soumise me demande quel est le dessert prévu. C'est à ce moment là que je lui dis :
"Passe sous la table et tu auras ton dessert. 


La soumise est surprise mais rapidement elle comprend et sourit. Sans ajouter un mot elle passe sous la table et à genoux elle se dirige vers moi. Je suis toujours installé à table, simplement j'ai baissé mon haut de chausse pour mettre mes attributs à l'air. 


Elle sait ce qui lui reste à faire et embouche mon sexe. Elle me suce vigoureusement et comme je ne me retiens pas, au bout de quelques minutes je crache le dessert directement dans sa bouche. Elle me fait voir sa bouche ouverte, langue sortie pour que je puisse constater que son rôle de vide couilles est bien rempli puis elle avale consciencieusement le tout. 




Le repas est fini et nous passons sur le canapé. Elle sait ce qui l'attend et me présente sa croupe. Comme je viens juste de juter, je commence par lui mettre un doigt dans le cul. Elle me branle doucement et au boit de quelques minutes, je rebande. Elle est à genoux sur le canapé, fesses offertes.

 

Depuis le temps, je n'ai plus besoin de lubrifier. Elle prend à sec. 

 


Je pose le bout de mon gland sur son anus et je pousse doucement. Son sphincter consent très facilement et en quelques secondes je suis dans ses intestins. Alors je l'encule à grands coups de rein et j'essaie de pénétrer le plus loin possible. 
Ma soumise sait que je n'ai pas a me préoccuper de sa jouissance. Elle ne jouira que si je le veux. Quand je sens que je suis prêt, je lui donne l'ordre de jouir er au moment ou elle jouit je jouis à mon tour. Mes giclées sont moins fortes. 

Quand nous avons repris nos esprits après avoir joui, elle me nettoie la queue avec sa bouche et nous allons nous coucher tranquillement. Demain, nous,aurons,tout le temps de ranger.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : BDSM
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