Vendredi 14 novembre 5 14 /11 /Nov 01:24

Amis lecteurs bonsoir...

Vous aimez les histoires assez chaudes ... Hé bien jetez un coup d'œil sur ce site, entièrement gratuit :

Pulp'X

http://pulpx.erog.fr



Vous m'en direz des nouvelles...


Lisez les mésaventures classées X du pauvre Ernest. C'est trop bon...

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Mardi 12 août 2 12 /08 /Août 22:59

J'ai hérité il y a des années de cela d'un magnifique terrain dans le var. Dans l'arrière pays, mais à un quart d'heure de la mer. Le terrain est immense car à l'époque de son achat, le terrain ne coûtait pas très cher dans cette région. Et un jour, j'ai décidé de faire construire. Je savais précisément ce que je voulais. La maison fait 180 m² mais il faut tenir compte du fait que j'ai un bureau pour y travailler et qu'à l'etage, j'ai fait construire une suite parentale immense avec un balcon suffisamment grand pour prendre un repas sans le moindre problème. La construction à duré environ une année et à coûté pas mal, mais je suis fier de cette réalisation. C'est mon petit coin de paradis sur terre. J'y vis le plus souvent possible, mais ma profession m'interdit de trop prolonger mes séjours. Ma soumise s'y est installée avec moi, mais son travail est plus régulier, donc elle peut y monter plus souvent. Elle est elle aussi passionnée de technologie. Donc nous avons pas mal de matériels informatiques divers. Comme je suis assez cool, j'ai aussi des ordinateurs Apple pour faire du développement spécifique. Mais la n'est pas la question.

J'aime la vie dans ce petit village. Il y a toujours des animations et même si dans le village lui même, nous ne trouvons rien d'intéressant, les villages alentour proposent toujours une activité intéressante. Un autre avantage à vivre à la campagne, c'est de pouvoir inviter des copains et faire la fête sans crainte d'incommoder les voisins. Comme nous avons de nombreux centres d'intérêt, nous avons créé un super dressing rempli de fringues conformes à nos goûts qui nous permettent de bien nous amuser et de participer à tout un tas d'activités culturelles ou sportives. Ma soumise monte chaque vendredi soir. Quand a moi, je suis la bas tous les week-end end, mais aussi quelquefois en semaine pour travailler à mon bureau si je ne prospecte pas.

Le dressing est fermé à clé car nous y mettons aussi tout notre arsenal sexy, et autres gadgets érotiques.

 

 

 



Cette semaine là, mes affaires avaient très bien marché et je m'étais autorisé presque une demi-semaine de repos. J'avais livré mon logiciel le mercredi matin et tout s'était fort bien passé. Le client était content, moi aussi car j'avais en poche un chèque conséquent et le temps était au beau fixe. Un bon restau à midi et me voilà de retour à la maison. Un petit coup de téléphone pour convaincre ma soumise de poser deux jours de congés et je passe l'après midi à jardiner, promener et faire des photos. Ma soumise quitte son travail à 18 heures, et elle arrive à la maison vers 19 heures. Juste le temps de préparer un bon petit repas. Je m'acrive en cuisine et lorsqu'elle arrive, le repas est (presque) prêt et la table est mise.
J'aime bien le décorum et j'essaie toujours de faire des ambiances originales. Cette fois, j'ai prévu une soirée médiévale. Pendant que le repas achève de cuire, douche, parfum et choix de la tenue médiévale de la soirée. Moi, j'opte pour une tenue de page toute simple ; ma soumise pour une robe longue en panne de velours. J'ai mis la table en évitant tout ce qui fonctionne à l'électricité. Des bougies partout et des brûle parfums. Dommage que je ne puisse pas mettre de torche.

Le repas est prêt. Nous passons à table. Le repas est bon et nous devisons agréablement jusqu'au dessert. Ma soumise me demande quel est le dessert prévu. C'est à ce moment là que je lui dis :
"Passe sous la table et tu auras ton dessert.
La soumise est surprise mais rapidement elle comprend et sourit. Sans ajouter un mot elle passe sous la table et à genoux elle se dirige vers moi. Je suis toujours installé à table, simplement j'ai baissé mon haut de chausse pour mettre mes attributs à l'air.
Elle sait ce qui lui reste à faire et embouche mon sexe. Elle me suce vigoureusement et comme je ne me retiens pas, au bout de quelques minutes je crache le dessert directement dans sa bouche. Elle me fait voir sa bouche ouverte, langue sortie pour que je puisse constater que son rôle de vide couilles est bien rempli puis elle avale consciencieusement le tout.

 

 

 



Le repas est fini et nous passons sur le canapé. Elle sait ce qui l'attend et me présente sa croupe. Comme je viens juste de juter, je commence par lui mettre un doigt dans le cul. Elle me branle doucement et au boit de quelques minutes, je rebande. Elle est à genoux sur le canapé, fesses offertes. Depuis le temps, je n'ai plus besoin de lubrifier. Elle prend à sec.
Je pose le bout de mon gland sur son anus et je pousse doucement. Son sphincter consent très facilement et en quelques secondes je suis dans ses intestins. Alors je l'encule à grands coups de rein et j'essaie de pénétrer le plus loin possible.
Ma soumise sait que je n'ai pas a me préoccuper de sa jouissance. Elle ne jouira que si je le veux. Quand je sens que je suis prêt, je lui donne l'ordre de jouir er au moment ou elle jouit je jouis à mon tour. Mes giclées sont moins fortes.

Quand nous avons repris nos esprits après avoir joui, elle me nettoie la queue avec sa bouche et nous allons nous coucher tranquillement. Demain, nous,aurons,tout le temps de ranger.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Vendredi 4 octobre 5 04 /10 /Oct 21:56

Je raconte habituellement mes anecdotes mais je pourrais aussi vous raconter certaines histoires qui sont arrivées à certains de mes amis. 

 

Par une matinée d'automne, Christine se depechait  de rentrer des courses car l'orage menaçait. Au moment de son départ, le temps était mitigé mais au retour, l'orage était imminent. 

 

Christine porte en permanence des talons aiguilles. Eté comme hiver, en vacances ou au travail, elle est juchée sur au moins 8 cm d'aiguille d'acier.  Elle a commencé à en porter à 16 ans et n'a jamais arrêté depuis. 

 

Elle habite un petit village dans le Var. Et donc, pour en revenir à notre histoire, elle rentrait des courses lorsque l'orage éclata. Elle était encore loin de sa maison et devant la violence des éléments, elle jugea plus prudent de stopper sur le bas côté. La pluie tombait tellement qu''elle ne voyait plus rien à travers le pare brise. Elle actionna les essuie-glaces pour tenter d'y voir plus clair mais comme de juste, pour satisfaire la Loi de l'Emmerdement Maximum, les balais se retournèrent et se gauchirent sans doute sous l'effet des trombes d'eau. 

 

Que faire ? A n'en pas douter, il fallait sortir sous la pluie pour tout remettre en place. Prenant une profonde inspiration, elle sortit. 

 

La violence de l'averse lui coupa la respiration mais elle continua comme prévu pour réparer ses balais. La terre s'était transformée en gadoue et elle pataugeait dedans. Ses talons s'enfoncaient dans la terre molle, menaçant de la déséquilibrer à chaque pas. Sa progression était difficile car la boue «aspirait» ses chaussures et elle devait faire des efforts pour ne pas les perdre. Et ce qui devait arriver arriva. 

 

La pluie ruisselait sur sa tête et degoulinait le long de ses cheveux. Elle passait régulièrement sa main autour de ses oreilles pour dégager son visage et ses yeux et ce faisant, elle perdit sa concentration et tomba dans une immense flaque de  boue. 

 

Chaussures perdues pantalon totalement enduit et le haut maculé. Le sac recouvert de boue était à deux mètres d'elle, mais inutile de l'ouvrir pour courir en plus le risque de perdre quelque chose d'important comme sa carte bancaire ou ses clefs. Rentrer dans la voiture couverte de gadoue ... hors de question. 

 

En plissant ses yeux, elle vit une forme sombre sous la pluie. Une construction, sans doute une grange. La solution s'imposait d'elle-même. Elle ramassa ses chaussures par les tiges des talons et se mit en route. 

 

Au bout de 5 minutes de marche (qui par un temps pareil en valaient au moins 10 de marche conventionnelle) elle arriva à la porte de la grange. La grande porte était verrouillée mais sur le côté, une porte de service lui permit d'entrer. Une fois à l'abri, elle poussa un soupir de soulagement. La toiture était solide et surtout étanche. Elle entendait l'orage marteler les panneaux du toit mais elle était en sécurité. Par contre, au bout de quelques minutes ses vêtements trempés la firent grelotter. La seule solution qui s'imposait d'elle même : aménager un coin fouiller et s'y reposer. Ses talons aiguilles étaient trempés mais propres. Elle se les remit aux pieds pour pouvoir marcher sur le sol inégal sans risque de se faire mal. Par contre, elle se déshabilla entièrement et se mit à disposer des bottes de paille pour se faire une couchette et poser ses habits trempés pour les faire sécher. 

 

Elle s'allongea sur une vieille couverture trouvée sur place pour éviter que la paille ne la picote. 

 

Elle sentait ses membres s'engourdir et le sommeil la gagner quand elle réalisa quelle entendait une respiration haletante. Instantanément, elle se réveilla et chercha l'origine du bruit. Elle ne mit pas longtemps à comprendre. Dans le grenier du dessus, un jeune garçon la regardait tout en se branlant de toutes ses forces. Au lieu d'être scandalisée, elle fut flattée et y prit plaisir. Mieux : sa libido reprenant le dessus, elle décida d'aller à la rencontre de son admirateur branleur. 

 

Le jeune garçon était nu comme un ver et s'astiquait la tige avec une ardeur toute juvénile. Mais quand il vit Christine approcher, il arrêta son mouvement. 

- Ne t'arrête donc pas mon chéri ... ce que tu fais est sain et naturel ... continue. .

Elle posa le pied sur l'échelle et monta à l'étage, toujours entièrement nue et avec ses chaussures à talons aiguilles. Le garçon continuait à se polir le chinois mais en douceur, au ralenti. Il ne comprenait pas trop la situation, mais elle était pleine de promesses et il ne voulait pas gâcher ses chances par une gaffe monumentale. Christine comprit rapidement la situation. Elle s'approcha doucement en cliquetant sur le plancher de bois et s'accroupit face au jeu ne homme :

- Alors mon gars, tu as déjà vu une belle moule qui ne pousse pas sur un rocher ?

Le gamin avait les yeux exhorbites ... ce devait être sa première chatte et aucune de ses copines ne risquait de lui présenter la chose de cette façon. Il n'osa  pas répondre. C'est à ce moment là que Christine réalisa les dimensions de son engin ...

- Putain, mais tu as un braquemart de cheval.... Tes copines arrivent à tout se prendre dans la chatte ou tu es obligé de leur mettre dans le cul ?

 

Le pauvre garcon ne résista pas. Il se mit à tirer d'énormes jets de foutre crémeux dont une grande partie alla s'écraser sur le visage de Christine. Par réflexe, elle avala tout ce qui était tombé sur ses lèvres et elle se passa la langue sur les lèvres pour ne pas en perdre une goutte. Le jeune homme, les yeux écarquillés regardait les traces de son foutre sur le visage de la femme qui ne paraissait nullement incommodé d'être engluée de foutre. 

- Tu ne connais pas ta chance, mon mignon ... et elle se fourra l'énorme pine dans la bouche pour lui offrir une superbe pipe. La queue remonta et se raidit en moins d'une minute. Christine était ravie mais dut vite déchanter car moins d'une minute après la grosse bite cracha son deuxième coup. Christine a toujours avalé le sperme de ses partenaires mais la elle eut dû mal à ne pas en perdre une goutte tellement elle en récut en bouche. Elle était décue non pas du tir dans sa bouche mais de la rapidité du tir. S'il tirait à cette vitesse, ce serait dur de s'amuser. 

 

Mais une fois de plus, elle fut surprise car au bout de quelques minutes il se remit à bander comme un âne. Cette fois, elle était bien résolue à en profiter. Elle s'allongea, jambes écartées sur une botte de paille en regardant son partenaire droit dans les yeux. Celui ci avait compris que c'était son jour de chance. Ses petites copine habituelles devaient faire des minauderies pendant des heures avant de lui toucher la bite et la il avait à sa disposition une femme expérimentée qui ne ferait pas de chichis pour obtenir ce qu'elle voulait. Il se précipita mais Christine le calma. 

- Doucement ... Je suis bien décidée à jouir ... Alors écouté moi : on va faire comme je dis. Ne t'en fais pas. Tu as bien compris que tu vase baiser. Donc pas la peine de se précipiter. Regarde ma chatte de plus près. 

Il va de soi que le gamin était tellement impatient qu'' il en tremblait. Mais il savait qu'' il devait écouter et que cette chance ne se présenterait pas une seconde fois. 

 

Elle lui expliqua comment trouver le clitoris, comment le branler, puis elle lui expliqua comment la doigter et ensuite elle se fit bouffer la chatte. Et malgré ses erreurs dues à l' inexpérience, elle jouit au moins trois ou quatre fois pendant cette initiation. 

 

Ensuite elle lui demanda de la pénétrer. La encore, elle guida son étalon toujours fougueux qui commençait à trépigner d'impatience. Le jeune garçon la pénétra et commença à baiser. Christine ne voulait pas hâter les choses : elle voulait bien profiter d'une jeune queue infatigable bien qu''inexpérimentée. Mais au bout de quelques minutes, elle jugea sa position trop inconfortable pour jouir correctement. Elle décida donc de joindre l'utile à l'agréable en trouvant une nouvelle position agréable pour elle et offrir une nouvelle expérience à son jeune étalon. 

 

Elle lui proposa de tester la levrette, ce que le garçon accepta avec joie. Il sortit du con, la bite reluisante de mouille, car Christine mouille abondamment. Quelques secondes pour changer de position et elle offrit ses fesses à son jeune partenaire. Et quand je dis offrir ses fesses...

 

Le jeune garçon s'approcha la bite à la main mais au lieu d'enconner il encula. Heureusement vu la mouillé et le fait que Christine se fait enculer trois fois par jour, la chose se passa le mieux du monde. Christine adoré se faire ramoner le cul à condition qu''on la prévienne. Elle allait enguirlander son enculeur quand elle sentit la décharge partir dans ses intestins. La puissance du jet, le volume et la chaleur, bien qu''innatendus la firent jouir comme elle avait rarement joui. Le plaisir fut si violent qu''ils se laissèrent aller sur le sol pour récupérer. 

 

Au bout de quelques minutes, Christine ressentir le froid. Elle avait totalement oublié le dehors. Elle se leva et se remit sur ses talons aiguilles qu'elle avait conservés tout au long de la séance. Elle chercha des yeux de quoi se couvrir. Mais son jeune étalon fut des plus galants. Il prit une couverture (à l'odeur celle d'un cheval, mais elle était était si touchée par le geste qu''elle s'abstint de tout. commentaire. Le jeune garçon fit voler la couverture pour les couvrir tous les deux. 

 

Ils restèrent ainsi blottis l'un contre l'autre pendant un long moment. Puis Christine se rappela qu''elle avait une vie à l'extérieur et des courses à rapporter à son domicile. Elle fit un long baiser à son jeune amant. Elle enfila ses vêtements encore mouillés et froids et se remit en route. Jusqu'à une prochaine aventure que je ne manquerai pas de vous raconter.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Vendredi 4 octobre 5 04 /10 /Oct 21:54

Durant mes jeunes années, comme tout mes condisciples, je suis allé à la fac.  J'y ai étudié aussi. Mais les principaux souvenirs que j'en ai se sont passés en dehors des salles de cours ou de TP. Principalement mes souvenirs sont liés à la cité U. Une certaine liberté y régnait pour ne pas dire une liberté certaine. 

Un soir, une copine d'origine sud américaine m'avait invité à passer la nuit avec elle. La connaissant, je me faisais une joie de la soirée que j'allais passer et qui je n'en doutais pas resterait dans les anales (non, il n'y a pas de faute). Les derniers exams étaient passés et nous avions quelques jours entre la fin des épreuves et nos résultats. Ma copine s'appelait Soledad et était une brune torride. Nous avions rendez vous à 22 heures. 

A 22 heures piles, tout beau et tout fretillant, je toquai à la porte de Soledad. J'avais apporté une bouteille de champagne et je pensais que Soledad aurait prévu une soirée explosive car elle avait le sang chaud. 

Quelle ne fut pas ma surprise, lorsque la porte s'ouvrit de voir Soledad en vieux survêtement.  Je mis quelques secondes à réaliser. Des qu''elle me vit, elle me fit entrer tout en parlant avec un débit rapide pour m'empêcher de parler sans doute pour éviter tout impair de ma part. 
- Salut, c'est toi ? Entre ... Ne fais pas attention au désordre. 
Je compris qu''elle n'était pas seule. J'entrai et je vis que la chambre était parfaitement en ordre, mais qu''une de ses copines était la, allongée en travers du lit, en train de regarder le plafond. Elle le contemplait sans rien faire. Je jetai un regard interrogateur à Soledad. 
- C'est Vanessa. Son copain vient de la plaquer. Comme elle broie du noir, elle est venue frapper à ma porte pour ne pas être seule. 
- Oui, bien sûr, je comprends ... Pas de souci ... Je repasserai demain. 
Soledad ne pût s'empêcher d'afficher une mine contrite malgré tous ses efforts pour avoir l'air cool.  Vanessa dut le voir ou le sentir. 
- Toi, tu as de la chance, Soledad. Les hommes te courent après. Tu n'as que l'embarras du choix. Moi je n'ai pas baise depuis 2 ans. Même Gérard ne m'a pas touchée et maintenant .... il est parti. 
Vu l'attitude de cocker dépressif qu''elle arborait, la chose n'était guère étonnante. Mais Soledad avait tilte sur un point précis :
- Quoi ??? Tu n'as plus baise depuis 2 ans ??? Sérieux ??? Deux ans ??'
Pour Soledad qui avait presque en permanence une bite dans un de ses trous, la chose paraissait déconcertante. Elle se tourna vers moi et me demanda de l'air le plus naturel du monde :
- Et toi, tu peux rien faire ???



Je dois avouer qu'elle me prit totalement au dépourvu. Je balbutiai 
-  Heu.... Ben...Disons que... C'est à dire...
- Quoi ? Tu veux pas baiser Vanessa ??
- Heu... C'est pas ca, Soledad, mais .... Heu... Il faudrait peut être demander son avis à ta copine....
- Je suis d'accord. 
D'un même mouvement, tous les deux, ébahis, nous regardames Vanessa. Elle baissa les yeux et repeta :
- Je veux bien baiser avec ton copain.

Soledad m'a toujours habitué à des trucs surprenants Mais je dois avouer que la... Elle avait fait fort. Très fort....

Soledad s'empressa de confirmer :
- Après tout tu es venu pour ca. Que se soit avec moi ou avec elle pour toi, c'est pareil. 
- Pas tout à fait, Soledad. Pas tout à fait...
Elle me jeta un regard appuyé qui voulait tout dire. 
- Mais tu sais, Soledad, ta copine est très sexy aussi et ne le prends pas mal très désirable. 
- Je ne le prends pas mal. Au contraire. 
Et à son regard, je compris que j'avais fait le bon choix. Et que Soledad saurait se montrer reconnaissante. Très reconnaissante. 

Pendant ce temps, Vanessa n'avait pas perdu son temps. Elle avait enlevé ses baskets, son jean et son haut blanc et se trouvait allongée sur le dos, jambes totalement écartées. Soledad annonca :
- Ma pauvre Vanessa, tu es trop coincée. Profites-en. Tente au moins une levrette. 
Vanessa rougit, hésita .... et finalement prit la pose. 

A ce niveau de l'histoire, je dois expliquer que Soledad est une vraie sodomite. Elle préfère par la porte étroite que par la voie normale. Elle doit se faire enculer dix ou douze fois pour une fois dans la chatte. Donc pour elle la levrette est la position naturelle. Et moi, bien entendu lorsque je me presentai devant (ou plutôt derrière) Vanessa, par un réflexe pavlovien totalement idiot mais tout à fait compréhensible, je tentai d'introduire ma bite dans son cul. 

Immédiatement, la fille se jeta au sol sur le ventre et hurla, pleura et nous joua toute une comédie. 
- Espèce de salaud. Tu me prends pour qui ? Je suis pas une pute. Je me fais pas enculer. Espèce de con. Tu es un vrai connard. Tu vas enculer qui tu veux mais pas moi....

Soledad riait moins maintenant. Avec toutes les insanités que l'autre sortait sur la sodomie et les enculées, elle commencait à être moins compatissante avec Vanessa. 

Pendant que je notai le changement d'attitude de Soledad, Vanessa continuait ses jérémiades. 
- ... et tu me prends pour qui ? Je suis pas une des salopes que tu as l'habitude de baiser. Je suis une fille propre moi... Et d'ailleurs avec Soledad tu n'aurais pas fait comme ca, tu aurais été respectueux, poli et tu l'aurais pas enculée directement et ....
- VANESSA !!!!
Soledad avait hurlé ... et chez elle c'était exceptionnel. Tellement que Vanessa et moi restames interloqués. Et silencieux ... au point que Soledad continua :
- Moi je suis une salope et une enculée   Et j'en suis fière. Et puisque tu ne veux rien faire, moi je veux bien me faire  enculer. 
Je ne savais pas trop comment gérer la situation mais je comprenais que je devais faire quelque chose. 
- Bon... Soledad, on va y aller. Mets toi en position. A sec ?
- A sec !
Je connaissais bien Soledad et je savais qu'' il n'y avait pas besoin de lubrifier. Mais je préférais ne pas commettre d'impair. Je me presentai et assez rudement, j'enculai Soledad. 

 



Vanessa était maintenant comme hypnotisée. Elle s'approcha pour mieux voir ma bite rentrer et sortir de l'anus de Soledad. Pas besoin d'être surdoué pour voir qu'elle  avait une sacrée habitude de la chose. Vanessa semblait en transes. Mais quand Soledad se mit à jouir par le cul en criant des insultes en espagnol, elle se mit à se branler devant le spectacle, et réussit l'exploit de jouir en moins de deux minutes. 

Quand nous eûmes un peu repris nos esprits, nous entendimes Vanessa dire avec une petite voix timide :
- Je veux bien essayer. 

Cette fois, ce fut avec Vanessa que j'échangeai un regard interloqué. Mais avant que nous ayons eu le temps de réaliser, Vanessa s'était mise à genoux et me tallait une super pipe. 

Pour une fille qui ne voulait pas passer pour une salope, elle sucait m'a bite tout juste sortie du cul de Soledad et donc encore imprégnée de ses sucs et de son odeur. Je retrouvai assez rapidement assez de rigidité pour honorer Vanessa et nous réprimes donc ou nous en étions avant cette interruption. Par contre, Soledad n'était pas mauvaise fille : elle sortit un tube de gel lubrifiant. Elle prit une noisette de gel et se frotta. les mains. Puis elle me massa la bite pour l'enduire  de lubrifiant. Ensuite elle glissa un doigt plein de gel dans le cul offert. Elle avait raison : une bonne lubrification est essentielle dans ces cas là. 

Je me presentai à l'entrée et je poussai doucement. Soledad avait tellement mis de gel que m'a queue glissait au lieu de rentrer dans cd cul offert. Alors Soledad prit les choses en mains... c'est le cas de le dire. Elle prit ma bite et la guida sur le petit trou et la maintint tandis que je poussai doucement mais fermement. Ma bite entra dans l'étroit fourreau doux et chaud. Je l'enculai lentement, en douceur. Finalement à son tour, elle jouit. A mon tour, je me laissai aller. 

Soledad en profita pour se branler et jouir devant le spectacle comme Vanessa l'avait fait précédemment. J'étais épuisé mais content. Finalement, Vanessa se rhabilla et nous laissa seuls pour terminer notre soirée à deux. Mais Vanessa nous réservait encore quelques surprises. Mais cela est une autre histoire qui vous sera contée en son temps.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Mercredi 18 septembre 3 18 /09 /Sep 22:01

 

A mes moments perdus je crée des sites internet et comme vous vous en doutez des sites de cul. 

 

Donc je me suis aménagé un bureau dans mon appartement. L'ameublement est correct et très fonctionnel et j'avoue que je me sens bien à mon poste de travail. J'ai un grand fauteuil confortable (pas donné mais confortable) qui me plait beaucoup. C'est un fauteuil de cuir noir sur roulettes que j'ai acheté au début de ma vie professionnelle. 

 

Chaque soir, je travaille assis dessus pour assurer la maintenance de mes sites. Et dernièrement, j'étais assis dessus lorsque ma soumise entra. Elle m'encourage régulièrement en me tenant compagnie. Ce soir la, comme à chaque fois, elle jeta un coup d'œil sur mon travail. Et le coup d'œil se prolongera. Et elle lut l'article, puis le corrigea. Elle s'était prise au jeu. Quand elle eut fini, elle se tourna vers moi, et sans mot dire baissa ma braguette et sortit ma bite. Pris au dépourvu, je ne bandeau pas et elle commença à me branler vigoureusement. Pour me faire bien bander, elle se mit à genoux et commenca à me tailler une de ces super pipes dont elle a le secret. En trois minutes, j'étais raide, tendu à mort. Alors elle se tourna et voulut s'asseoir pour s'empaler sur ma queue mais ses jambes butaient à chaque fois sur les accoudoirs et la position était difficile à tenir. Alors, en désespoir de cause, elle se retourna pour s'asseoir de nouveau comme pour une levrette assise ....

 

 

Mais encore une fois, sa position était assez peu agréable. Elle fit alors ce que la logique imposait. Elle se releva, changea de trou et s'empala sur ma bite tendue par le cul. Inutile de dire que dans cette position, elle l'avait profond dans le cul. Elle montait et descendait et j'avais une vue imprenable sur ses globes fessiers qui hebergeaient ma bite au plus profond de ses intestins. Je voyais ma bite entrer et sortir et j'avais de plus en plus de mal à me retenir. 

Finalement elle se mit à jouir en criant des gros mots. Et après avoir bien joui, elle s'affala. Je me retrouvais sur ma faim, mais en quelques secondes elle avait repris ses esprits. Elle decula et recommenca à me sucer. Je ne tins que quelques secondes et je tirai mon coup à grands jets crémeux directement dans sa bouche. Elle garda tout dans sa bouche et vint me faire constater bouche ouverte et langue sortie la quantité de foutre que je venais de lui mettre dans la bouche. 

 

Après m'avoir fait constater le volume et la qualité, elle avala la totalité de ma crème. Je fermai mon ordinateur, je rangeai tout ... et vingt minutes après je recommencai à enculer ma soumise.  

 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : BDSM
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