Samedi 26 janvier 6 26 /01 /Jan 14:43

Le matin embaumait. Des senteurs délicates de fleurs se repandaient dans l'air. La veille, ma partenaire m'avait prouvé qu''elle n'avait pas froid aux yeux (lire le premier épisode). Après nos ébats, elle m'avait donné son prénom : Yasmina. Elle était photographe d'art. 

 

Ce matin, elle venait de se réveiller dans mon lit. Je ne pouvais pas m'empêcher de l'admirer. Le plus fascinant chez elle n'était pas son corps parfait mais ses yeux. Je n'ai jamais vu d'aussi beaux yeux que les siens. 

Nous avions dormi dans la chambre principale aménagée dans le style du pays. Le soleil n'était pas très haut dans le ciel. La matinée devait être moins avancée que je ne le croyais. Yasmina et moi echangeames un long baiser et main dans la main nous descendimes préparer le petit déjeuner. 

Je preparai un petit déjeuner continental tandis que Yasmina se contentait d'aune tasse de café noir, non sucré. La beauté de son corps exigeait bien des sacrifices. 

Je savais que je devais continuer à faire mon site, mais impossible de me concentrer sur le travail. 

J'étais obsédé par Yasmina. comment pouvait elle être aussi belle et aussi perverse ?

Pour le moment, elle se baladait toute nue dans le ryad. Comme photographe, elle était obsédée par la lumière. Elle jouait avec pour faire des effets avec son corps. 

Bien entendu, au bout de cinq minutes passées à la regarder, je commencais à sentir l'excitation monter. Comme moi aussi j'étais entièrement nu, elle pût voir mon sexe commencer à se tendre. Je pensais, vu la séance de la veille, qu'elle allait se précipiter dessus pour me tailler une pipe. 

Mais elle ne faisait pas mine de broncher. Je dois avouer à ma grande honte que je ne savais pas quoi faire ni à quoi imputer ce manque d'audace surprenant. 

Je pensais que j'avais du commettre un impair et qu'elle boudait. 

Elle se rapprocha de moi de sa démarche féline et comme si de rien n'était annonca :

- Tu aimerais baiser ma copine Samia ?

J'étais interloqué et ne savais quoi répondre. Elle insista. 

- Tu aimerais baiser ma copine Samia ?

Plus par defi que par logique, je répondis oui.

- Très bien. Alors, je l'appelle. 

Joignant le geste à la parole, elle prit son mobile et appela. 

Elle eut une conversation animée dont je ne compris pas un mot.  Puis elle me prit par la main et me conduisit vers le canapé sur lequel elle me fit assoir et se lova sur mes genoux. Nos langues se melangerent et nous perdimes la notion du temps jusqu'a ce que la sonnette de la porte d'entrée du ryad carrillone. 

 

 

Le temps d'enrouler une serviette sur mes reins, j'allai ouvrir. Sur le seuil, une fille superbe. Moins belle que Yasmina, mais superbe quand même. Je la priai d'entrer, ce qu''elle fit avec sensualité. Je ne savais pas trop comment gérer la situation mais Yasmina prit de nouveau les devants. Toujours nue, elle s'approcha de Samia et l'embrassa à pleine bouche. 

 

Maintenant, j'étais en territoire connu et je repris contenance. 

Je m'approchai d'elles et je me mêlai à leur couple. 

Samia quitta la bouche de Yasmina pour fourrer sa langue dans la mienne. Puis ce fut au tour de Yasmina de m'embrasser. 

Ensuite, chacun de nous tira sa langue tendue et tous les trois nous mimes nos trois langues en contact ensemble. 

 

Le début était prometteur. Yasmina chuchotta quelque chose à l'oreille de Samia et Samia acquiesca de la tête. Samia me donna la main à droite, Yasmina a gauche et elles me guiderent vers la terrasse. 

 

Elles me firent assoir sur le canapé, bite tendue, et s'agenouillerent toutes les deux. Samia commença à me sucer pendant que Yasmina me lêchait les couilles. Puis elles alternent. Yasmina mit ma bite dans sa bouche tandis que Samia s'occupait de mes couilles. 

De temps en temps, elles se faisaient une langue entre elles. 

Ma bite était tendue à exploser. Samia se leva, m'enjamba et vint s'empaler sur ma bite dressée. Sa chatte était douce, humide et chaude. Je n'avais rien à faire. Samia se levait et s'abaissait en rythme. Je sentais sa mouille couler sur mes couilles, tellement les sécrétions étaient abondantes. 

 

 

Samia se leva et me fit sortir de son trou. Yasmina engloutit aussitôt ma queue chaude et gluante de la mouille de sa copine. Elle me la nettoya de façon experte. 

Puis elle la prit à la main et la re guida vers le trou de la chatte de Samia. Samia reprit son mouvement avec ma queue au fond du trou. 

Sans prévenir, elle se leva et Yasmina vint la remplacer en introduisant elle même ma queue pleine de la mouille de sa copine dans sa chatte. 

Samia se mit en embuscade devant les fourches de nos jambes et lecha mes couilles et l'entre cuisse de sa copine. 

Je commencais à ne plus en pouvoir, mais je voulais profiter au maximum de ce moment sublime. Samia se mit à quatre pattes à côté de moi sur le canapé. Je n'osais pas rêver de ce qui allait suivre. 

Yasmina se leva et me tendit la main pour m'aider à me mettre debout. Elle me remplaca sur le canapé, à quatre pattes exactement comme sa copine, toutes deux croupes offertes. Je rêvais de ce qui allait suivre sans toutefois oser y croire. Mais s'il me restait des doutes, Yasmina s'empressa de les dissiper. 

- Tu vas voir, Samia, il encule super bien. Sa bite est faite pour ca. Ou peut être mon cul...

Et elle se mit à rire et Samia aussi. Elle ajouta :

- Commence par le cul de Samia et ensuite, tu me feras le mien. 

Difficile d'être plus explicite. Je ne posait même pas la question de savoir s'il fallait lubrifier. Vu ce qui s'était passé avant, il ne faisait pas de doute que ce n'était pas sa première fois. De plus, ma bite était pleine de mouille, donc lubrifiée. Je guidai mon gland sur la rondelle de Samia et je poussai doucement mais fermement. Je rentrai dans son anus sans difficulté. Je commencai à la baiser par le cul en pénétrant à fond entre ses fesses. 

Yasmina protestas :

- Tu lui as assez fait le cul. A moi, maintenant. 

Je deculai de Samia et avec ma bite toute recouverte de l'intimité de Samia, je penetrai le cul de Yasmina. Je l'enculai un moment puis je retournai enculer Samia. Et ainsi de suite jusqu'à ce que je n'en puisse plus. Comme j'avisais mes deux partenaires que je ne tiendrai pas longtemps, Yasmina me conseilla :

- Tire dans le cul de Samia, tu vas apprécier le spectacle. 

 

 

Inutile de le dire deux fois. Je n'en pouvais plus. Je commencais à tirer et je sentais mon foutre partir à grands jets dans le cul de Samia. 

Épuisé, je me laissait tomber dans un des deux fauteuils pour profiter de la suite du spectacle. Je n'allai pas le regretter. 

Yasmina prit place derrière Samia et commença à lui faire une feuille de rose. Samia gemissait de plaisir. Puis Yasmina s'allongea à plat dos, bouche à l'aplomb de l'anus de sa copine. Quelques secondes après le cul de Samia laissait couler tout le foutre que je venais de mettre dedans directement dans la bouche de Yasmina. 

Yasmina se leva, lecha le cul de sa copine pour le nettoyer et me fit constater, bouche ouverte que sa bouche était pleine. 

Puis, elle s'embrassèrent à pleine bouche, faisant ostensiblement passer mon foutre d'une bouche à l'autre. 

Finalement, chacune deglutit et avala la moitié de mon foutre. 

Simultanément, tous les trois nous nous mimes à rire. Je retournai m'assoir sur le canapé, Yasmina et Samia chacune assise d'un côté. Je passai un bras autour de leur de leurs épaules. 

 

 

 

Nous étions affamés. Nous allions chercher un restaurant pour manger. 

Mes aventures marocaines n'étaient pas finies. 

Bientôt, je vous raconterai la suite. 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : BDSM
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Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 01:45

il y a quelques années de cela, j'ai eu la possibilité d'être hébergé dans un petit ryad au Maroc. 

le voyage en avion s'était déroulé sans histoire et un bon trajet en taxi plus tard (le ryad était hors ville, en banlieue), je prenais possession de ma villégiature. comme je l'ai déjà dit, j'ai la chance d'avoir un travail comme concepteur de sites internet qui me permet de bosser partout dans le monde sans le moindre problème... à condition qu'il y ait une prise réseau et une prise électrique. 

 

le petit ryad était parfait pour moi. il se composait d'un rez de chaussée agencé autour d'une courette avec la traditionnelle pièce d'eau, et d'un étage qui abritait les chambres et dont le toit formait terrasse. très vite, je pris l'habitude de passer le plus clair de mon temps sur le toit terrasse. le blanc des mur et le rouge des carreaux du sol contrastaient avec le bleu pur du ciel. un grand dais blanc etait tendu au dessus d'une salle à manger d'été et d'un salon. chaque jour, je montais sur la terrasse et je travaillais à la mise en place d'un site professionnel pour un exportateur d'artisanat local. 

 

je commencais ma journée par le petit déjeuner et ensuite, je mettais au point les différentes pages de mon client. une rambarde blanche en maçonnerie me séparait de la rue et de ses bruits parasites. je travaillais jusqu'à l'heure du petit déjeuner ou je prenais une légère collation et je reprenais le travail dans l'après midi, vers 16 heures. 

 

je travaillais jusqu'au soir tard car j'avais fort à faire, et surtout parce que, quand le soir tombait, c'était un moment magique, si l'on exclut bien sûr les moustiques qui sortaient à cette heure la pour prendre leur propre repas. 

un jour, après le repas, je m'étais assoupi et je ne me réveillais que vers 20 heures. 

la soirée était agréable, un léger vent frais  tempérait le climat chaud. 

 

au réveil, j'étais un peu vaseux et pour me réveiller complètement, je m'accoudai au muret pour que le vent frais acheve de me réveiller. je crois que je mis un moment à reprendre pied dans la réalité, mais lorsque mon cerveau reprit le contrôle de la situation, je fus abasourdi. 

en face de moi, sur sa terrasse, une marocaine entièrement une nue me regardait d'a un air perplexe. 

 

ne sachant pas trop quelle attitude adopter et pour conserver une certaine contenance, je lui fis coucou avec la main. elle répondit à mon salut aveac un grand sourire. visiblement, il me manquait des éléments du puzzle, mais concrètement tout semblait être plutôt positif. 

 

pour ne pas être vue de la rue, elle restait en retrait mais elle tenta d'engager la conversation. 

elle parlait mais comme elle n'osait pas crier, impossible d'entendre ce qu'elle voulait me dire. J'essayais de répondre, mais comme moi même, je n'osais pas crier pour répondre, nous avions l'air assez farfelus l'un pour l'autre. finalement, elle agita la main pour montrer l'inutilité de nos efforts et par signes, me fit comprendre qu'elle allait traverser la rue et rendre une visite de politesse. 

 

je fus tout sourire tant qu'elle fut sur le toit mais des qu'elle eut disparu, je me précipitai dans la salle de bains. je devais faire vite pour me donner un coup de peigne, me brosser les dents et me remettre du déodorant et du parfum. je finis avec un synchronisme parfait avec la sonnette qui tinta au moment où je reposais la bouteille de parfum. 

je me ruai sur la porte d'entrée et je rectifiai ma tenue avant d'ouvrir. elle était la, devant moi, souriante. elle avait de grands yeux magnifiques et je compris l'expression «yeux de biche». 

 

je m'effacai et la priai d'entrer. elle avait une démarche féline et une grâce nonchalante qui mit tous mes sens en émoi. 

elle était habillée avec des vêtements amples et brillants. rouge et or avec un foulard doré. elle marchait pieds nus. 

elle prit l'l'initiative de la conversation. 

- SI nous reprenons notre conversation lá où nous en étions ?

 

et à ma grande stupéfaction, elle fit glisser ses vêtements et se retrouva une nue dans ma.cour. 

j'osai à peine respirer et j'avais du mal à croire à ma chance. un peu hésitant, je m'approchai mais elle prit les choses en mains si j'ose dire car elle ouvrit ma braguette et s'empara de ma bite qui commençait à se tendre. 

elle ne perdit pas de temps et se la mit directement en bouche pour me tailler la plus merveilleuse pipe de ma vie. 

 

 

j'avais du mal à me retenir et à ma grande honte le coup partit. je dechargeai violemment par saccades. 

ma partenaire ne se formalisa pas et avala tout mon foutre avec une mine gourmande, ce qui me rassura quant à la suite de cette soirée. 

 

histoire de récupérer je lui offrir un thé qu'elle accepta tout en disant avec son superbe sourire 

- nature s'il vous plait, j'ai déjà eu le lait. 

nous echangeames un sourire complice et nos langues s'aenlacerent. nous nous caressions pour faire monter le désir. 

 

très rapidement, je fus en état de l'honorer. mais cette fois pas question de laisser mon coup se perdre dans sa bouche torride. contrairement à mon attente, elle ne s'alllongea pas mais se mit en levrette, à quatre pattes m's'offrant sa croupe parfaite. j'y voyais une invitation claire à la sodomiser mais je n'osai pas car on encule pas une fille avec qui on n'a pas dit trois mots. mais lorsque je pointais mon gland sur sa jolie petite fente rasée, elle se dégageait. il fallait se rendre à l'évidences : elle voulait se faire enculer. je présentais mon bout sur sa rosette et elle ne se dérobe pas. message compris. 

 

par acquit de conscience, je lui demandai 

- Il faut lubrifier ou tu as l'habitude ?

elle répondit dans un souffle qui fallit me rendre fou de désir 

- j'ai l'habitude. vas y a sec et défoncé moi. 

j'étais dans un état second. mon gland était posé sur sa rondelle. je poussait d'un coup sec. le trou n'était mas pas encore dilaté mais je poussait. 

 

 

effectivement elle avait l'habitude de prendre du cul car ma bite entra dans la gaine étroite comme. si le trou s'adaptait à mon calibre. je commencerai mes va et viens lorsque je sentis son sphinçter se dilater. il épousa la diamètre de ma queue et je commencerai à lui défoncer le cul à grands coups. ses haletements trahissaient son excitation. son trou se dilata encore.

 

je fus pris d'une véritable frénésie et j'essayai de la prendre de toutes mes forces, le plus profondément possible. 

sans prévenir, je l'entendis jouir et je me lâchai. son anus s'était dilaté à l'extrême. pour la deuxième fois de la soirée je sentis mon coup partir et je lui inondai le fondement. 

 

reprenant nos esprits, nous nous laissames aller par terre, anéantisa par la jouissance. 

je n'étais pas au bout de mes surprises. nous étions encore enlacés et nous reprenons nos esprits quand je sentis sa bouche et sa douce langue sur ma bite. je ne bandais pas assez pour une pipe et je ne me sentais pas de ré bander si tôt. 

- tu fais quoi ? demandai- je

- je te nettoie. je ne veux pas laisser perdre tout ce bon goût de foutre. 

- Il n'y à pas que du foutre dessus, ironisai-je

- aucune importance, j'ai bon goût. et elle eut un rire délicieux. 

et pour prouver la véracité de son assertion elle se fourra elle même deux doigts dans l'anus et les fit tourner. 

quand elle estima qu'ils étaient prêts, elle les retira tous dégoulinants et se les fourra dans la bouche ou elle les nettoya avec des mines gourmandes. 

 

 

elle refit plusieurs fois l'opération jusqu'au moment où elle annonca

- Ca y est, je suis propre. au fait ... quel est ton prénom ?

elle était vraiment extraordinaire. 

main dans la main, nous primes la douche ensemble et une fois propres, nous partimes dîner au restaurant, en ville. 

au retour, nous nous installames  confortablement dans les fauteuils de plastique tresse de la terrasse et nous devisames agréablement. 

 

je l'invitait à passer la nuit et fort poliment elle accepta. 

ces vacances s'annonçaient sous les meilleurs auspices et effectivement, je n'allais pas les regretter. mais ceci est une autre histoire que je vous raconterai prochainement. 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Vendredi 2 novembre 5 02 /11 /Nov 02:52

J'ai hérité il y a des années de cela d'un magnifique terrain dans le var. Dans l'arrière pays, mais à un quart d'heure de la mer. Le terrain est immense car à l'époque de son achat, le terrain ne coûtait pas très cher dans cette région. Et un jour, j'ai décidé de faire construire. Je savais précisément ce que je voulais. La maison fait 180 m² mais il faut tenir compte du fait que j'ai un bureau pour y travailler et qu'à l'etage, j'ai fait construire une suite parentale immense avec un balcon suffisamment grand pour prendre un repas sans le moindre problème. La construction à duré environ une année et à coûté pas mal, mais je suis fier de cette réalisation. C'est mon petit coin de paradis sur terre. J'y vis le plus souvent possible, mais ma profession m'interdit de trop prolonger mes séjours.

 

Ma soumise s'y est installée avec moi, mais son travail est plus régulier, donc elle peut y monter plus souvent. Elle est elle aussi passionnée de technologie. Donc nous avons pas mal de matériels informatiques divers. Comme je suis assez cool, j'ai aussi des ordinateurs Apple pour faire du développement spécifique.  Mais la n'est pas la question. 

J'aime la vie dans ce petit village. Il y a toujours des animations et même si dans le village lui même, nous ne trouvons rien d'intéressant, les villages alentour proposent toujours une activité intéressante. Un autre avantage à vivre à la campagne, c'est de pouvoir inviter des copains et faire la fête sans crainte d'incommoder les voisins.

Comme nous avons de nombreux centres d'intérêt, nous avons créé un super dressing rempli de fringues conformes à nos goûts qui nous permettent de bien nous amuser et de participer à tout un tas d'activités culturelles ou sportives. Ma soumise monte chaque vendredi soir. Quand a moi, je suis la bas tous les week-end end, mais aussi quelquefois en semaine pour travailler à mon bureau si je ne prospecte pas. 

Le dressing est fermé à clé car nous y mettons aussi tout notre arsenal sexy, et autres gadgets érotiques. 

Cette semaine là, mes affaires avaient très bien marché et je m'étais autorisé presque une demi-semaine de repos. J'avais livré mon logiciel le mercredi matin et tout s'était fort bien passé. Le client était content, moi aussi car j'avais en poche un chèque conséquent et le temps était au beau fixe. Un bon restau à midi et me voilà de retour à la maison.

 

Un petit coup de téléphone pour convaincre ma soumise de poser deux jours de congés et je passe l'après midi à jardiner, promener et faire des photos. Ma soumise quitte son travail à 18 heures, et elle arrive à la maison vers 19 heures. Juste le temps de préparer un bon petit repas. Je m'acrive en cuisine et lorsqu'elle arrive, le repas est (presque) prêt et la table est mise. 


J'aime bien le décorum et j'essaie toujours de faire des ambiances originales. Cette fois, j'ai prévu une soirée médiévale. Pendant que le repas achève de cuire, douche, parfum et choix de la tenue médiévale de la soirée. Moi, j'opte  pour une tenue de page toute simple ; ma soumise pour une robe longue en panne de velours.  J'ai mis la table en évitant tout ce qui fonctionne à l'électricité. Des bougies partout et des brûle parfums. Dommage que je ne puisse pas mettre de torche. 

Le repas est prêt. Nous passons à table. Le repas est bon et nous devisons agréablement jusqu'au dessert. Ma soumise me demande quel est le dessert prévu. C'est à ce moment là que je lui dis :
"Passe sous la table et tu auras ton dessert. 


La soumise est surprise mais rapidement elle comprend et sourit. Sans ajouter un mot elle passe sous la table et à genoux elle se dirige vers moi. Je suis toujours installé à table, simplement j'ai baissé mon haut de chausse pour mettre mes attributs à l'air. 


Elle sait ce qui lui reste à faire et embouche mon sexe. Elle me suce vigoureusement et comme je ne me retiens pas, au bout de quelques minutes je crache le dessert directement dans sa bouche. Elle me fait voir sa bouche ouverte, langue sortie pour que je puisse constater que son rôle de vide couilles est bien rempli puis elle avale consciencieusement le tout. 




Le repas est fini et nous passons sur le canapé. Elle sait ce qui l'attend et me présente sa croupe. Comme je viens juste de juter, je commence par lui mettre un doigt dans le cul. Elle me branle doucement et au boit de quelques minutes, je rebande. Elle est à genoux sur le canapé, fesses offertes.

 

Depuis le temps, je n'ai plus besoin de lubrifier. Elle prend à sec. 

 


Je pose le bout de mon gland sur son anus et je pousse doucement. Son sphincter consent très facilement et en quelques secondes je suis dans ses intestins. Alors je l'encule à grands coups de rein et j'essaie de pénétrer le plus loin possible. 
Ma soumise sait que je n'ai pas a me préoccuper de sa jouissance. Elle ne jouira que si je le veux. Quand je sens que je suis prêt, je lui donne l'ordre de jouir er au moment ou elle jouit je jouis à mon tour. Mes giclées sont moins fortes. 

Quand nous avons repris nos esprits après avoir joui, elle me nettoie la queue avec sa bouche et nous allons nous coucher tranquillement. Demain, nous,aurons,tout le temps de ranger.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : BDSM
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Vendredi 21 septembre 5 21 /09 /Sep 02:16

 

Ainsi que je l'ai déjà dit, je travaille souvent hors de mon domicile pour différentes missions. Je vais ainsi aux 4 coins de la France, quelquefois (mais rarement) à l'étranger. Je coupe ma semaine de travail en deux : une partie est réservée à la prospection de nouveaux clients et l'autre moitié à la réalisation des commandes que je reçois. 


Le plus souvent, lorsque j'ai une grosse commande, je prends une pension dans un hôtel et je file me mettre au vert et travailler ainsi plus efficacement. J'ai mes endroits favoris (ne comptez pas sur moi pour vous les révéler) et je passe beaucoup de temps à l'hôtel, ce qui m'évite tout problème de dérangement et d'intendance. 

 

Par contre, ma soumise est moins libre. Ce qui fait que souvent elle est obligée de me rejoindre dans mes villégiatures. Bien que cela soit contraignant du point de vue de son emploi du temps, elle adore ces escapades en amoureux. D'autant que comme c'est ma société qui paie les frais, je ne regarde pas trop à la dépense.

 

Une de mes destinations favorites est une petite île de méditerranée. Je descends toujours au même hôtel ou j'ai mes habitudes. Il s'agit d'une vielle bastide provençale transformée en hôtel de luxe. Par contre, dans la salle commune, j'ai un spot WiFi, même si j'ai une clé 3G pour m'affranchir de toute contrainte. 

Je n'ai pas trop à me plaindre question clients, et je suis régulièrement sur ce site mais hors période touristique, car à ces moments là, la fréquentation est telle que l'île devient invivable, du moins pour ma soumise et moi. 


Cette fois là, nous étions au mois de juin. Le temps était magnifique et les journées ensoleillées. La température extérieure plus que clémente et j'avais un carnet de commandes bien rempli. J'avais décidé de prendre une quinzaine de jours sur place. Ma soumise ne pouvait monter que la deuxième semaine.

Durant la première semaine, j'avais fait une très agréable rencontre (dont vous trouverez le récit ici) et ma soumise était venue me rejoindre quelques jours après.

 

Mon travail était presque achevé. Je pouvais donc profiter de la beauté naturelle de l'île et de son calme. Il fait dire que je suis photographe amateur. Je possède mon propre site sur lequel je vends mes photos et régulièrement je parcours les endroits ou je travaille pour faire quelques clichés. C'est une activité agréable, amusante et qui permet de faire quelques folies quand les ventes sont bonnes. 

Ma soumise arrivait donc ce jour là par la navette maritime de 16h15. Je m'étais placé à l'arrivée de l'embarcadère. Je l'attendais avec une impatience grandissante. La navette arriva enfin et accosta le quai. La foule commença à débarquer. Je la vis enfin dans la foule. Elle avait fait les choses parfaitement bien, comme à son habitude. Elle portait un pantalon corsaire bouffant safran, un top assorti, un gilet noir, un grand nombre de foulards autour du cou et des sabots noirs. Impossible de ne pas la remarquer.

Dès qu'elle me vit, elle se jeta à mon cou et m'embrassa à pleine bouche en public. quand j'eus repris mon souffle, je me chargeai de ses bagages. Elle avait deux valises à roulettes, ce qui me permettait de faire le trajet, tout en faisant la conversation. 

Une fois rendus à l'hôtel, nous sommes montés à l'étage. Les valises furent simplement jetées dans l'entrée et nous nous enlacâmes pour des retrouvailles fusionnelles. 
Rapidement, je la dévêtis et elle se retrouva en string au pied du lit en posture d'attente. Je pris tout mon temps pour ouvrir une des valises.

Bien entendu le matériel qu'elle avait apporté était dans la deuxième valise. Elle avait pensé à prendre du petit matériel pour du bondage et du SM de voyage. Une soumise parfaite. Aucune autre n'irait osé apporter une valise entière d'articles de sex-shop sur deux valises de bagages. 

Je sortis un voile rouge et laissai la valise ouverte. On ne sait jamais. Il se pourrait que très rapidement, je doive prendre d'autres articles. Autant la laisser ouverte. 
Ma soumise était toujours en position d'attente, le sourire aux lèvres. Je pris le foulard et en faisant attention de ne pas la blesser, je fis plusieurs fois le tour de sa tête en masquant ses yeux de la façon la plus étanche possible. Une fois qu'elle fut privée du sens de la vue, je commençai mon travail de sensations.

 

 

Je commençai à la caresser doucement tout le long du corps. Des chevilles aux épaules, je la caressai tantôt en passant sur ses zones érogènes, tantôt en les évitant. Ensuite, je continuai en alternant caresses et petites tapes sèches sur le postérieur. Rapidement, je la sentis plus réceptive, attentive. Elle commençait à être excitée et le jeu consistait à jouer au chat et à la souris avec les attouchements. Toujours toucher là ou on ne l'attend pas et ne pas toucher ce qu'elle voudrait que je touche et parfois faire exactement l'inverse. 

En quelques minutes elle était trempée. Je passai un doigt sur sa fente et je constatai qu'elle était ouverte et trempée. Ses sensations étaient décuplées du fait quelle était sensoriellement isolée. Elle ne tenait plus du tout sa position. Elle se tortillait tout en essayant de garder la position. Je passai derrière elle. Je lui massai ses fesses fermes. Et doucement, je descendis vers le petit trou.

 

Ma soumise adore être sodomisée. Et moi j'adore l'enculer. Donc je descendais vers son anus pour vérifier la résistance de son musclé anal quand j'eus une petite surprise. Son bouton était décoré. 

Elle s'était posé un Rosebud. Un petit bijou anal qui s'introduit dans l'anus et qui tient grâce aux muscles du sphincter qui se referment dessus. Jolie surprise. La partie insérée dans l'anus est en métal inoxydable. La partie extérieure est une fausse pierre taillée. Celle ci est rouge vif. Inutile de l'enlever trop tôt. Il faut jouer avec. Je le titille, je le pousse, je le tire mais sans jamais le sortir ni le pousser vraiment.

 

 

Les narines de ma soumise sont dilatées et elle respire bruyamment. Elle se doute qu'elle va être enculée mais quand ? Je sais que dans son esprit elle ne pense plus qu'à une chose. Mais en bonne soumise, elle sait qu'elle doit attendre. Nous le savons tous les deux et je joue avec ses nerfs. 

Je retourne à la valise. J'y trouve un énorme plug noir. Très bonne idée d'avoir pensé à cet objet. Je le prends et je le présente devant la bouche de la soumise qui s'empresse de le sucer. Elle s'enfonce profondément sur la bite de caoutchouc. Puis je lui demande de cracher sur le plug, et elle s'exécute. 


Je la fais se positionner en levrette sur le lit, pour me présenter sa croupe ferme et parfaite. Je sors le bijou anal et je le remplace par le plug recouvert de sa salive. Je force juste un peu pour franchir le rétrécissement du plug. La soumise soupire, mais le plug rentre en entier dans son cul. Il faut dire qu'elle a une certaine habitude de prendre des choses énormes dans son cul. 



Maintenant que son cul est rempli, j'en profite pour me déshabiller et lui présenter ma bite a sucer. Comme elle est en levrette, et donc en appui sur ses avant bras, impossible de tenir ma bite. Elle est obligée de se contorsionner pour la garder et bouche et en bon maître sadique, je ne cherche pas à lui faciliter la tâche. Ma bite durcit à grande vitesse. 


Quand je me sens prêt, je me retire de sa bouche, je reprends ma place derrière son cul éclaté et offert. Je retire le plug et sans la moindre préparation, je l'encule profondément. Je n'hésite pas à lui pilonner le fion. 


J'essaie de rentrer le plus profondément possible. Ma soumise râle. Elle est prête à jouir. Je m'arrête de la bourrer pendant une à deux secondes. Elle ne peut pas s'empêcher de s'empaler elle même sur ma queue. Nous n'en pouvons plus, ni l'un, ni l'autre. Alors j'accélère mes va et viens. Ma soumise se cambré. Ce n'est plus qu'une question de secondes.

 

 

Je sens ma soumise prête à jouir, mais pour cela elle doit en avoir reçu la consigne. Je me retiens le plus possible, jusqu'au moment ou je sens ue je vais exploser. 
Alors je crie à ma soumise :
- jouis salope !
- Ahhhhh
- Jouis du cul comme une pute, comme une enculée. 
- Oui maître, je jouis. 
- Je t'encule salope, jouis. 
Et elle jouit en tremblant de tout son corps. Moi je me vide dans ses entrailles. Je sens mon jet chaud partir au plus profond de ses boyaux. 
Finalement, nous nous affalons tous les deux, entrelacés l'un sur l'autre. Nous reprenons nos esprits. 

Quand nous avons récupéré, nous nous embrassons à pleine bouche. C'est le seul inconvénient lorsqu'on sodomise une fille : on ne peut pas l'embrasser en même temps... Quoi qu'un jour, je vous raconterai comment il est possible de le faire.  Ma soumise entame la dernière fellation pour être sûre que je suis totalement vidé. Lorsque je jouis, il ne sort que quelques gouttes que ma soumise avale avec délectation. 


Nous restons côte à côte sur le lit en nous tenant par la main. Et sans même y prendre garde, nous sombrons dans un sommeil réparateur. Nous nous réveillons vers 23 heures. Une douche, des habits propres et nous sortons pour prendre notre dîner. C'est ma boîte qui paye...

 

Mais ceci est une autre histoire et je vous la raconterai bientôt.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : BDSM
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Lundi 17 septembre 1 17 /09 /Sep 01:47

 

 

Un souvenir de jeunesse cette fois. J'étais un des meilleurs pirates informatique de mon lycée. J'aimais les maths et la physique et pour me décrire en un mot comme en cent, un vrai geek. 
Comme tous les jeunes de mon âge, je fréquentais plusieurs groupes de potes, dont un en particulier ou nous étions unis par une camaraderie fraternelle. 


Pour me faire de l'argent de poche, je donnais des leçons de maths, physique ou chimie. Et dans ce groupe, il y avait une fille vraiment bien à qui je donnais des leçons. 
Bien sur, il n'a jamais été question entre nous d'argent ou d'autre chose et nous étions dans une relation très saine. Comme tous les groupes la globalité évoluait, mais le noyau dur était toujours identique. Et je faisais bien entendu partie du noyau dur. 


Nous étions tout le temps fourrés ensemble. Et je voyais qu'une fille du groupe me portait un certain intérêt. Bien sur, je pouvais me tromper, mais il me semblait bien que certains regards étaient éloquents. Quant à moi, j'étais très intéressé par la fille à qui je donnais des cours, mais comme je l'ai dit, nous étions avant tout des amis. Pourtant c'était celle qui me plaisait le plus.

Les autres filles ne lui arrivaient pas à la cheville, sauf celle que je pensais ne pas laisser indifférent, qui était aussi une fille bien quoi que moins importante pour moi que la première. 


Et donc nous avions passe une année scolaire difficile ponctuée de bacs blancs et autres joyeusetés lycéennes. La fin de l'année arriva enfin et nos épreuves prirent fin. Tout lycéen à connu cette période post scolaire ou on réalise qu'on est en vacances, tout en sachant que nos vraies vacances seraient avec nos parents dans la campagne française durant un long mois de séparation avec nos potes. 


À l'époque pas de téléphone mobile et pas d'Internet. Donc il fallait rentabiliser cette courte période située entre les examens et les vacances parentales, période que nous mettions à profit pour aller au cinéma, au restaurant, jouer aux cartes, jouer au bowling, et aller se baigner à la mer, entre autres activités estivales. Nous faisions toutes nos activités en bande et nous étions jeunes, libres et heureux. 


Je vous passe les détails de ces vacances, pour en venir à cette fameuse journée que je vais vous raconter plus en détail. 


Ce jour là, nous avions décidé de tous aller à la mer et d'y passer la journée. Chacun devait porter son repas, de l'eau et quelque chose à partager lors du repas : chips, saucisson, quiche où cake, tout était bienvenu pour un moment de partage et de rire.

 

Le moment venu, de bonne heure le matin, je suis monté dans le bus, direction les calanques. Sur mes épaules, le sac à dos avec dedans une bonne provision d'eau et de quoi manger pour un régiment. 


Je descends à mon arrêt. Je suis le premier. Ensuite arrive le premier bus avec ma première copine, puis au bus suivant la deuxième copine. Et nous attendons tous les trois pendant une demi-heure. Personne.

 

À cette époque, pas de téléphone mobile. Donc nous partons tous les trois en espérant que les autres vont nous rejoindre puisque chacun sait quelle est notre destination. En été, en Provence, la marche est difficile car il fait très chaud et la roche au sol est glissante. En marchant tôt dans la matinée et en marchant avec de bonnes chaussures, la randonnée est plus facile. 


Nous avons donc pris la route sans attendre,et au bout d'une bonne marche, nous nous sommes retrouvés au bord de l'eau, sous un pin. Les serviettes furent étalées et après avoir pris la peine d'essuyer notre transpiration, nous avons pris le bain. Nous nous sommes amusés comme des petits fous.

Ensuite le repas de midi fut un rare moment de détente. Ensuite, la chaleur aidant, la sieste se fit naturellement. 

 

En fin d'après midi, nous prîmes le chemin du retour et notre bus. Le trajet passa comme dans un rêve. Nous n'arretions pas de rire. 
Le bus arriva a notre arrêt. Nous descendimes. L'arrêt se trouvait sur une place, devant l'église. Nous descendimes toujours riants. Le moment de la séparation était là. Nous formions un triangle et nous retardions ce fameux moment de la séparation. Le moment était magique. Aucun des trois ne pouvait se résoudre à rompre l'enchantement. Nous disions des futilités, nous riions bêtement mais nous restions là, à échanger des banalités affligeantes pour éviter de rompre le charme. 


Puis vint un moment de silence. Nous nous regardions, mais simplement en silence cette fois. La tension était à son comble. Finalement nous sûmes que chacun pensait à une chose qu'aucun d'entre nous n'osait formuler. 
Doucement, sans nous concerter et sans parler nous nous mimes à marcher en direction de l'appartement d'une des filles. C'était le plus proche. Ses parents étaient sortis et sa sœur allait au cinéma avec son petit ami. Pour sauver les apparences, notre hôtesse nous avait proposé de nous désaltérer après cette chaude journée d'été, excuse que nous avions accepté avec trop d'empressement. 


Finalement nous fumes devant la porte. Je ne sais pas pour mes deux partenaires, mais mon propre cœur battait à tout rompre. La porte d'entrée se referma. Nous étions tous les trois dans l'appartement. Isolés du reste du monde. 
Une fois le verrou mis, il y eut quelques secondes de flottement. Puis une des deux filles m'embrassa délicatement. Je lui rendis son baiser. Ensuite j'embrassai la seconde. Et vint le moment de vérité. Les bouches des deux filles se rapprochèrent, se frôlèrent. Puis elles s'embrassèrent. Les dés étaient jetés. 

 

 

Nos vêtements volèrent dans le couloir. Entièrement nus, nous tombâmes sur le lit des parents de notre hôtesse. Nos corps se mélangeaient. 
Nous nous embrassions sans même savoir qui nous embrassions. Mes mains couraient sur le corps de mes partenaires. Je caressais des seins, des paires de fesses et je sentais quatre mains courir sur mon propre corps. Une des deux bouches goba mon sexe. La fille faisait des allers retours pendant que ma langue explorait la bouche de l'autre fille. Avec mes mains, je caressais les deux corps souples et chauds étendus à côté de moi. 


La fille arrêta sa fellation et remonta en direction de nos bouches. Elle embrassa sa copine à pleine bouche, encore pleine de mon goût. Et ce fut au tour de la seconde fille de me sucer. L'autre fille venait de s'allonger. Ses jambes étaient écartées : le signal était clair. Je m'inclinai pour lui brouter la chatte. Elle avait un goût particulier, sucré. Une saveur douce et entêtante.

 

Pendant que ma langue goûtait sa chatte, je glissai un doigt dans son anus. Elle était vierge de ce côté là. Je dus faire preuve de patience et travailler doucement son sphincter. Très rapidement, elle consentit et je sentis son trou s'ouvrir. 
Ma suceuse continuait son travail excitant. Je quittai la vulve dont je m'occupais pour passer à l'autre. Comme je l'avais déjà fait à l'autre fille, je la sodomisai avec un doigt, mais le passage était déjà fait.

 

 

Visiblement elle avait l'habitude de se faire enculer et semblait même apprécier de l'être. Il était temps de passer aux choses sérieuses. Ma bite était copieusement enduite de salive. Je la présentai donc, face à l'anus de ma partenaire. Je posai l'extrémité de mon gland sur la rosette et je commençai à pousser. Mais ma bite ne rentrait pas. Elle avait été dépucelée du cul mais n'avait sans doute pas une grande pratique.

 

C'est alors que ma copine vint sauver la situation.  Plaçant son visage entre nos corps elle cracha plusieurs fois sur ma bite et le trou de l'anus de sa copine.

La salive est un excellent lubrifiant et psychologiquement ses crachats nous avaient tous excités. Je poussai et enfin ma bite se fraya un passage. Je l'enculai durement, sans ménagement, mais elle ne voulait pas être ménagée. Bien au contraire. 
"Vas-y... C'est trop bon. Vas-y, troue moi le cul."

 

L'autre fille suivait avec attention, en gros plan, l'enculage et lorsque malhabilement, je déculai, elle goba ma bite pleine de toutes les sécrétions intimes de son amie. J'étais dans un état second. Je ne me rendais plus compte de rien. Je replongeai ma queue dans l'anus offert. Mais je n'étais pas au bout de mes surprises. Pendant que je m'activai dans l'anus defloré, elle se mot en position pour que je la sodomise et m'offrir ainsi son pucelage anal. 

 

Impossible de résisiter à une telle offre. Je crachai plusieurs fois sur la rondelle, et lorsque ma salive me parut en quantité suffisante, je sortis et je me présentai à la nouvelle entrée à dépuceler. 
Je dois avouer que trop excité par cette situation je forçai un peu l'entrée. Mais l'envie de se faire sodomiser était trop forte et ma partenaire subit l'assaut sans plainte.

Je commençai à lui ramoner l'intérieur mais je ne pus me retenir très longtemps. Très vite, je jouis et je sentis que je déchargeai à gros bouillons dans son intestin. La puissance du jet chaud l'excita encore plus et elle se mît à jouir par l'anus. 

 

Brisée par la jouissance elle se laissa tomber et moi même, je me laissai aller sans me rendre compte que le troisième élément de notre trio n'avait pas pris son pied. Mais lorsqu'elle recommença une fellation sur mon sexe mou, la seule idée qu'elle recevait dans sa bouche toutes nos sécrétions intimes mélangées me redonna un peu de vigueur.

Sortant de sa torpeur, la fille qui avait joui fit ce que j'avais toujours espère depuis que la porte s'était refermée sur nous trois, elle lécha la chatte de la fille qui me suçait la bite. 

 

J'etais tellement tendu que j'en avais presque mal. 
Alors je m'assis en tailleur. en essayant de laisser sa chatte offerte aux caresses buccales, elle vint s'empaler toute seule par l'anus sur mon sexe tendu à l'extrême. Jambes écartées elle offrait sa chatte aux coups de langue de la fille tout en étant sodomisée par moi. Elle jouit quelques secondes après. 

 

Cette fois, je n'avais pas eu le temps de jouir, alors, pendant que ma copine lui léchait toujours l'entre-jambes, je lui présentai ma bite devant la bouche. Elle s'empressa de sucer et très vite je jouis dans sa bouche. Dès que j'eus tiré la fille qui broutait lâcha la vulve pour l'embrasser à pleine bouche et partager ainsi mon foutre. 

 

Affalés, repus, la situation aurait pu être gênante une fois l'excitation passée. Mais nous eûmes un coup de chance extra ordinaire. Le telephone sonna. Les parents de notre hôtesse voulaient savoir si elle était rentre à la maison car ils allaient revenir de chez sa grand mère.

Bien entendu, dès qu'elle eut raccroché, nous nous précipita mes sur nos affaires pour nous rhabiller et éviter de nous faire surprendre en fâcheuse posture. 

 

Moins de cinq minutes après nous être rhabilles, la grande sœur de ma copine entra. Pour dissimuler notre trouble, nous baragouinames que nous allions à une séance au ciné et nous sortimes pour aller tous les trois boire un verre au bord de mer. Cette dernière péripétie sauva la situation. 


Depuis aucun de nous trous n'a jamais reparle de cette fin d'après midi. Nous avons vieilli, nous nous sommes mariés, mais jamais nous n'avons reparle de cela. 


Certes, parfois, à l'occasion d'un repas d'anciens ou autre, nous nous retrouvons. Nous échangeons alors des regards complices. Mais c'est notre secret. Personne a part nos trois ne le sait, et ne le saura jamais.

 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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