Lundi 10 septembre 1 10 /09 /Sep 01:07

Ainsi que je l'ai déjà dit, je travaille en freelance et je peux travailler n'importe ou, pourvu que j'aie accès à une prise électrique et à une connexion internet. Souvent je me rends dans une petite île de méditerranée, sur laquelle les voitures sont interdites. L'île est touristique et constitue un vrai petit paradis sur terre. C'est une réserve pour la faune et la flore et tous les déplacements s'y font en bicyclette.

 

J'adore y passer quelques jours chaque printemps. Je dis bien printemps et non été à cause de la foule qui débarque en cette période dans ce lieu paradisiaque. Je descends à chaque fois dans le même hôtel, un petit hôtel de charme de style provençal. Le seul point important pour moi, c'est que la salle commune soit équipée d'un spot WiFi. Une de mes clients m'avait demandé de porter quelques améliorations à un logiciel que j'avais développé spécialement pour lui. Le secret de toutes les affaires qui marchent, c'est d'être hyper compétent et de résoudre les problèmes du client à un prix raisonnable. La météo prévoyait un temps estival pour toute la semaine et des que j'eus rangé mes valises, j'étais en vacances... Ou presque.

 

 

Ma première nuit fut excellente, fenêtres ouvertes en grand pour profiter de l'air de la nuit. Et la, pas de pollution. Le matin, je m'astreins à travailler suivant une journée type très précise. Ensuite, le repas de midi donne le signal du temps de vivre. Le repas est léger et équilibré et me permet de manger sainement et de me préparer à profiter de ce temps de libre. Lecture, nage en mer, farniente ou prospection téléphonique pour ne pas perdre de client et prendre de nouveaux contrats son le lot quotidien. Et une fois se plus, lors de mes petites vacances, j'appliquais mon programme de détente à la perfection.

 

Le soir, je prends mon repas au restaurant et à chaque fois dans un restaurant différent. Question de goût. Ce soir là, je mangeais dans un restaurant situé sur la place principale, en face de l'église. Je dégustais mon repas quand je remarquai une femme qui me regardait régulièrement, tout en essayant de dissimuler son intérêt pour moi.

 

 

Ma soumise n'avait pas pu venir et j'étais seul. Je commençai à sentir un vif intérêt grandir pour cette personne. J'etais excité. Nous continuions notre jeu du chat et de la souris. Un coup d'oeil, un sourire puis nous nous regardons franchement. Nous nous saluons en levant nos verres et je l'invite à prendre le dessert en ma compagnie, ce qu'elle accepte.

Nous mangeons tranquillement tout en faisant connaissance. Et je l'invite à une promenade nocturne qu'elle accepte sans hésitation.

 

Le temps de rentrer à l'hotel, de faire coucou à ma soumise par Face Time et lui demander son accord pour faire l'amour avec une autre femme, hors de sa présence. Elle me le donne sous réserve que je lui transmette des photos de nos ébats. Bien entendu, j'accepte, vu que j'adore faire des photos en général et dans ce cas précis en particulier. J'ai juste le temps de prendre une douche, de me changer pour mettre une tenue décontractée et je descends rejoindre mon invitée.

 

Nous commençons une gentille promenade, mais au bout de quelques minutes, de sa propre initiative, elle me prend la main. Il va de soi que je l'embrasse à pleine bouche. Ma langue s'insinue dans sa bouche après une légère résistance, mais très rapidement elle répond activement. Nous somme si excités que nous nous pelotons directement sur le sentier. Très vite elle se met à genoux, sort ma bite et entame une fellation sauvage. Elle fait de la gorge profonde et s'enfonce à fond sur ma queue les lèvres sur mes poils pubiens.

 

Je vais rendre les armes. Je la préviens que je n'en peux plus et que je vais tirer mais loin de s'arrêter, elle continue de s'activer et je me vide dans sa bouche. Elle avale tout sans en perdre la moindre goutte. La soirée est déjà excellente, et nous continuons notre promenade jusqu'à l'extrémité de l'île. Il y a un restaurant mais qui n'ouvre qu'à la belle saison et donc, nous étions tranquilles.

En contrebas, il y a une plage de sable noir. L'occasion idéale de prendre un bain de minuit. En plus, la lune est pleine. Impossible de gâcher une si belle occasion. Nous descendons sur la plage, nous nous déshabillons et nous rentrons dans l'eau. Elle est si froide que nous en avons presque la respiration coupée.

Mais nous jouons à nous arroser l'un, l'autre. Très rapidement nous sortons pour nous réfugier sur le sable et nous nous enlaçons. Quelques baisers profonds où elle me prouve que sa langue à de l'expérience, et ma bite que le froid de l'eau à fait rapetisser retrouve sa vigueur.

 

Pour ne pas nous coller dans le sable qui est désagréable lorsqu'il sèche, elle se campe sur ses jambes, prend appui sur ses bras, les mains sur les rochers et me présente sa magnifique croupe. Une inspiration subite et au lieu de pénétrer son vagin je me présente à l'entrée de la porte étroite. Je commence à pousser doucement, mais l'eau de mer à fait son œuvre et il m'est impossible de rentrer.

 

Alors, elle crache sur ses doigts et commence à se masser l'anus en distendant au fur et à mesure l'anneau serré de son sphincter. Elle mît très peu de temps avant de pouvoir rentrer deux doigts et à les tourner pour se dilater. Elle gémissait. Tout excité par ce superbe spectacle, je me branlais doucement.


 

Finalement dans un râle presque inaudible elle murmura :
- Encule moi... Encule moi profond.
J'étais dans un état second. Je me présentai devant le trou de son anus et je pénétrai très facilement en totalité. Visiblement elle devait avoir l'habitude de subir les derniers outrages.

 

Je commençai à la baiser par l'anus. Je la ramonai et j'essayais de rentrer le plus loin et le plus fort possible. De son côté, ma partenaire râlait de plus en plus fort. Je sentais que je n'allais pas pouvoir tenir bien longtemps, lorsque ma partenaire m'avertit :
- Je vais jouir. Je ne peux plus tenir.
- Alors jouis, salope.


 

Et nous nous libérâmes d'un seul coup tous les deux. Je la sentis se cambrer mais tout fut submergé lorsque je sentis mon jet de foutre partir inonder le fond de ses entrailles. Le jet fut fort et abondant et je me sentis littéralement me vider. La jouissance avait été si intense que j'en avais les jambes coupées. Ma partenaire aussi s'était laissé tomber à genoux dans le sable et reprenait ses sens. Nous restions tous les deux alanguis, épuisés par notre jouissance et presque hébétés de l'intensité de notre plaisir.
Quand nous eûmes repris nos esprits, nous réprimes la route des hôtels. Nous marchions en silence. Juste un baiser rapide pour nous séparer. Et je regagnai mon hôtel. Je n'avais pas pense à faire les photos pour ma soumise et je me sentis coupable. Je lendemain, après une bonne nuit de sommeil j'hesitai à recontacter ma partenaire de la veille. Elle devait avoir le même problème puisqu'elle ne me recontacta pas.

 

À ma grande honte, je dois reconnaître que j'en fus soulagé. Deux jours après ma soumise arriva. Assez bizarrement chaque fois que je suis avec elle, j'ai tendance à oublier tout le reste. C'est ce qui se passa une fois encore.

Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai bientôt.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : BDSM
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Lundi 3 septembre 1 03 /09 /Sep 01:54

Régulièrement, je vais passer mes vacances dans une station de sports d'hiver des Alpes du Sud. Je dispose d'un petit chalet en forme de A avec une verrière exposée plein sud et une terrasse en bois. A l'étage, il y a un deuxième niveau.

Comme je travaille en freelance en développant des sites internet et en faisant des développement informatiques, je peux me permettre de passer toutes les vacances scolaires d'hiver la haut. 


Le chalet est situé sur un petit terrain bien ensoleillé. 
Je monte dès le début des vacances scolaires, de préférence le vendredi soir pour éviter la cohue routière et profiter pleinement de mon chalet. 
Aux dernières vacances, comme toujours, je suis monté, accompagné par ma soumise. La route était dégagée mais  nous sommes arrivés tard le soir avec un froid humide et glacial. À l'intérieur du chalet, la température était agréable, grâce à un système de déclenchement à distance par téléphone. Notre installation à été rapide car nos affaires sont sur place. Notre premier soin à donc été de nous préparer un agréable petit repas.

Bien entendu, ma soumise mange totalement nue avec son collier de chienne autour du cou. 


Le repas fut rapidement cuisiné. Nous adorons tous les deux les bons petits repas surtout lorsqu'ils présagent d'autres plaisirs. La cuisine se fit en commun, moi habillé et ma soumise sur ses talons aiguilles à plateforme.

Une fois à table, nous mangeons ensemble, mais c'est la soumise qui sert le dessert. La soumise était donc sur ses genoux et servait humblement son maître. Autrement dit, pendant que je dégustais tranquillement mon fondant au chocolat, ma soumise me prodiguait une superbe fellation.

 

Elle venait des va et viens avec sa bouche serrée autour de mon sexe. Je sentais que mon plaisir n'allait pas tarder à jaillir. Je dis donc à ma soumise de ne pas oublier de boire son dessert. Et quelques secondes après, j'ejaculais.

Ma soumise avala tout, mais son contrat précisait qu'elle devait impérativement me faire voir la quantité éjaculée avant de l'avaler. Là, elle venait de tout déglutir sans remplir ses obligations. Elle devait donc subir une punition. Comme toujours dans ses cas là, la punition doit se rapporter à la faute commise.

 

 

Après un bon repas au chaud, on a besoin d'aller uriner. Et donc la soumise dut boire le reste du champagne avec ordre de ne pas se soulager dans le chalet. Bien sur, la solution la plus évidente, c'est que la soumise devrait aller se soulager dehors, dans la nuit glacée... Et entièrement nue.

Le résultat de l'ingestion de tant de liquides ne se fit pas attendre. Au bout d'un quart d'heure, la soumise se tremoussait pour se soulager. Mais la dureté des conditions extérieures la faisait hésiter.

 

Bientôt, elle ne pût plus tenir et dût aller se soulager. Elle demanda à pouvoir porter des chaussures pour se protéger de la neige. Au chalet, nous laissons toujours une vieille paire de sabots noirs pour que la soumise puisse se délasser après une bonne journée de ski. Habituellement, elle les porte avec une grosse paire de chaussettes de laine et vaque à ses occupations lorsque nous ne jouons pas à nos jeux hors normes.

Elle fut autorisée à les chausser pour éviter les ennuis de santé lors de sa sortie. Mais il fallait encore trouver une humiliation supplémentaire pour la soumise.

 

 

Donc les sabots furent placés sur la terrasse et j'urinais dedans. L'urine était chaude et celle qui restait dans les sabots "fumait" au contact de l'air glacé. Maintenant il fallait que la soumise aille se soulager. Elle n'en menait pas large. Finalement, elle ouvrit la porte et sortit. Dehors, les flocons descendaient doucement dans la nuit feutrée. La soumise fit quelques pas pieds nus sur le bois de la terrasse et chaussa les sabots.

 


 

Au moment ou ses pieds se logèrent dans les chaussures, le liquide fut expulsé à l'extérieur et la soumise se mît en route pour aller uriner sur la chaussée. Elle commença à marcher mais l'épaisse couche de neige freinait sa progression. Parfois une jambe s'enfonçait et la soumise devait prendre appui avec d'autres parties de son corps pour s'extirper de la froidure.

 

Finalement elle arriva sur la route. Les lampadaires émettaient un halo qui révélait les flocons mais personne ne s'aventurait dehors et la soumise ne courait pas le risque d'être vue en si fâcheuse posture. En faisant attention de ne pas glisser, elle avança un peu sur la route puis se faufila entre deux voiture enfouies sous une épaisse couche de neige. Elle s'accroupit et put se soulager avec d'autant plus de plaisir que le froid avait aiguisé la sensation de l'urgence d'uriner.

 

Quand elle eut fini, elle prit le chemin du retour. Je la surveillais par la fenêtre et de mon côté, je n'étais pas reste inactif. J'avais prévu le retour de ma soumise. Rencontrant les mêmes difficultés de progression qu'à l'aller, elle fit le chemin inverse et arriva sur la terrasse de bois. Elle grelottait.

 

J'ouvrais la porte. J'etais couvert et j'avais des pantoufles en peau retournée aux pieds. Malgré cela, le froid piquant de l'extérieur me donna un frisson. La soumise abandonna ses sabots et franchit le seuil. Je la pris dans mes bras et la portai dans la salle de bains. J'avais fait couler la douche et règlé la température du jet sur chaud. Je ne voulais pas trop chaud pour éviter un choc thermique.

 

J'aidais ma soumise à se mettre sous le jet et je ne la quittai pas tant qu'elle n'arrêta pas de grelotter. Ensuite, je la laissai se laver. Quand elle sortit de la douche, elle était nue, ce qui est sa tenue de soumise habituelle. Je nous avais prépare un thé et des cookies que nous dégustames doucement, en profitant d'un moment intime de complicité qui se prolongea un bon moment. Enfin, nous montames au premier étage par une échelle de meunier prévue à cet effet. Là, nous avions un immense lit douillet. Je rabattis la couette et nous nous glissames sans nous changer à l'intérieur des draps, puis je rabattis la chaude couette sur nous. Je tenais ma soumise fortement enlacée pour la réchauffer. Au bout de quelques minutes la chaleur nous enveloppa doucement.

 

 

Alors je fis mettre ma soumise en levrette et je la sodomisai doucement. J'attendis qu'elle jouisse puis pour la deuxième fois de la soirée, j'ejaculais, cette fois directement dans l'anus de ma soumise qui a l'habitude de cette pratique si agréable et pourtant si décriée.

 

Encore une fois nous descendimes et nous primes notre douche tous les deux ensembles. Enfin, nous regagnames notre lit, cette fois heureux et repus. Dans la chambre, nous avons installé une fausse cheminée alimentée par une bouteille de gaz extérieure. La cheminée fut allumée, toutes les autres lumières, éteintes et nous nous endormimes doucement dans les bras l'un de l'autre, dans la chaleur et le confort de notre petit lit douillet.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Dimanche 2 septembre 7 02 /09 /Sep 03:25

Bonjour, soyez les bienvenus sur le blog des Contes de la Lune Rouge.

 

Ce blog est dédié à des récits érotiques ou pornographiques issus de mon imagination. Votre participation est la bienvenue même pour des critiques à condition qu'elles soient constructives. Les sujets s'orientent plutôt vers le BDSM et la culture gothique. Lisez et j'espère que vous prendrez autant de plaisir à lire que moi a écrire. Bonne lecture.

 

 

 

Par Erog - Publié dans : Divers
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