Dimanche 15 septembre 7 15 /09 /Sep 21:49

Comme je l'ai dit dans l'épisode précédent, j'avais reçu un texto dans lequel Valérie me proposait de devenir son esclave sexuelle. 

 

La proposition était inespérée : qui n'a jamais rêvé de disposer d'une esclave sexuelle ? Donc je sentis monter en moi des bouffées d'air chaud. 

Le texto de réponse ne se fit bien entendu pas attendre : je lui disais que si tel était son désir, je me ferai un plaisir de devenir son Maître, mais que j'étais très exigeant. 

J'eus un frisson quand le son d'arrivée du SMS retentit. Sa réponse était «tant mieux». Je nageais dans l'extase la plus pure. 

Autant exploiter la bonne volonté de mon esclave. 

 

J'envoyai un texto «Amène ton cul, j'ai besoin de me vider les couilles». Un petit quart d'heure après, la sonnette de mon appartement retentit. 

Elle y mettait beaucoup de bonne volonté et je compris la chance que j'avais. J'ouvris la porte. 

- Fous toi à poils, salope. 

Ni bonjour, ni parole de bienvenue. On allait voir si sa proposition était réelle ou si elle était prétentieuse. Mais sans mot dire, elle s'exécuta. 

- A genoux, pétasse. 

De nouveau, elle obéit sans mot dire. Je pensais que, face au traitement que je lui infligeais, elle ne tarderait pas à regimber. 

- Ouvre ta bouche de pute. 

Elle ouvrit grand sa bouche. Je sortis ma queue et la lui mis dans la bouche sans autre forme de procès. La, elle réussit à me surprendre. Elle attendait. Elle jouait parfaitement son rôle : je devais lui donner l'ordre de sucer ou de fermer la bouche, mais elle ne ferait rien sans indication précise. 

- Ferme ta bouche de salope et suce moi le vier. 

Et comme j'avais compris, elle commença à me tailler une super pipe dont elle avait le secret. 

 

Je me laissai faire et sans la prévenir, je tirai mon coup. Elle avala tout mon foutre sans protester et nettoya tout avec sa langue. 

Le début était prometteur. Je lui demandai si elle était satisfaite. 

- Mon seul désir est de vous satisfaire mon maître. 

Ouaou. J'eus du mal à me dire que je ne rêvais pas ...

Je n'allai pas m'arrêter en si bon chemin. Je la lutinai une vingtaine de minutes histoire de recharger et je lui intimai

- Mets toi en levrette et écarté tes fesses. 

Sans mot dire, elle s'exécuta. J'attendis quelques minutes histoire de faire durer le plaisir et de la laisser dans l'incertitude, mais je ne pus pas me retenir. La minute suivante, je lui ramonai le cul de toutes mes forces. 

Nous jouimes rapidement comme des bêtes. 

- Alors, enculée... ca t'a plu le ramonage de printemps ?

- Si mon maître souhaite me faire le cul, alors mon cul est à lui. il en dispose à volonté et de la façon qui lui plaît. 

 

La réponse était parfaite. Je pouvais donc continuer. 

Il me restait à faire un dernier test pour voir si elle était décidée à aller au bout de son rôle. 

Je connais. pas mal de monde de par mon job. Et il se trouve que j'ai une copine libertine et bisexuelle.  Je fixai rendez  vous le lendemain à mon esclave et dans le.même temps, je passai un coup de fil à la fille bisexuelle. Le schéma était simple et des le lendemain, je serai fixé sur les intentions réelles de ma postulante. 

 

Le lendemain à l'heure dite, Valérie se présenta. 

- Alors Val ? Toujours prête à devenir mon esclave sexuelle ?

- Toujours mon maître. 

- Bien.... Alors enfile cette tenue. 

Je lui donnai un corset panthère et un string assorti. J'avais acheté par Internet une paire d'escarpins à talon aiguille noirs. 

Elle attendait sagement mon bon plaisir et nous devisions tranquillement quand la sonnette retentit. 

Ma copine Fabienne se présenta. 

 

Fabienne a toujours eu le sens de la mise en scène et du spectacle. Son entrée ne fit pas exception à la règle. Elle était vêtue d'un jean acéré, d'un haut vert et de sandales à talons aiguilles. 

Cette salope à toujours été très classe. Des que Valérie vit Fabienne, elle sut ce qui allait se passer. L'espace d'un instant je lus une hésitation dans ses yeux mais très rapidement, elle se ressaisit. La chose était acceptée et la seule question que Valérie se posait était aurai-je le rôle actif ou passif ?

Fabienne ne la laissa pas longtemps se poser des questions. En un tour de main, elle fit voltiger ses vêtements, remit ses talons aiguilles et se placa à plat dos sur la moquette jambes écartées. Valérie avanca à quatre pattes vers Fabienne et se mit en devoir de lui lécher la chatte. Au début, elle manqua d'expérience, mais elle progressa rapidement et fit jouir Fabienne avec sa langue. 

 

Ensuite Fabienne se mit en levrette pour se faire lécher le cul. La encore Valérie accomplit son office sans protester. Ne voulant pas gâcher la fête je presentai ma bite à Fabienne qui se fit un plaisir de l'engloutir tout en se faisant lécher le cul par Valérie a grands coups de langue dans la rondelle. Ensuite, d'un commun accord, Fabienne se glissa sous Valérie pour lui faire un magnifique 69 et je fus obligé de ré enculer Valérie. 

 

Je ne fus pas long à venir et je me retirai, les couilles vides pendant que. Fabienne nettoyait le cul de Valérie avec sa langue pour ne pas perdre une goutte de foutre. 

Fabienne jouit alors et se devoua pour faire jouir sa brouteuse. 

 

Nous étions épuisés mais nous avions encore des idées. 

 

Mais cela est une autre histoire que vous lirez bientôt.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : BDSM
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Dimanche 15 septembre 7 15 /09 /Sep 21:37

 

Je fais de la conception et du développement logiciel mais je ne fais pas de dépannage et encore moins à domicile. Et j'ai deux téléphones mobiles. Un pour le boulot (payé par ma boite) et un personnel (d'ailleurs lui aussi payé par ma boite).  

Et un jour mon téléphone personnel se mit à sonner. Je decrochai et j'entendis une voix féminine totalement inconnue annoncer 

- Bonjour, je vous appelle pour un dépannage. 

- Désolé, madame, je ne fais pas les dépannages. 

- Mais c'est xxx qui m'a donné votre numéro. Il paraît que vous êtes un petit génie de l'informatique...

- Génie peut être, mais toujours est il que je ne fais pas les dépannages. 

La conversation dura un bon moment et ne finis par céder, plus par souci de ma tranquillité et par camaraderie que par goût du lucre. 

 

J'avais pris rendez vous deux jours plus tard à 11h avec une promesse de spaghetti à la carbonara pour le repas de midi. Je n'allais pas faire payer la copine d'un copain. 

Deux jours après, je sonnai à la porte de Valérie. La porte s'entrouvrit, un léger coup d'oeil pour vérifier que ne sois bien celui que je prétendais être et la porte s'ouvrit totalement. Elle était vêtue d'un pantalon en jean coupé et effiloché au dessus du genou et d'un tee-shirt blanc avec une pub pour une célèbre marque de capote inscrite sur la poitrine. Elle portait également une paire de sabots suédois blancs aux pieds. 

 

Je ne suis pas spécialement observateur mais visiblement elle ne portait pas de soutien gorge, sa poitrine étant au-dessus de tout soupçon. 

 

Nous echangeames les salutations d'usage, et elle m'offrit un verre dans le salon - salle à manger. Je jetai un regard circulaire : le rez de chaussée était spacieux et propre, joliment aménagé avec la cuisine américaine qui va bien. Au fond, un escalier et je me doutai que la suite se passerait à l'étage, puisque aucun ordinateur n'était visible au rez de chaussée. 

 

Elle quitta. ses sabots au pied de l'escalier et m'invita à la suivre. Je pris soin de me dechausser et je montai à l'étage. 

 

Son ordinateur était la. Rapidement, je sortis mes DVD et je m'installai devant la machine. Elle me regardait faire. 

Rapidement, elle s'allongea sur le lit car tout le haut était une seule et unique pièce sans cloison ni séparation, y compris pour la salle de bains. 

 

Comme visiblement je ne comprenais pas l'invitation, elle se leva et passa la main dans mes cheveux. 

Surpris, je tournai la tête vers elle et elle m'embrassa à pleine bouche. Sa langue s'insinua dans ma bouche et très rapidement, je répondis à son baiser. 

 

Dès lors, les choses s'enchainerent très vite. Elle enleva son tee-shirt et me présenta sa poitrine pour que je lèche le bout de ses seins. Je ne me fis pas prier et je sentis ses pointes durcir. 

De mon côté, je fis sauter mon tee-shirt et je tentai de me débarrasser de mon jean mais je compris rapidement que je devrais ôter mes chaussures pour y arriver. Nous fimes une pause pour pouvoir nous mettre à poils. 

 

Debout, enlacés, nos langues s'entortillaient et très rapidement pour passer aux choses sérieuses, nous nous sommes allongés sur le lit. 

 

Elle emboucha ma bite et attaqua directement une super pipe. Visiblement, elle aimait ca et s'était bien entraînée. J'avais du mal à penser à autre chose que de tirer mon coup dans sa bouche. 

 

Heureusement, elle s'allongea sur le dos, et ecarta ses cuisses pour m'inviter à la pénétrer, chose que je m'empressai de faire. 

 

Nous ne mimes que quelques minutes à jouir. Des que je sentis qu'elle venait, je me laissai aller et je tirai mon coup directement dans sa chatte. 

 

La jouissance nous avait submergés. Nous étions allongés sur le lit toujours imbriqués l'un dans l'autre. Je basculai sur le côté. Nous étions côte à cote dans le lit, et nous regardions le plafond. En Provence, l'été est très chaud et nous étions dégoulinants de sueur. 

 

Après avoir un peu récupéré, nous rémimes le couvert. Je lui avais demandé si elle se faisait enculer et elle m'avait répondu oui. Je lui avais donc immédiatement proposé de la sodomiser et elle avait accepté. Je lui avais proposé la lubrification avec un gel adapté mais elle avait préféré se faire enculer à sec.  

Le seul inconvénient, c'est que la chaleur torride qui nous faisait transpirer empêchait son anus de se lubrifier correctement. Donc elle se mit en levrette, ecarta ses fesses avec ses mains, je posai mon gland sur sa rondelle et je poussai. Son anus restait fermé. Je retentai à plusieurs reprises mais rien à faire. Je n'arrivais pas à lui rentrer ma bite dans le cul. En désespoir de cause, elle alla vérifier son armoire à pharmacie et ... miracle, elle trouva un tube de vaseline qui était encore consommable. 

 

J'enduisis la totalité de ma queue avec la vaseline puis je lui graissai le conduit avec du produit. Ces préparatifs nous exciterent bien et je me representai devant son trou du cul bien enduit de vaseline. Je poussai et j'entrai sans problème. Visiblement elle avait l'habitude de prendre du cul. Je lui fis le cul pendant un bon quart d'heure à grands coups de queue et elle m'informa qu'elle n'allait pas tarder à venir. Alors je lui criai

- Jouis salope...Jouis enculée...Jouis salé pute... enculée....

Et sous cette avalanche d'injures elle jouit et je tirai mon deuxième coup mais cette fois dans son cul. 

 

Nous étions toujours dans sa chambre prêts pour une troisième passé mais se posa le problème de savoir comment la baiser ?

Les pipes impossibles avec la vaseline.  La baise, impossible à cause du fait que je venais de lui faire le cul. Quand à passer sous la douche pour enlever la vaseline c'était un travail de romain. D'un commun accord nous decidames qu'elle serait uniquement enculée ce jour là. Et je recommencai à lui faire le cul. En levrette, de face avec un coussin sous les fesses... dans toutes les positions. 

 

Au début, elle encaissa sans broncher, preuve qu''elle avait une sacrée habitude de la chose, mais ces enculages prolongés lui defoncaient le cul. 

 

Finalement , elle finit par demander grâce et bien entendu je m'arretai. Par contre son anus resta béant pendant cinq bonnes minutes et je fis plusieurs photos avec mon mobile pour lui faire constater que je lui avais dilaté l'anus. 

 

Le reste de la journée est classique. Je n'ai pas mangé mes pâtes et elle non plus d'ailleurs car nous avons passé la plus grosse partie de la journée, elle a se faire enculer et moi à l'enculer. 

 

Elle m'avoua que cela faisait un bon moment qu''elle voulait entrer en contact avec moi et qu''elle avait eu cette opportunité par un ami commun mais qu''elle ne l'avait réalisé que très récemment. 

 

Le soir, après quelques câlins, je la quittai. Moi j'avais mal à la bite mais elle... Elle ne pût plus s'asseoir pendant toute la soirée et la matinée du lendemain. 

 

 

Deux jours après je recus un texto de sa part ..... Elle voulait devenir mon esclave sexuelle.  Mais ceci est une autre histoire. ..

Par contesdelalunerouge - Publié dans : BDSM
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Vendredi 6 septembre 5 06 /09 /Sep 00:23

Comme je l'avais déjà dit, il y a une suite à mon aventure au sommet..., comme vous avez déjà pu le lire...

 

La première partie s'était parfaitement bien passée.

Nous nous étions séparés juste en bas du télécabine, et nous avions échangés nos numéros de téléphone.

Chacun reprit sa voiture et nous reprimes la route.

La nuit tombe vite en montagne, et très rapidement, je roulai dans l'obscurité. Après avoir activé mes feux de croisement, je constatai qu'une voiture me suivait. Au début, je n'y fis guère attention, mais je ne sais pour quelle raison, je fus rapidement irrité d'être suivi. Ce genre de réaction est totalement irrationnel, mais humain.

Arrivé à la station, je mis mon clignotant pour tourner et rejoindre mon parking. Ma voiture suiveuse fit de même. Je conduisais en regardant presque plus dans mon rétroviseur que devant moi. Je trouvai une place libre, et je me garai. De nature curieuse, je suivis l'autre voiture se garer un peu plus loin.

Je faillis tomber de stupéfaction : la conductrice de la voiture n'était autre que ma partenaire de l'après midi...

Je l'appelai. Elle tressaillit. Elle était aussi stupéfaite que moi...

Nous étions assez génés. Nous n'avions pas prévu une telle situation. Mais, heureusment, je suis assez calme de nature, et comme je connais les Lois des grands nombres, ou plus exactement la LEM (Loi de l'Emmerdement Maximum), je posai les questions qui fachent...

 - Tu bosses ici ?

- Oui, mais...et toi ?

- Ben je suis développeur indépendant et je bosse pour XXXX.

- Ah...

 

Rien qu'au ton employé, j'avais compris : je venais de faire boire mon foutre et ma pisse à une de mes commanditaires...

Autant prendre les choses du bon coté, car tant l'un que l'autre nous étions coincés si cette situation devait s'éterniser...ou pire être connue des autres commandiataires...

- Hé bien, puisque nous avons déjà lié connaissance, autant en profiter pour nous amuser tout le reste du temps que durera ma mission, non ?

Elle n'hésita qu'une fraction de seconde, et hocha la tête en souriant.

Je lui tendis mon bras et elle le prit. Quelques minutes après, nous faisions route, bras dessus, bras dessous en riant comme de vieux amis.

Je l'accompagnai vers un bar qui me paraissait sympathique, et lorsque j'ouvris la porte, une grande bouffée d'air chaud et des relents de musiques, de bruits de conversation et d'odeur de bar nous enveloppa.

Nous primes conscience de la froideur du dehors, et frissonnants, nous entrames.

 

Le bar était sympathqiue, très sombre avec des points de lumière tamisée et un système de box qui permettait de conserver une certaine intimité, tout en étant installé parmi des dizaines de consommateurs.

Une table pour deux, isolée dans un coin, nous parut convenir parfaitement à nos dessins... Je choisis le coté banquette, contre le mur et elle s'assit sur la chaise recouverte de velours rouge. Vu ce que avions fait quelques heures plus tôt à peine, nous n'allions pas nous embarasser de conventions particulières

Nous discutames essentiellement de cul... Les pratiques de chacun. Les siennes étaient originales mais simples. 

Les miennes étaient ....plus complexes...

Elle m'avoua être fétichiste, légèrement masochiste et totalement folle des secrétions...

Son premier petit copain l'avait quittée le jour ou elle avait léché d'un coup de langue la petite goutte de rhume qui pendait au bout de son nez.

Ensuite, elle avait eu de nombreuses difficultés avec ses différents petits copains.

Au début, ils appréciaient qu'elle avale leur foutre à chaque pipe, mais très rapidement, ils souhaitent tirer leur coup dans d'autres trous. Elle consentait, mais préférait l'avoir en bouche pour en tirer tout le jus.

Par contre, très peu supportaient l'épreuve de la pisse...

Au début, elle inventait des histoires d'analyse d'urines pour se procurer le précieux liquide. Mais rapidement, ils comprenaient le véritable but qu'elle poursuivait et, scandalisés, ils la quittaient avec pertes et fracas...

Le vin épicé des Alpes est bon, surtout quand il fait froid, mais il est aussi traitre... Très rapidement, elle se laissa aller à des confidences très ...épicées elles aussi...

Invention ou fantasme, elle me raconta qu'un jour, affamée de sperme, elle pénétra dans les vestiaires d'une équipe de foot pour pomper tous les joueurs les uns après les autres.

Ensuite, elle me confia (en riant très fort) qu'un jour, en allant faire du cheval,le cheval lui avait pissé dessus et qu'elle avait eu un orgasme.

Loin d'être ennuyée par cette mésaventure, elle s'était posé la question de savoir si elle sucait le cheval, quelle quantité de sperme il pourrait envoyer et si elle pourrait tout avaler...

Heureusement ce dernier point était resté à l'état de question...

La nuit s'avançait, et nous étions tous deux excités au plus haut degré...

Elle se pencha à mon oreille et sussura :

- Tu veux tirer ton coup dans mon cul ?

Elle disait cela d'une façon détachée comme elle aurait dit qu'elle appréciait le dessert...

- Oui on va où ?

- Dans les chiottes...

- ???

- Ne me dis pas que tu ne l'as jamais fait ?

- Ben...

- Ben ca sera une grande première pour toi.... Allez, habituellement la fille part et va s'installer, et son mec la rejoint... Et nous on va faire l'inverse...on attiera moins l'attention...

- Si tu veux...

- Je veux...alors vas y.... J'arrive...

Je me levai et allai aux toilettes sous l'oeil indifférent de tous les clients et de tout le personnel. J'entrai et je verouillai la porte sans doute par habitude.

Quelques minutes plus tard, j'entendis gratter. Un peu angoissé, j'ouvris. Ouf ! C'était bien elle...

Elle ne perdit pas de temps :

Elle se déshabilla en quelques secondes, enjamba la cuvette et se pencha en avant en prenant appui sur la réserve d'eau.

- Allez vas y, encule...

A mon tour, je baissai mon pantalon sur mes chevilles. Quelques mouvements de branle pour avoir la raideur nécessaire à un bon enculage et je la lui mis dans le cul...

Elle jouit au bout de quelques minutes, mais je pense que le vin chaud y avait beaucoup aidé...

Une fois qu'elle eut joui, je me libérai à mon tour et je sentis les jets partir au plus profond de ses boyaux.

Moi aussi, après l'après midi torride, et toute l'excitation du repas, je n'en pouvais plus...

Je me retirai et j'admirai son cul béant se vider de mon liquide blanc.

 

Je ne fus pas déçu... Dès que j'eus déculé, elle se mit deux doigts dans le cul, tourna bien à fond et quand ses doigts furent bien humectés, elle se les fourra dans la bouche et le nettoya avec délectation...

Elle continua ce même manège au moins une vingtaine de fois...

Mais notre soirée n'était pas finie...

La suite dans le prochain billet.....

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Lundi 12 août 1 12 /08 /Août 18:24

Je ne vais pas le répéter encore une fois mais mon travail me permet de passer pas mal de temps à l'extérieur et j'en profite pour voyager aux frais de mes clients.
Certes, je suis raisonnable et je n'abuse pas mais je ne me prive pas de visiter mes lieux de villégiature lorsque je ne suis pas en rendez vous avec mon client.

Cette fois là, j'avais été appelé du côté de Serre-Chevalier pour faire un site pour un restaurant sympa. Les séances de travail étaient obligatoirement fixées en fonction de la contrainte des horaires du restaurateur. De ce fait, j'avais pas mal de temps libre aux heures les plus intéressantes de la journée.
Je travaillais de 8h (retour du marché) à 11h (repas des employés du restaurant) puis de 14h30 à 17h heure de la mise en place du repas du soir.
Dans tous les lieux touristiques, il y a des prospectus et des petits fascicules publicitaires pour vanter les lieux remarquables ou les activités de la région.

Et j'ai pris la plaquette de présentation de la Meije. Une bonne idée pour passer un peu de temps au frais avec la chaleur accablante qui régnait dans la vallée. Donc à la fin de la séance de travail, je prends ma voiture et je fonce en direction de la montagne aux neiges éternelles. J'arrive environ une demi heure après et je prends le télécabine pour monter tout en haut de la montagne. Il y a un changement à mi parcours mais le trajet est agréable et on voit toute la vallée se dérouler à nos pieds au fur et à mesure de la montée.

Une fois en haut je me sentis revivre. Bon, vu l'heure, je n'avais pas tellement de possibilités d'activité à part la visite d'une grotte sculptée creusée dans le glacier comme celle du glacier du Mont Blanc : la mer de glace.

La température était agréable et nettement plus froide que dans la vallée et on sentait le contraste entre les zones ensoleillées et celles à l'ombre.
Je commençai à descendre vers l'entrée de la grotte. Je regrettai de ne pas avoir pris de polaire. Il y avait encore quelques visiteurs qui attendaient devant la caisse pour entrer et je me mis à la suite dans la file d'attente. Pour passer le temps, je regardai les derniers visiteurs qui descendaient dans notre direction pour la grotte de glace.

Les visiteurs habituels. Mais pas que...
Dans les rares visiteurs retardataires, je remarquai une femme qui avait une expression très particulière, presque extatique. Ma curiosité était piquée à vif.
Je m'intéressai à elle. Elle avait la cinquantaine, bras nus et jambes nues et bronzées. Mince et musclée, bien coiffée et elle marchait d'un pas sur alors même qu'elle marchait sur la pente d'un glacier à moitié fondu ... En tongs noirs à plateforme.

J'étais stupéfait. Je détaillai la visiteuse. Elle portait un haut blanc décolleté et froufroutant en bas, une jupe noire ressemblant à du velours brillant et assez ample et ses pieds étaient soigneusement vernis en french manucure et elle portait bien des tongs.

J'etais curieux de voir si elle arriverait en bas de la pente sans accident ni chevilles cassées ou foulées. Elle marchait lentement, toute son attention focalisée sur les endroits ou elle posait ses pieds et marchait lentement et prudemment et arriva sans encombre derrière moi.

À peine arrivée elle releva la tête et me décocha son plus beau sourire. Je lui rendis er n'y tenant plus je lui demandai :
“Vous n'avez pas peur de vous casser une cheville ?
- Je suis très prudente vous savez, et sans modestie mal placée, croyez moi si je me faisais mal, je trouverai facilement un chevalier servant pour me ramener dans la vallée. ”
J'étais époustouflé. Au moins, là, une femme qui avait un sacré aplomb.

Pour reprendre contenance, je verifiai le niveau d'avancement de la file et j'avançai légèrement. Elle suivait. Elle engagea de nouveau la conversation et comme moi même je ne suis pas muet, nous discutames rapidement comme de vieux amis.

Présentations rapides, cursus et villégiatures et enfin le plus important : l'état matrimonial. Nous étions tous deux célibataires, du moins c'est ce qui fut dit. Nous n'étions dupes ni l'un ni l'autre.

Finalement nous arrivames à la caisse. Je pris les deux billets. Et nous entrames dans la fameuse grotte de glace.
Pour vous la faire rapide, la grotte de glace est sympa, mais je pensais totalement à autre chose.
Très vite, j'avais noté qu'elle mettait systématiquement les pieds dans chaque flaque de glace fondue. Elle faisait cela de façon discrète mais elle avait quasiment 100 pour cent de réussite pour mettre les pieds dans l'eau glacée et une fois les pieds dans l'eau ne criait pas de surprise, ni se plaignait , rien ....

Mon diagnostic était sans appel : fétichiste du pied et tendances masochistes. Excellent programme. Je la regardai en souriant. Elle me regarda, parut gênée une seconde puis sourit. Nous nous étions compris. Elle enleva ses tongs et les porta à la main “Pour ne pas les abîmer” et marcha pieds nus sur la glace. Je lui donnai la main car sans le plastique épais, elle glissait facilement. Je lui indiquai les plus belles flaques et par jeu nous chronométrions le temps passe dans l'eau glacée. Elle fut plusieurs fois obligée de remettre ses chaussures mais ne se justifia plus du tout. Le jeu était convenu entre nous et nous jouions franc jeu de part et d'autre.

Le gardien troubla ce bon moment en appelant les retardataires à sortir pour cause de fermeture. Alors après un regard à la fois complice et gêné et mon approbations oculaire et silencieuse, elle releva sa jupe et s'accroupit. Elle portait un string rouge mais ne le toucha pas. Elle se mot à uriner directement sur la glace du sol et le jet doré éclaboussait ses pieds et ses chaussures.
Elle n'avait pas retiré son sting qui servait à la fois de brise jet pour le bruit mais augmentait sensiblement les éclaboussures. Une fois soulagée elle passa le majeur sur son entrejambe pour égoutter le tissu et lécha son doigt humide tout en me regardant.

Main dans la main nous sortimes de la grotte. L'instant était très particulier et nous étions en phase sans échanger une parole. Le trajet du retour fut plus difficile. L'urine et la glace fondue s'étaient déposées entre la semelle et la plante de son pied et elle glissait facilement. Après plusieurs fous rires nous arrivames en haut de la descente, puis nous sommes allé faire de photos avec en fond la vallée. Nous nous sommes photographies à tour de rôle, ensemble, séparément, devant la montagne ou la vallée ...

La nuit commençait à tomber mais nous n'avions pas envie de nous séparer. Pendant la séance photo, nous avions beaucoup parle et elle m'avait avoué que ses fantasmes fétichistes reposaient sur les fluides et m'avait demandé si j'acceptais de ne pas avoir de relation sexuelle avec elle, mais elle accepterait volontiers tous mes fluides et sécrétions. Une fois cet accord passé, nous nous mimes en route vers le restaurant d'altitude.

Au restaurant, une fois la commande passée, ma compagne me donna un préservatif et me conseilla de le remplir. Je m'empressai d'aller aux toilettes pour accéder à sa demande. La sauce salade était une sauce blanche. Elle eut plus de sauce salade que les autres clients. Pour l'urine, ce fut plus difficile. Mais je réussis encore à lui faire passer le liquide qui se trouva faire un parfait jus de pomme dans son verre.

Le plus excitant était de la voir absorber çes fluides avec calme et sang froid au si et au vu de tout le monde.

Le dernier point que nous avions à satisfaire fut réalisé dans le télécabine de descente : je lui crachais à de nombreuses reprises dans sa bouche ouverte er sur son visage. Elle mit un point d'honneur à ne pas perdre une seule goutte.

En bas nous dumes nous séparer mais nous echangeames nos numéros de telephone et....

Je vous raconterai la suite une prochaine fois.

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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Mardi 26 février 2 26 /02 /Fév 00:41

J'accepte très rarement les missions à l'étranger, mais parfois, il m'est arrivé d'accepter des missions simplement pour en profiter pour me faire inviter. 

 

Je sais, j'ai un peu honte, mais bon, il faut reconnaître que le fait de voyager aux frais de la princesse est un plaisir rare. Donc, je voyage mais je n'abuse pas. 

 

Cette fois la, je me trouvais à Coimbre au Portugal pour un client qui voulait gérer son hôtel par un logiciel facile et intuitif. 

 

Je venais d'arriver la veille au soir et j'avais dormi une dizaine d'heures pour récupérer. En fait, je m'éveillai en entendant taper à la porte de ma chambre. Le temps d'émerger de mon sommeil comateux, et de dire que je ne voulais pas que l'on fasse ma chambre, la porte s'ouvrait déjà pour laisser passer la femme de chambre de l'hôtel. 

 

Pour parer au pire, comme je dors à poils, j'enfilais un peignoir de l'hôtel et des que la ceinture fut nouée, je fis face à la jeune femme. 

 

La fille était mignonne mais je n'allais pas me faire remarquer et je decidai de jouer le rôle de l'homme indifférent. Après une hésitation car son premier mouvement avait été de ressortir, la fille restait la, immobile comme statufiée, une expression ébahie sur le visage. Ne parlant pas portugais, j'engageai la conversation en anglais. Je lui annonçai que je trouvais la ville magnifique et le temps superbe. 

 

Aucune réaction. J'embrayai sur les commerces ... pas plus de réaction. Je changeai mon fusil d'épaule et fis les mêmes remarques en français puis en italien. Toujours rien. Elle regardait fixement mon noeud de ceinture sur le peignoir. Tout le monde fait les mêmes noeuds sur les peignoir du monde entier. 

 

Par curiosité sociologique, je suivis son regard pour voir ce qu'elle regardait avec autant d'insistance, et j'eus la surprise de voir ma bite tendue dépasser entre les deux pans du peignoir. La réaction du matin. 

 

Crotte Zut et Flûte, comment ne pas la terrifier pour éviter qu'elle ne s'enfuie en hurlant au pervers ? Déjà, rabattre les pans par dessus ma bite pour prouver ma bonne foi. 

 

Quand j'eus rabattu les pans et dissimulé ma queues, elle fit ce que je n'aurais jamais cru : elle s'approcha, se mit à genoux, fouilla sous le peignoir pour en sortir ma bite tendue et se la mit directement en bouche. 

 

Bon, effectivement, l'entrée en matière était prometteuse, et allait au de la de mes espérances les plus folles. Quand ma bite fut bien tendue, la fille se retourna, retroussa sa blouse sur ses hanches et je constatai qu'elle ne portait pas de culotte. Elle se pencha en avant et me présenta  son postérieur en écartant ses fesses. Je vis que sa rondelle avait l'habitude d'être honorée et qu'elle avait envie de se faire honorer par la.

 

 

 

A priori, je n'avais rien pour b lubrifier mais elle avait l'air de savoir ce qu'elle faisait. Je posai mon gland turgescent sur le trou offert et je poussai doucement. Je rentrai comme dans du beurre. Je la sodomisai profondément. Nous jouimes ensemble, au même moment. Lorsque je deculai son orifice resta ouvert, laissant degouliner mon foutre. Elle restait en position, visiblement en attente de quelque chose. 

 

La réponse était facile à trouver. Vu la dilatation, je mis directement deux doigts dans le cul. Je tournai dans tous les sens. A en croire ses réactions, c'était bien ce qu'elle attendait. Je mis un troisième doigt. C'était sa capacité, trois doigts. 

 

Je la baratai bien en fouillant son trou inondé de mon foutre. Quand mes doigts furent bien enduits de crème ejaculatoire, je lui presentai mes trois doigts à nettoyer. Elle les engouffra dans sa bouche et les lecha goulûment. Elle les nettoya consciencieusement, l'un après l'autre. 

 

Quand il n'y eut plus de trace de foutre sur mes doigts elle me lacha la main, se recula, se rajusta et m'envoya un baiser de loin avec le bout des doigts. Puis elle sortit et malheureusement, elle ne revint plus jamais pour faire ma chambre. 

Par contesdelalunerouge - Publié dans : Humiliation
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